Notre Identité Dépend Elle Du Jugement Des Autres

cette question, nous verrons dans une première partie le regard que les autres portent sur nous, ce qui peut nous affaiblir puis nous détruire, nous anéantir psychologiquement, dans une deuxième partie nous analyserons le regard des autres qui n'est pas toujours austère à notre encontre et dans une dernière partie, nous verrons le regard d'autrui qui nous ai indispensable. Nous verrons tout d'abord que le regard des autres peut être désobligeant envers nous (via la honte, etc), puis que ce regard

suffit -elle à me définir ? Concrètement, personne est apte à savoir ce qui me défini car tout dépend du point de vu et de la relation que j'entretiens avec la personne qui me détermine. Autrui ne connait que la face superficiel de moi. Il n'est donc pas un bon médiateur entre moi et moi même et il est alors pas indispensable. Cependant, mon « moi même » correspond à mon identité par rapport aux autres. Même si je penses être la personne que je suis, autrui ne me perçoit probablement pas totalement

restreints construits artificiellement en laboratoire pour comprendre des phénomènes apparaissants dans les sociétés plus importantes. LEWIN emprunte la notion de champ à la physique et pense que ce qui se produit chez un individu dans un groupe dépend de la distribution des fores qui s’y exercent. La base de ses travaux est la théorie du champ qui repose sur l’idée que le comportement social est déterminé par un champ de force psychologique et social. Il s’agit, en fait, d’un système d’interdépendance

qu’on a choisi résulte de la prise d’une décision  difficulté de s’orienter dans le champ éthique. Objectif ici : dvlp des modèles éthiques, des voies éthiques qu’on dégagera, articulera pour être capable après un retour réflectif de porter un jugement éthique. Chapitre 1 : Qu’est-ce que l’éthique ? L’éthique répond à la question « Que dois-je faire ? » et est un SN. Mais encore ? C’est une branche de la philo (axe pratique). L’éthique se déploie en trois branches : Déontologisme (éthique déontologiste) :

solidum : c’est une solidarité légale d’origine jurisprudentielle. - Le stade de la contribution à la dette : le solvens va effectuer un recours subrogatoire pour obtenir le remboursement de ce qu’il a payé en partie pour les autres. L’étendue de ce recours dépend du fondement de la resp de chacun des coresponsables il ya plusieurs cas de figures possibles : - Ttes les pers dont la resp a été retenue sont resp à raison d’une faute que chacun a commis : - Si ttes les pers ont été mises

négocier, ce Statut aux traits négatifs. Pour mieux souligner ses propos, l’auteur utilise un grand nombre de mots clefs, tels que : Pauvre, précarité, emploi, chômage, travail, marginaux, assistés, assistance, emploi, carrière, Handicap, fragiles, identité. Mais également en utilisant divers concepts sociologiques comme la disqualification et la désaffiliation sociale concept emprunté au sociologue contemporain robert Castel. La disqualification sociale est «  un processus de refoulement hors du

immédiates dont nous ne sommes pas en mesure, le plus souvent, de questionner la valeur. Notre rapport au réel dépend de notre langue, de notre milieu culturel, de notre groupe social et des habitudes qu’on y a, des représentations que nous nous en faisons, qui nous servent de monnaie d’échange dans les rapports humains. Nous n’avons pas spontanément conscience que nos représentations, nos jugements, nos valeurs sont fabriqués, convenus, sont le résultat de conditions qui nous échappent : même le sentiment

Certaines   idées  valent­elles  le  sacrifice  de  sa  propre  vie?  Cette  question  apporte  divers  enjeux  politiques  et  sociaux.  Au  niveau  social,  devons­nous  croire  et  suivre  le  reste  de  la  population  ou  former  sa  propre  identité et  ses idées  malgré  les  risques? Au  niveau de  la politique,  devons­nous  continuer  de  partager  nos  idées  malgré  les  risques  qu’elles  peuvent  entrainer?  Certains  prétendent  qu’aucune  idée  mérite  un  sacrifice.  Par  contre, 

Philo LE SUJET Lorsqu’on dit être un sujet, c’est avoir une certaine identité - les papiers d’identités fixent ce que nous sommes à l’extérieur. > identité juridique donnée par l’Etat > identité faible. Les personnes sans identité juridique existent en tant que sujet mais ne sont personne - identité superficielle qui n’atteint pas sa réalité propre. *Opposition sujet apparent / sujet réel Je disais « je » à 2 ans mais mon corps, mes pensées, mes opinions ont changées. Le sujet

personne. c) Conscience morale Capacité de porter ou de formuler des appréciations morales, des jugements éthiques sur le bien et le mal. Rousseau : Conscience morale et réfléchie indissociables (livre IV Emile) II – En quoi la conscience est-elle le propre de l’homme / constitutive du sujet ? a) Existence d’une conscience singulière/personnelle/unique au monde Le sujet, se définit par son identité, dire « Je », « Moi » : être « pour soi » (différent de l’animal : être « en soi »), sujet : capable