Nous les dieux

Toutefois les dieux exigent le sacrifice de sa fille Iphigénie pour accorder des vents favorables. Iphigénie […] Dieux ! avec quel amour la Grèce vous révère ! Quel bonheur de me voir la fille d'un tel père ! Agamemnon Vous méritiez, ma fille, un père plus heureux. Iphigénie Quelle félicité peut manquer à vos vœux ? A de plus grands honneurs un roi peut-il prétendre ? J'ai cru n'avoir au ciel que des grâces à rendre. Agamemnon (à part) Grands dieux ! à son malheur

initiative. Ça veut dire que celui-ci n’est pas impliqué parmi les hommes, mais entre les dieux et les hommes. L’homme devait être dans la suprématie divine. pp. 67 : « de nous pendre à l’instant aux dieux que voici. » Nous pouvons observer les destins limités d’être passifs par l’homme ou par le dieu. Parmi les humains, il est fait par la classe sociale ou l’autorité de l’homme. En revanche, entre les humains et les dieux, il est fait par la supériorité absolue de la divinité. II. Le roi d’Argos est

sphères de sa vie. Des personnages commentant une faute d’hubris sont souvent au cœur des tragédies grecques. L’hybris ou l’hubris est considérée comme un crime qui fait référence à la démesure. Il s’agit d’une faute d’orgueil commise contre les dieux. Selon Joël Balazut, « l’hubris représente la prétention démesurée à l’intuition intellectuelle, à la saisie immédiate et totale de l’être. Le ressort de la tragédie sera donc la confrontation entre l’hubris de l’homme qui tente de dévoiler totalement

‘argument’» : Le philosophe est un intermédiaire entre le monde des dieux et le monde des hommes parce qu’il ne participe ni du monde des uns, ni du monde des autres. Justification : Le philosophe désire ce qui lui manque, mais il a les ressources pour le rechercher. Illustration : Comme le démon, le philosophe est un messager entre le monde des dieux et le monde des hommes.   Texte   Le philosophe ne participe ni du monde des dieux, ni du monde des hommes : c’est pourquoi il est un intermédiaire

Celle-ci s'oppose très clairement à celle d'Épicure. §2-3 : Dans le premier paragraphe, Épicure fait part de sa croyance en l'existence et en l’immortalité des dieux. Il conseille au peuple de tenter d'imiter les dieux. Cependant dans le second paragraphe, Épicure s'oppose à l'opinion publique religieuse quant à la nature des dieux. Il pense que le fait de punir les mauvais et de récompenser les bons n'est qu'une superstition humaine. Sa critique de la religion est donc basée sur cette superstition

seconde ville. Il a des relations avec l’Inde, la Perse. Ce sont des relations de tous types (commerciales=Babylone sert d’entrepôt à tous les produits d’Orient, militaires car c’est un empire impérialiste et le roi assyrien se veut représentant des dieux, législateur, justicier,…). C’est ici que naît l’idée d’une domination universaliste orientale. Le prestige assyrien croît fortement avec des conquêtes militaires incroyables. Assurbanipal, grand roi Assyrien, qu’on appelle le Sardanapale, est extrêmement

que la simple nymphe Calypso, qui ressemble beaucoup aux êtres humains, devra toujours se plier à des décrets venant « d'en haut », c'est-à-dire des dieux de l'Olympe Dans les Chants V et VI de ''L'Odyssée'' : quel portrait Homère fait-il des dieux en général ? Les dieux favorables à Ulysse Les dieux ambigus La haine implacable de Poséidon les dieux ont surtout pour caractéristique essentielle soit de permettre à Ulysse d’aller de l’avant (Athéna par exemple), soit d’empêcher ou de rendre difficile

L’Odyssée – Homère Des hommes, des Dieux, des monstres et un héros Les personnages de l’Odyssée sont à l’image du monde réel et de l’imaginaire humain : riche, foisonnant et bigarré. Des hommes tels qu’en eux-mêmes. Contrairement à l’Iliade, peuplée uniquement de seigneurs, de princesses et de guerriers, les hommes qui peuplent l’Odyssée sont à l’image de la communauté humaine : toutes les classes sociales, tous les âges et les deux sexes y sont représentés. A Ithaque on voit des seigneurs, la

aura autant de succès que la précédente. Racine s'éteint à Paris le 21 avril 1699 d’une tumeur au foie. Iphigénie Jean Racine (Tragédie en cinq actes) 1674 Tragédie, fatalité, passion, mort     ...J'ignore pour quel crime La colère des dieux demande une victime.  Mais ils vous ont nommée. Un oracle cruel Veut qu'ici votre sang coule sur un autel (Agamemnon à Iphigénie, acte IV, scène IV) La langue de Racine, cette langue accessible à tous, qui nous plonge dans la partie la plus obscure

souffrant. C’est la question d'un croyant certes, mais elle possède déjà un ton de révolte, et c'est pourquoi tant d'hommes qui sont confrontés à l'énigme de leur destin s'y retrouvent. Ce sont les griefs et les interrogations d'un homme qui connaît les dieux, qui a cru les connaître, et qui veut comprendre, afin de pouvoir vivre et de savoir mourir. Dans ce poème, ce juste souffrant est un personnage de fiction. Le poète l'a tiré de la légende pour faire de lui le paradigme de l'humanité souffrante.