Nous Sommes Condamnés à être Libre

...................................................... 1 1. Renoncer à la liberté. .................................................................................................... 1 2. L'esclavage comme contrainte....................................................................................... 2 3. La contrainte, c'est le désir de ce qui nous est étranger. ................................................. 2 II. Sommes-nous libres d’être libres ? ........................................

L’Etre et le Néant (1943) : “L’homme est condamné à être libre” “En fait, nous sommes une liberté qui choisit, mais nous ne choisissons pas d’être libre : nous sommes condamnés à la liberté” Introduction souligne la vision absolue de la liberté acceptée communément =absence de contraintes. C’est aussi la vision que Sartre a de la liberté, celle d’une liberté absolue, sans aucune limite. (cf citation). D’arès Sartre nous sommes donc condamnés à être libre, ce qui est assez paradoxale car la liberté

soumis à notre étude dénonce l’idéologie chrétienne, qui met en avant le pouvoir de Dieu sur l’homme. Il est alors paradoxale car il nous invite à dépasser l’idée que Dieu nous crée. Ainsi, la thèse que Sartre soutient est que l’homme se façonne seul, avec aucune force ou aide extérieur à lui-même. En effet, l’homme est libre mais responsable de lui-même, il ne peut tenir un autre pour coupable de son sort ou de son destin. Ainsi, il est seul face à sa conscience et à sa raison. C’est alors à juste

propres choix, sans avoir à en référer à une autorité quelconque. La liberté peut être vu sur plus d’un plan, ont parlent de liberté individuelle, collective, politique, etc. Donc, à travers cette collection de liberté différente est-il juste de dire que l’homme est libre ou bien est-il plus juste de dire le contraire ? L’homme est-il qu’une simple solution des nombreux facteurs extérieur ou est-il d’autre par un être doté de raison et de liberté ? L’homme est-il libre ou n’a-t-il que l’illusion

la liberté intérieure ? C'est d'abord la liberté de penser. Je suis parfaitement libre, remarquait Descartes, d'adhérer ou non à une idée. Personne ne peut me forcer à croire ou non une chose, et d'ailleurs personne ne peut même savoir ce que je pense. On peut donc me forcer à agir (par exemple à adopter les signes extérieurs d'une religion qui n'est pas la mienne, ou à abjurer publiquement mon dieu), mais non à penser telle ou telle chose. La liberté de penser est donc une liberté évidente

liberté. On peut alors se poser la question à savoir quelles sont les conditions pour que l'homme soit libre? La liberté, c'est d'abord le délaissement puis l'homme n'est libre que si l'existence précède l'essence puis dans un troisième temps que l'homme est condamné à être libre. Liberté : ce n'est pas une propriété parmi d'autres de l'homme, c'est l'étoffe même de son existence, qui renvoie à cette indétermination (« l'existence précède l'essence ») et à cette ouverture aux possibles qui caractérisent

Dissertation de philosophie : sommes-nous responsables de l’avenir ? Dans, Éthique à Nicomaque , Aristote affirme que nous ne sommes pas directement responsables de nos actions mais de ce qui nous a poussé à exécuter cette action. Être responsable, c’est être la cause consciente et volontaire de quelque chose. Ainsi, lorsque l’on est responsable, on doit pouvoir rendre compte de ses actes immédiatement. L’avenir se dit d’un temps, d’une période qui par

Sartre : - philosophe, écrivain (dramaturge, romancier, nouvelliste), critique - son travail a suscité polémiques et réticences - textes philosophiques majeurs : L’Être et le néant (1943), L’Existentialisme est un humanisme (1945) - auteur engagé : a milité toute sa vie. Il fonde d’ailleurs un mouvement résistant durant la 2nde guerre mondiale avec Simone de Beauvoir : « Socialisme et liberté ». Il a néanmoins était accusé de profiter des lois raciales de Vichy et n’était pas un si grand résistant

d’accomplir ce qu’on a envie de faire. Or, nous vivons dans un monde où les Hommes sont régis par des lois naturelles et par les lois imposées par la société. De plus, dans l'interrogation proposée, le pronom "nous" peut aussi bien inclure une personne en tant qu'être humain, c'est a dire citoyen du monde, qu'une personne seule, soi même. "Nous" peut également marquer l'appartenance à un groupe, selon l'âge, le sexe, le lieu de vie... Il faut donc se demander si l'Homme est réellement libre d'être ce dont

fais au présent ne peut rectifier le passé, le changer, le transformer. Le passé, même s'il n'existe plus, reste une source dans laquelle chaque être humain puise chaque jour. Il est une composante indissociable du monde où l'on vit, c'est grâce à lui qu'on peut, c'est grâce à lui que notre vie se déroule devant nos yeux, un peu comme un roman où il y a des personnages et des lieux que l'on n'aurait pas choisi. Par exemple, si j'agis mal au présent, la plupart du temps, les conséquences de ces mauvais