Nous Sommes Libres Même Si Nous Avons Une Nature

- PLANCHE- bm Le déterminisme génétique et la liberté de choix Est-ce que nous sommes libres de choisir ou de créer notre comportement (ce qui suppose un libre arbitre) ? Ou est-ce que nos comportements sont dictés par les lois de la nature (c’est le déterminisme) ? Tous les êtres vivants possèdent de l’ADN, c’est le support de l’information génétique qui différencie chaque humain. L’homme n’est d’abord rien. Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait. Ou tel que la

------------------------------------------- ES : Antilles – Session normale 1996 Sommes-nous nécessairement les victimes du temps ? A-t-on le droit de se taire quand on connaît la vérité ? ------------------------------------------- ES : Antilles – remplacement 1996 Les passions font-elles vivre ou font-elles mourir ? La vérité peut-elle être relative ? ------------------------------------------- ES : Asie – Session NORMALE 1996 L’homme est-il libre par nature ? Peut-on toujours dire la vérité ? -------------------------------------------

Ronsard, Scève, Viélé-Griffin, Le Cardonnel, Dante, etc. De plus, ayant des facilités en ce qui concerne les langues, il aura une connaissance approfondie de l’anglais, sa langue maternelle, du français, langue dans laquelle il donnera cours et écrira même, ou encore de l’italien. En 1928, il devient un ami intime de la famille Joyce et principalement de James, le célèbre auteur avec lequel il va travailler des essais, traductions, parodies, etc. S'il est l'auteur de romans, tels que Molloy, Malone

faut vivre sa vie. Face à cette première interrogation, tous les autres questionnements de la philosophie sont négligés. Épictète se pose tout d’abord la question de l’existence, ou non, d’une ‘nature des choses’ qui est invariable, et valable pour tous les hommes sans exception. Sa réponse est claire: la ‘nature des choses’ existe et il l’explique, au début de son Manuel, en disant que, de toutes les choses du monde, certaines sont en notre pouvoir exclusif tandis que d’autres ne le sont pas : « Ce

liberté est le pouvoir d'être soi-même cause de son être et de ses propres actions, alors que la contrainte consiste à être et agir en étant déterminé par autre chose que soi-même. D'emblée, Spinoza oppose liberté et contrainte et non pas liberté et nécessité. Il peut y avoir "libre nécessité". Il y a de fait une différence notable entre être autodéterminé et être "hétéro" déterminé. Mais le sens commun s'insurge : même si je ne suis déterminé que par moi-même, cela signifie bel et bien que je n'ai

victime des méfaits de la colonisation. • Stratégie fondée sur l’antithèse : honnêteté des Tahitiens mise en parallèle avec les exactions des Européens (« nous sommes heureux »/ « tu ne peux que nuire à notre bonheur »). b) l’ethos de l’orateur et sa stratégie (1er §) (il s’agit de l’image que le locuteur donne de lui-même dans son discours pour établir sa crédibilité) : • Il s’appuie sur son âge (symbole de sagesse et de clairvoyance cf. « un air sévère ») pour renforcer son propos :

appelons Dieu. De même, elle démontre que l’homme a une âme spirituelle, c’est-à-dire simple (non étendue et composée) et pour cela incorruptible et immortelle. Cela est prouvé par les actions de l’esprit: connaître et vouloir des objets immatériels, universels et spirituels, par exemple l’honneur, la justice, le bonheur. Donc notre raison nous démontre, avec certitude, que nous sommes créés par Dieu, que nous sommes semblables à Lui en tant que personnes intelligentes et libres et nous enseigne aussi

sens et de nature corporelle. Son contraire est la douleur, sentiment de souffrance physique. Il y a peu de différences entre l’un et l’autre, un plaisir peut virer à la douleur, au dégoût, à l’amertume. La souffrance s’oppose au bonheur comme un état de déchirement intérieur, par rapport au caractère complet, par rapport à la plénitude du bonheur. La joie est le plus souvent l’accomplissement d’un désir, la coïncidence momentanée entre l’ordre de nos attentes et l’ordre de la nature. Une lettre

 INTRO : « "Après vous" : cette formule de politesse devrait être la plus belledéfinition de notre civilisation.  » LEVINAS L’éthique n’est pas un code de bonne conduite morale, c’est le sens même de l’humain. le surgissement de l’humain. Quelqu’un qui cède la place à l’autre, qui dit « après vous ». L’humain commence avec ce bouleversement de l’ordre naturel des choses. L’être humain est un être social. De ce fait, il doit faire en sorte de garder, avec cette société, des liens étroits. Etre

que l’on doute. Car même si un malin génie nous fait croire à tort qu’il y a un monde et une réalité, il faut bien que je pense et que je doute au moins le temps de cette tromperie. Donc, je ne peux douter que je doute. Si je doute, je pense. Si je pense, je suis. « Cogito Imposum » , ce qui signifie « je pense donc j’existe », citation qui nous illustre bien la conclusion à laquelle Descartes est arrivé. Nous existons en tant qu’être pensant, nous sommes une substance pensante