Nouveaux Essais sur l'entendement humain

 Gottfried Leibniz, philosophe allemand du XVIIème siècle écrit ici un texte dans lequel il s'oppose à l'empirisme en sciences. Le texte présenté est Préface aux Nouveaux essais sur l'entendement humain. Cela nous permet donc de nous demander comment le sens est il percu par Leibniz . Pour cela nous verrons que le texte s'étudie en 3 parties pour répondre a cette question Tout d'abord

rationalistes privilégient la raison dans la connaissance de la vérité. Selon eux, les hommes sont supérieurs aux animaux précisément parce que l'homme est capable de raisonner et de combler les lacunes de l'expérience. Dans cet extrait des Nouveaux essais sur l'entendement humain, Leibniz montre que la vérité ne peut pas avoir son fondement que dans l'expérience, mais qu'elle dépend davantage de la raison. En effet, ce n’est pas sur notre perception par les sens, que peut être établie la preuve des vérités

de la forme des syllogismes est une des plus belles et des plus considérables de l’esprit humain, et même des plus considérables. C’est une espèce de mathématique universelle dont l’importance n’est pas assez connue ; et l’on peut dire qu’un art d’infaillibilité y est contenu, pourvu qu’on sache et qu’on puisse s’en servir, ce qui n’est pas toujours permis. » Leibniz, Nouveaux essais sur l’entendement humain. Il semble donc a première vue que tout puisse être démontrer, la forme de la démonstration

le fait de devenir un autre. L’homme devenu fou perd sa capacité juridique: il n’est plus un sujet. Amener la problématique: Pouvons-nous parler d’une permanence du sujet (énoncé de la question de la dissertation)? Le sujet, entendu comme l’être humain conscient et responsable de ses pensées et de ses actes, manifeste en effet une ambiguïté: d’un côté, il désigne ce qui constitue en propre l’individu que nous sommes, renvoyant à un pôle d’identité inaltérable, de l’autre, il présente une série de

conscience, son rapport aux choses et non pas dans les choses. - Il propose une expérience extraordinaire : Descartes médite (fait le tri dans ses idées), pense que avec sa formation intellectuelle, il se rend compte qu’il n’a aucune certitude : essaie de trouver la méthode pour trier les idées certaines => fait comme si tout est faux pour trouver le vrai. - Descartes choisit de douter (doute intellectuel, pas psychologique) de façon volontaire et systématique (toute idée en moi est fausse)

Commentaire de l'extrait n°3 du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes Introduction : Le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes est un essai philosophique de Jean-Jacques Rousseau parue en 1755. Si nous devions le résumer en peu de mots ce serait que Rousseau fait une apologie de l'homme sauvage et une critique sans concession de l'homme civilisé. L'oeuvre se compose de deux parties cependant nous allons nous interesser à la

la conscience 14. LEIBNIZ (1646-1716) : « (…) il y a à tout moment une infinité de perceptions en nous, mais sans aperception et sans réflexion, c’est-à-dire des changements dans l’âme même dont nous ne nous apercevons pas… » Nouveaux essais sur l’entendement humain. 15. Sigmund FREUD (1856-1939), « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison. » Introduction à la psychanalyse. 16. Paul VALERY (1871-1945) : « la conscience règne mais ne gouverne pas. » Mauvaises pensées et autres.

trop grand nombre, ou trop unies, en sorte qu'elles n'ont rien d'assez distinguant à part, mais, jointes à d'autres, elles ne laissent pas de faire leur effet et de se faire sentir au moins confusément dans l'assemblage. » Leibniz, Nouveaux essais sur l’entendement humain. C’est Leibniz qui le premier a démontré l’insuffisance de la conception cartésienne de la conscience (ou cogito). Pour Descartes, conscience et pensée étaient intrinsèquement mêlées dans le cogito de telle manière que tout ce que

voyez la fiche du « corpus Platon ». 2. Les distinctions de la linguistique : Parole / langue / langage : la distinction a été formulée par Ferdinand de Saussure dans son Cours de linguistique générale (1916). Le langage est la faculté humaine de communication, universelle ; la langue est le système de signes linguistiques d’une société donnée à une époque donnée ; la parole est l’acte individuel qui a recours à une langue. « La langue est un ensemble de conventions nécessaires adoptées

Commentaire de texte de Leibniz Gottfried Leibniz était un philosophe allemand du XVII siècle. Il écrit un texte ou il s’oppose à l’empirisme en science qui se trouve dans la préface des Nouveaux essais sur l’entendement humain. Selon lui, pour que les sciences soient universelles, elles ne doivent pas être basées sur l’expérience immédiate sensible, mais dépende de la raison. Dans un premier temps, de la ligne 1 à la 2, Leibniz énonce la thèse principale. Il nous explique que les sens sont