Nudité De La Verité

symbole de l'innocence pour créer la pitié. Ligne 33 mit à la fin de la phrase + la solitude mise en avant dans ce texte « au fond d'un bois la nuit » ligne 32 → présence spirituelle Dénouement physique dans ce texte : Hugo insiste sur sa nudité, comme sa vie qui est en quelque sorte « nue » (vide). Hugo crée un effet de contraste entre le petit et le grand : ligne 22 « le sceau était plein et lourd » → 2 adjectif qui se suivent + ligne 23 « bras maigre.... » il y a un contraste.

sculptures de David et de Moïse, une fresque narrant la Création sur la voûte de la chapelle Sixtine, et le célèbre 'Jugement dernier' sur le mur de l'autel de cette même chapelle. Cette dernière œuvre a suscité à l'époque de vives polémiques : la nudité joyeuse des personnages choquait. Achevée en 1541, elle a été retouchée en 1564 afin de conformer ces protagonistes sacrés. Seuls Raphaël et Léonard de Vinci, ses contemporains, ont pu rivaliser avec ce « génie de la Renaissance ». Il décède le 18

 recevoir  une  éducation  complète  (langues  anciennes,   sens  artistique,  science,  techniques,  nature  (cf  Gargantua  Pantagruel  de  Rabelais…)       2  La  contestation  des  vérités  de  l’époque   - Homme  mis  au  centre  de  la  réflexion    n’apparaît  plus  comme  accablé  par  le  pêché  originel   - Valorisation   de   la   Liberté   de   l’Homme

est crée par le détour de l’illusion a) L’illusion joue un rôle de révélateur b) L’illusion peut-être trompeuse Les deux pièces expliquent le mystère de la vie, mettant en relief ce que la vie réelle ne permet pas d’appréhender c’est-a-dire la vérité de l’existence. Tout d’abord, le XVIIème siècle a jonglé avec la suprématie et l’ostentation. En outre, le baroque a eu encore une grande influence sur tous les domaines, étant caractérisée par les effets dramatiques, la grandeur parfois pompeuse

s’habituer à la douleur »), la douleur psychologique, l’humiliation et la sensation de vulnérabilité provoquée par sa nudité (« j’étais nue, toujours nue ») et l’arrestation de sa famille (« ils ont arrêté mes parents et presque tous mes frères et soeurs », « ils ont pendu mon petit frère de trois ans […] devant [ma mère] »). Les mots sont difficiles à trouver pour évoquer la vérité crûment, ainsi Louisette Ighilarihiz n’évoque pas clairement les viols qu’elle accuse le capitaine Graziani de lui avoir

ons sexuelles et de la mort.3 Dans  L’impossible,  la  femme  est  «  belle  comme  une  louve  et  noire  » mais  sa  nudité  «  fait  peur  »,  elle  est  la  voie  qui mène  «  à  travers  les  flammes  »  à  l’ordure  et  la  nuit4. L’obscénité exaspère l’amour bataillien, le sexe féminin  par sa « fourrure » évoque l’animalité,  il est assimilé à un  «  gros  rat  »5  :  «  la  nudité  n’est  que  la  mort  et  les  plus  tendres  baisers  ont  un  arrière‐goût  de  rat  »6.  Le  «  secret  que le corps abandonne avec la robe » correspond à ce

platonicienne pour laquelle elle est entendue comme la faculté inférieure de connaissance liée aux illusions des phénomènes (phainomèna). Elle s’oppose à l’entendement ou intellect, seul capable de nous faire accéder à la connaissance mathématique de la vérité. Quant à l’expérience du beau, elle est un phénomène irréductible, et, nous pourrions objecter, que questionner cette expérience est peut-être porter atteinte au point d’appui le plus sûr de l’individu et raisonner inutilement sur une certitude

imaginaire L'artiste s'en tient aux apparences sensibles et non de l'essence. Par conséquent, il ne rend pas compte de la vérité. L'idéalisme de Platon est composé d'un monde sensible et d'un monde des Idées. Ce dernier montre la vérité puisqu'il représente l'essence. Le peintre est un obstacle vers le vrai car il représente des apparences, ce qui ne tient pas à la vérité, puisque celle-ci est assimilé à l'essence, selon Platon. Pour lui, l'essence correspond à l'Idée. B) Les limites

livre” - “C’est moi que je peins” C’est aussi une réflexion sur l’Homme en général : “Tout homme porte la forme entière de l’humaine condition” Œuvre marquée par le Scepticisme : ni l’imagination, ni la raison ne permettent à l’homme d’accéder à la vérité : les connaissances humaines sont donc fragiles : “Que sais-je ?” → devine adoptée par Montaigne qui est hostile à toute affirmation dogmatique. Montaigne ne s’enferme pas dans le doute, il pratique un art de vivre fondé sur la tolérance, la réflexion

collectif. Ainsi les parents ne sont pas plus individualisés que leur progéniture. 2/ Les stigmates de la misère Ces enfants portent les stigmates d’une misère qui est, en partie du moins, le corollaire de leur nombre et qui se lit sans la quasi-nudité, la vermine et surtout la faim. L’absence de vêtement chez les bébés et les enfants et le vêtement rudimentaire (un pagne) et unisexe qu’ils portent à partir de douze ans, l’âge de la puberté, s’expliquent sans doute par la chaleur des pays de mousson