Nudité De La Verité

de survivre. Ainsi tout être vivant, conscient ou pas, travaille par "le tri" Platon : nous sommes contraint de travailler car nous sommes démunis : nous n'avons pas de caractère spécifique pour vivre dans la nature, (cf le mythe de Prométhée : la nudité humaine nous force à travailler pour survivre). Sartre : Nous sommes condamnés à être libre et tout homme qui se cache derrière un déterminisme fait preuve de mauvaise foi (Sartre est un philosophe existentialiste) Hegel : (dans la phénoménologie

d’empêcher toute communication, nous rapporte au contraire l’un à l’autre dans la différence. La contreépreuve de cela nous est livrée par l’épreuve de la mort de l’ami. L’événement de la mort révèle en effet, et efface à la fois, cette vérité de l’amitié comme vérité des lointains : Quand vient l’événement même [i.e. celui de la mort], il apporte ce changement : non pas l’approfondissement de la séparation, mais son effacement ; non pas l’élargissement de la césure, mais son nivellement, et la dissipation

photographies. Pendant longtemps, les formes, les rondeurs des femmes étaient mises en valeur comme on peut le voir dans certains tableaux (voir en annexe). Mais surtout, le naturel était prôné avec une mise en valeur du corps dans toute sa splendeur, la nudité. Aucun artifice ne venait cacher ce corps naturel et nu. Les tableaux de Titien par exemple, représente des femmes allongées et bien en chair, même la déesse Vénus n’est pas représentée comme étant mince, bien au contraire. Cela s’explique simplement

de survivre. Ainsi tout être vivant, conscient ou pas, travaille par "le tri" Platon : nous sommes contraint de travailler car nous sommes démunis : nous n'avons pas de caractère spécifique pour vivre dans la nature, (cf le mythe de Prométhée : la nudité humaine nous force à travailler pour survivre). Sartre : Nous sommes condamnés à être libre et tout homme qui se cache derrière un déterminisme fait preuve de mauvaise foi (Sartre est un philosophe existentialiste) Hegel : (dans la phénoménologie

et alors ? Nous passons notre vie à nous tromper et à rectifier nos erreurs. Et d’ailleurs, sauf en logique, la vérité et l’erreur ne sont pas antinomiques. Au contraire, elles s’agglomèrent suivant des proportions constamment variables. Vouloir éviter toujours l’erreur est totalement chimériqque, le mieux que nous puissions faire étant de la considérer comme une approximation de la vérité. C’est un jeu facile et sans intérêt de relever les erreurs commises par les plus grands penseurs et de souligner

selon notre mode, bref en contemporains. Cela ne serait rien encore ; mais l'ennuyeux, c'est que l'artiste a créé une nouvelle forme pour le sujet nouveau, et c'est cette nouvelle forme qui effarouche tout le monde.D'abord, Manet a le souci de la vérité de l'impression générale, et non de l'achevé de détails qu'on ne saurait distinguer à quelque distance. Il fait preuve en outre d'une élégance naturelle ; il est un peu sec, mais beau, le sens du moderne est toujours fort développé chez lui, et ses

elle va se faire dévorer par cette maison, cette vie ouvrière, inévitablement. Chapitre 3. I. Le peuple et la culture. 1. La mise en scène d’un lieu imposant Des dimensions impressionnantes et suggérées par « sur le premier palier », « la nudité sévère de l’escalier », « sous les voûtes », « l’enfilade des petits salons ». C’est un musée assyrien avec des colosses de pierre : « les dieux de marbre noir », muets dans leur raideur de personnages sacrés, « les bêtes monstrueuses ». On note la

naïveté supposée de Zola, s’inscrit donc dans une problématique du « mentir-vrai » que celui-ci n’aurait pas désavouée. Le romancier naturaliste est un illusionniste car « nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût différents créent autant de vérités qu’il y a d’hommes sur la terre ». Emile Zola et ses congénères naturalistes ne sont pas savants. La Bête humaine est avant tout une œuvre d’art, « un coin de la création, vu à travers un tempérament ». En faisant de la gare Saint-Lazare l’épicentre

l’unité d’action D’autres règles sont aussi établies : « Jamais aux spectateurs n’offrez rien d’incroyable, Le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable » -règle de vraisemblance -règles de bienséance : *pas de brutalité/violence. *pas de nudité. * certains personnages ne peuvent pas parler à d’autres (statut social). | La tragédie | La comédie | Etymologie | « Trachos »=bouc | Comodia, « comos » = célébration + « ode » =chant | But | Purgation des passions : catharsis. | Corriger

La Part de l’Autre, Éric-Emmanuel Schmitt 1. La minute qui a changé le cours du monde … Adolf H. Accepté Problème avec les femmes (lors des cours de dessin, nudité)  consultation avec Sigmund Freud : sentiment de supériorité parfois, doit parler de ses parents. Paiement  une enseigne … pour les toilettes de Freud. 1ère commande artistique : peindre une enseigne pour un boucher Problème avec les rêves. Ne rêve pas. Page 80-82 : explication de la maladie d’Adolf Le modèle des cours (Ariane/Stella)