Néoclassique Dichotomie

de Ricardo. On retrouve ainsi dans le marxisme le déterminisme qui caractérise la croyance en des lois économiques universelles. Il n’est dès lors pas étonnant que le marxisme et l’Ecole historique se soient opposés aussi énergiquement. L’âge néoclassique Entre 1871 et 1874, sans concertation entre eux, trois auteurs, Jevons, Menger et Walras, déclenchent ce qu’il est convenu d’appeler la révolution marginaliste. D’où émerge l’économie néo-classique qui s’impose au XXe siècle et jusqu’à nos jours

plutôt d’inactifs et non pas de vrais chômeurs. Pour certains économistes néoclassiques, il y a toujours une part volontaire dans tout chômage au sens où celui-ci vient également du refus des conditions de travail attachées à certains emplois. Inversement, le chômage involontaire désigne une situation dans laquelle l’individu accepterait de travailler au salaire existant, mais ne trouve pas d’emploi. Pour les néoclassiques, une réduction du salaire conduirait alors à une réduction du chômage involontaire

quelques particuliers, quoiqu’à l’égard d’une grande société ce profit fasse beaucoup plus que rembourser les dépenses ». L’Etat devait ainsi construire les infrastructures trop peu rentables pour l’initiative privée. Par la suite, les économistes néoclassiques (Pigou, Samuelson…) vont admettre que l’Etat peut avoir une action correctrice dans certains cas. Arthur Cecil Pigou (1877 – 1959) fût nommé Professeur d’économie politique à l’Université de Cambridge afin de succéder à Alfred Marshall. Pigou et

comportement humain comme une relation entre une hiérarchie donnée de faim et des moyens rares, qui ont des usages alternatifs » * Tout le monde agit de façon rationnelle L’individu est alors un ultra-rationnel, un Homo Economicus Ainsi Walras (néoclassique), distingue : L’économie politique pure : les lois naturelles ; la concurrence est le meilleure moyen d’assurer le développement des richesses. L’économie sociale et appliqué : sert à guider les interventions de l’état. Ainsi les nouveaux services

relativement à ce besoin de monnaie * Chez certains auteurs : la demande de monnaie dépend du volume des encaisses * Chez d’autres (néoclassiques) : demande de monnaie dépend des besoins de monnaie * Mais ne veut pas dire la même chose dans ces deux situations * * Grand débat sur la demande de monnaie entre les néoclassiques et Keynes : * Néoclassiques : la monnaie n’est jamais demandée pour elle-même * Chez Keynes : deux motifs de détention de la monnaie (motif de transaction

l’investissement : les facteurs anticipatifs (demande, profit) dont on attend un effet essentiellement moteur, et les facteurs contemporains plutôt limitatifs (contrainte budgétaire). Les facteurs techniques se situent entre ces deux groupes. Cette dichotomie se trouve confirmée par l’analyse descriptive des opinions telle qu’elle est habituellement réalisée à un niveau agrégé (cf. encadré 2). Au travers d’indicateurs synthétiques comme le poids absolu et le solde d’opinions, on met en évidence une différence

possibilités et le coût du crédit (et ce, d’après le principe de la demande effective de Keynes). A l’inverse, on peut prétendre qu’un crédit excessif non seulement suscite l’inflation mais aussi désorganise la production si l’on croit les économistes néoclassiques, notamment F.V. Hayek et M. Friedman. L’activité réelle pèse également sur le secteur monétaire et sur les besoins de financement. L’augmentation de la production (phénomène réel) implique une demande de monnaie additionnelle ou un accroissement

considère que la théorie est prédéterminée par les facteurs de production, alors que pour un mm montant on peut obtenir un meilleur rendement à travers une meilleure gestion. On cherche également à légitimer la forme capitaliste de l’entreprise néoclassique le mode de gouvernance capitaliste est le meilleur. Mais les néo classiques on reconnu qu’il n’avait pas de légitimation. Sur cette théorie moderne on verra qu’elle aboutit à peu près aux mm conclusions que la théorie moderne économique on aboutit

Finance directe Financement interne Finance indirecte Financement externe ÉCO. FI. DE MARCHÉS DE CAPITAUX ÉCO. FI. DE CRÉDIT 1/10/08 Ch. BIALÈS Page 4 Ch. BIALÈS Page 5 1/10/08 ◊ Ces deux classifications font apparaître une dichotomie générale entre les économies financières qui fonctionnent essentiellement avec du financement interne et le recours au marché pour ce qui concerne le financement externe, avec plus ou moins de fonds propres, et les économies financières où le financement

économiques. La théorie néoclassique : La théorie néoclassique de l’investissement se propose de déterminer un niveau de capital d’équilibre par l’intermédiaire de variables, telle que le degré d’activité, les coûts de production, le prix des biens d’équipement et le « coût d’opportunité » du capital (qui reflète essentiellement les intérêts que peut produire un investissement consacré à un actif financier). La théorie keynésienne : Contrairement aux classiques et aux néoclassiques, Keynes considérait