Obscurité

en question ? L'homme ne serait alors t-il plus maitre de lui même, de ses actes et de ses pensées ? Etant ignorant des motifs inconscients qui le poussent à agir, il perdrait alors aussi sa liberté et deviendrait le jouet d'une obscurité sur lui même ? Si cette obscurité est affirmé, est elle ce qui rend l'homme aveugle à lui meme ? D'après la théorie de Freud, l'inconscient est un ensemble d'idées , de perceptions, d'émotions constituant le psychisme, influant sur nos comportement mais inaperçues

nostalgique.Dans la phrase suivante, on a une indication temporelle « aujourd’hui » suivie de 2 compléments circonstanciels de temps « dans la demi-obscurité » « et la fin du jour ». Cette phrase introduit le sentiment que quelque chose est différent « aujourd’hui ». Nous ne sommes plus dans la nuit, dans le coté sombre, mais dans la « demi-obscurité », comme si une prise de conscience commençait à apparaitre, comme si la tristesse commençait à s’estomper.2ème mouvement : la conscience de soi« Claudine

« triste »), réaliste (ville des réalistes = plein de détails). B. Nuit d’orage * Temps précis : précision « deux heures du matin », référence incontestable « horloge de l’Hôtel de Ville » ; été, « nuit brûlante de juillet ». * Obscurité : répétition de « ténèbres », antithèse entre l’obscurité, la nuit (« nocturne », « ténèbres », « aveuglé ») et la lumière des éclairs (« éclair », « illumina », « réverbération », « lueur »). * Importance, violence : insistance avec adjectifs

quelques étoiles » (l.3-4). De fait, le champ lexical de la nuit occupe la première partie du texte : « la lune » (l.4) ; « ses rayons » (l.5) ; « l’ombre mobile » (l.6), « des ténèbres » (l.7), comme si la chambre n’existait que dans cette obscurité. Mais cette obscurité s’avère angoissante car elle s’accompagne de bruits et de mouvements : « les martinets […] s’enfonçaient en criant dans les trous des murs » (l. 2-3) ; « des chouettes, voletant […], passant et repassant entre la lune et moi, dessinaient

un calme qui surprend les autres médecins (L19), il gère toute l’organisation des secours (L3). La lumière à une place importante dans le texte. On sait que la scène se déroule la nuit grâce aux expressions «  obscurité complète » et «  nuit ». Et afin de lutter contre cette obscurité, Guérnico insiste « calmement », « avec patience » et à plusieurs reprise pour que l’on porte des lampes torches dans chaque ambulance, la lumière étant «  la première condition de secours ». On peut, par ailleurs

deux premiers vers. On peut y voir deux évocations ici: Le mouvement physique de la personne qui pénètre dans ce port enseveli, et le mouvement mental du poète qui sonde sa mémoire, comme peut le suggérer l'aller retour du poète entre lumière et obscurité. Ungaretti suggère que le déplacement physique est une des source du souvenir et fait un parallèle entre mouvements de la mémoire et mouvements physique (départ, voyage). Dans « Silence », le départ et le souvenir sont évoqués à la suite, et l'utilisation

début de la Nuit de Valognes, on apprend que la pièce se déroule dans un lieu sale, inspirant une atmosphère glauque. Ceci est assez complexe à mettre en scène, et c’est un défi pour le metteur en scène et les décorateurs pour rendre « la froide obscurité de la plaine normande ». De plus, dans des textes de théâtre classique (Molière, Marivaux), les didascalies sont très peu nombreuses, voire absentes et ne servent qu’à donner que quelques indications de déplacement (« se retirant vers le fond

par le champ lexical de la nuit comme le montrent les mots : « nuit sans étoiles » (l 1), « obscurité » (l1) « le sol noir » (L 5), « Ombres d'arbres » (L9) et « ténèbres » (l 11). La scène se déroule au milieu de la nuit aux alentour de trois heures du matin car le personnage est parti « vers deux heures » (L 12) et marche « depuis une heure » (L 21 ). Il utilise plusieurs métaphores dont : « D'une obscurité et d'une épaisseur d'encre » (L1-2). Elle a pour but d'accentuer cette idée d'obscurité en

Activité 1 : Le métabolisme des cellules chlorophylliennesOn sait que les végétaux chlorophylliens réalisent la photosynthèse : 6CO2 + 6H2O → C6H12O6+6O2Ils produisent leur propre matière organique à partir seulement de matière minérale (CO2 et H2O) et d’énergie lumineuse. Le glucose formé lors de la photosynthèse est ensuite transformé dans la cellule en une quantité d’autres molécules organiques (autres glucides, protéines, lipides, acides nucléiques), à l’aide des atomes apportés par les sels

nous avons ensuite un vocabulaire mélioratif de ce que les aînés ont accompli avec « formidable » (ligne 4) qui met en valeur « amas » (ligne 4). Nous avons après un constat réaliste de ce qu’ils ont fait avec « contradiction » (ligne 4) et « obscurité » (ligne 4) qui est un vocabulaire péjoratif. Il y a notion de difficulté avec « effort » (ligne 5) qui est une notion définissant le travail. Nous avons une métaphore de la guerre qui marque la difficulté du travaille accompli par les aînés avec