Obéissance Aux Lois Socrate

Montesquieu Morus Needham Nerva Newton Numa Palissy (Bernard de) Périclès Pétrarque Phidias Photius Pindare Platon Pline Plutarque Pope Price Priestley Proclus Ptolémée Pythagore Racine Raphaël Rei (Jean) Rousseau Sénèque Socrate Sophocle Smith Stewart Thalès Thucydide Tibère Turgot Vignes (Pierre des) Virgile Voltaire Wicleff Witt (Jean de) Xénophon Zénon (de Cittium) [pic] CONDORCET Marquis de Jean-Antoine-Nicolas de Caritat CONDORCET,

naissance d'une science juridique. L'utilité immédiate du droit est : une règle de droit ou une forme d'organisation politique, il n'y a pas de valeurs absolues, de bonnes ou mauvaises lois. Les lois doivent toujours être adaptées à une civilisation donnée. Comme la dit Montesquieu dans sont ouvrage "l'esprit des lois" : "les lois résultent d'un ensemble de circonstances qui en expliquent l'infinie variété". Les règles de droit naissent, se transforment puis disparaissent. Périodes historiques : - Antiquité

contemporaine, elle s’appuie notamment et surtout sur des grands penseurs classiques de philosophie politique (notion de pouvoir). Des précurseurs célèbres 1) Les prémisses d’une démarche scientifique : Aristote (élève de Platon, ami de Socrate) accordait une importance essentielle à la politique. Pour lui, l’homme est un animal politique qui ne se réalise pleinement que parce qu’il appartient à la polise (cité). Aristote croyait en la science, en le savoir. Il avait un souci d’établir

renseigner sur le critère qui lui permet d’accepter ou de refuser une loi. C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter les lois ? (début du livre I). Avançons quelque peu dans la lecture du texte : Rousseau constate en CS, I, I que, quoique l’homme soit naturellement libre, « partout il est dans les fers », c’est-à-dire qu’on observe partout des hommes soumis à un pouvoir

et était la source de tous les pouvoirs. Pendant l'intervalle des réunions on avait un conseil: la boulée et on avait des magistrats: les arcomptes et les stratèges. Ce régime était très élaboré, on avait déjà des contrôles de constitutionnalité des lois... Mais critiques très virulentes car la totalité des citoyens ne venaient pas, on en avait qq milliers qui étaient dominé par des leaders. On avait des manœuvres politiques (Jacqueline de Remilly: pb de la démocratie grecque). Tous les auteurs mettaient

des règles de droit qui s'ajoutent aux lois françaises. Ainsi, plus il y a de règles, plus elles peuvent être reliées entre elles, rendant le droit encore plus complexe. 5) Le droit est de +/+ changeant : Par nécessité (adapter le droit aux changements de la société) Pour créer un effet d'annonce (depuis 20/30 ans, les pouvoirs politiques utilisent le droit pour informer les électeurs, la population) Ex : Lutte contre la délinquance : depuis 40 ans, les lois contre la délinquance se sont multipliées

être pour bien juger de ce qui est ». Développement de la conférence : Point de départ : la fin de la lettre à l’abbé Raynal (in Discours…, GF-Flammarion, p. 125) : « Je sais d’avance avec quels grands mots on m’attaquera. Lumières, connaissances, lois, morale, raison, bienséance, égards, douceur, aménité, politesse, éducation, etc. À tout cela je ne répondrai que par deux autres mots qui sonnent encore plus fort à mon oreille. Vertu, vérité ! m’écrierai-je sans cesse ; vérité, vertu ! Si quelqu’un

parties du livre exigent un retour à nos classiques, Platon et Aristote. Il faut avant tout se remettre deux noms en mémoire et plus que deux noms deux œuvres Platon 427-347 av JC. Fils d'une famille noble athénienne, à l'âge de 20 ans, il rencontre Socrate. Sous son influence, il choisit la voie de la philosophie. Pour l'un comme pour l'autre elle doit avoir une destination politique. Trois tentatives pour établir des gouvernements justes en Sicile auprès de trois tyrans, se soldent par un échec. Platon

en plus de règles de droit et on constate que généralement ces règles de droit sont de plus en plus complexes. Pourquoi ce développement? La complexification de la société : le progrès technique a connu un tel développement, qu'il a multiplié les lois (ex : au 18-19eme siècles, les avions n'existent pas donc, pas de loi sur l'aviation. A partir de sa création, il a bien fallut créer des règles de droit pour indiquer ce qu'il est possible de faire ou de ne pas faire (ex : Où construire un aéroport

usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine des valeurs morales ? La conscience morale implique la présence, en chacun, de valeurs qui l’aident à définir ce qui lui paraît bien ou