Obéissance Et Respect Aux Lois De La Cité

souveraineté de l’Etat. S’il existe des gouvernants, il existe aussi, par la force des choses des gouvernés. « Le pouvoir de commander sous la sanction de la contrainte qu’exercent les gouvernants, est-il légitime ? Lui doit-on obéissance ? S’il est légitime et si on lui doit obéissance, pourquoi en est-il ainsi ? » 2 réponses : soit cette souveraineté est issue des hommes eux-mêmes, soit au contraire, elle trouve son origine à l’extérieur de ceux-ci. Extérieure aux hommes, la souveraineté est alors d’origine

comportement et ce de manière à réguler la société ou le groupe. - La notion de pouvoir est alors articulée sur celle de domination qui suppose non seulement la discipline mais, quelles qu’en soient les motivations, une certaine volonté d’obéir et non une obéissance mécanique. - En effet, si le pouvoir, comme capacité de contraindre, est énigmatique, c’est que la force en elle-même ne peut l’expliquer. Si la force et la contrainte violente peuvent être les moyens du pouvoir, elles ne sauraient cependant pas

d’inégalité. Sur le fond avec le principe que l’épouse doit obéissance à son mari, notamment. Cette inégalité relativement très respecté dans la société française va pourtant progressivement changer. C’est dès le début du 20e siècle avec la montée du libéralisme et de l’individualisme. L’égalité sera petite à petit promue par des réformes comme celle sur la filiation ou sur l’égalité des époux (en 1985). On peut ajouter les lois sur les violences conjugales du 4 Avril 2006 et d’aout 2014

système juridique fondé par T homas Hobbes. o Lé viathan: ouvrage principal de Hobbes : anthropologie et système juridique o O util mé thodologique(utilisé par tous les naturalistes) :l’é tat de nature: pour savoir qui nous sommes sans règles, sans lois, sans système juridique, dans la nature, seuls. Hobbe s: dans l’état de nature : l’homme est un loup pour l’homme, pas de justice, pas d’injust ic e i l n’y a pas de notion de : juste e t d’injuste a priori. Thomas Hobbes 1588-1679 1. T ous les

de liberté attribuer aux citoyens Les solutions données par les lois doivent être adaptées. « Les lois résultent d’un ensemble de circonstances qui en expliquent l’infinie variété » - Sens éco , social , philo Le droit correspond à un milieu social , il évolue. Les règles de droit naissent , et se transforment meurent disparaissent afin de créer de nouvelles règles. Grace à l’étude historique on peut suivre l’évolution de ces lois. Quelle est la bonne loi ? Est-elle bien adapté ? Faut-il la changer 

question : Au nom de quoi ? La vraie question n’est pas « je pense cela parce que c’est comme ça » mais plutôt pourquoi « je pense ce que je pense » alors ensuite j’accepte des contraintes au nom d’une collectivité et j’identifie les raisons de mon obéissance. Les modes d’organisation du pouvoir sont dominés par l’héritage. CHAP 1 : LES ORIGINES DANS CETTE ERE (puis chap 2 modèles politiques qui ont dominés l’histoire de ces peuples) I SOUS PARTIE : les peuples d’Europe 1 – Le présupposé d’une

famille conjugale ou nucléaire). Cette définition est insuffisante dans le temps la famille a été plus ou moins large, le modèle familial évolue, le droit présente un modèle familiale qu’il propose de suivre ou une contrainte à suivre. Mais il n’est respecté dans le droit de la famille que lorsqu’il correspond aux mœurs et aux habitudes sociologiques (loi du 15 novembre 1999 sur le PACS). Durkheim perçoit dans l’évolution des hommes le signe d’un rétrécissement continue de la famille. II- Historique

ressemblent pas ? Pourquoi y a-t-il évolution du code moral dans la même communauté ? A / MORALE ET SOCIÉTÉ La morale se présente d’abord comme « morale du groupe ». Il n’y a que les membres de la "cité" qui, se tenant comme les cellules d’un organisme, introduisent parmi eux une discipline qui fonde leur solidarité et leur unité. La vie sociale est un système d’habitudes ou de règles fortement enracinées en chacun de nous et dont l’objectif est de

vient du grec « polis »= la cité-état dont les membres étaient des citoyens « polites ». Ces citoyens étaient des hommes, des locaux cad que les étrangers n’avaient pas accès aux droits de citoyenneté c’étaient des métèques et les esclaves eux non plus n’avaient pas le droit de citoyenneté. Sur le mot de citoyen a été construit le mot « politikos » « ikos » veut dire une compétence dans un domaine, donc le citoyen est apte à la connaissance des règles qui régissent la cité. Le livre de Platon « Politikos »

Livre II : ce qui est juste, du point de vue de l’être humain. Justice : idée d’adéquation entre ce que l’on est et ce que l’on doit être (la justice est due par l’humanité qui est en nous) Genèse de la cité : ne se réfère pas à l’histoire, mais distiné à faire comprendre ce qu’est une cité. « La cité se forme parce que chacun d’entre nous se trouve dans la situation de ne pas se suffire à lui-même ; mais au contraire de pas se substituer à autre chose. Les hommes se rassemblent nombreux au sein d’une