Obéissance Et Respect Aux Lois De La Cité

par parallélisme une règle de conduite envers autruî », il faut être soi-même un modèle pour que l’entourage et les gouvernés connaissent la honte de mal faire, comme il a été dit plus haut. Ainsi l’ordre et l’harmonie règnent dans la société et les lois n’ont plus de raison d’être. La vraie grandeur de l’homme. La supériorité du dirigeant ne se dégage pas de sa position sociale mais de ses qualités qui le distinguent de son entourage. Ses qualités s’appliquent aux grandes choses comme aux petites

du Christ avec l'Eglise « l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux ne feront qu'une seule chair : ce mystère est de grande portée ; je veux dire qu'il s'applique au Christ et à l'Église. » D'ailleurs ce point est cité implicitement par Pothier lorsqu'il énonce que Jésus Christ a élevé ce contrat à la dignité de sacrement à l'image de son union avec l'Eglise. Pour conclure sur cette première sous-partie : on voit bien que Pothier ne nie pas du tout la dimension

sens propre du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, sachant les choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, est libre de faire celles qu’il a la volonté de faire. Beaucoup d’entre nous pense qu’obéir aux lois, c’est aussi renoncer à sa liberté, puisque le respect d’une loi, ne nous permet pas d’être totalement libres de nos choix. La loi est une série de règles générales qui indiquent le permis, le défendu et l’exigible. Elle précise la manière dont nous devons nous comporter, nos

rompt son contrat social ne serait plus une société … Du contrat social commence par ces mots : « Je veux chercher si, dans l’ordre civil, il peut y avoir quelque règle d’administration légitime et sûre, en prenant les hommes tels qu’ils sont, et les lois telles qu’elles peuvent être. Je tâcherai d’allier toujours, dans cette recherche, ce que le droit permet avec ce que l’intérêt prescrit, afin que la justice et l’utilité ne se trouvent point divisées. » (Livre I, Préambule) Du contrat social est

parlement qui vote la loi, le maire qui prend un arrêté, le peuple (la Constitution par référendum). Une norme juridique présente 2 grands caractères (générale et obligatoire). Elles s’appliquent à toutes les personnes qui forment le corps social. « Les lois sont des commandements » selon le grand juriste Portalis. La règle de droit ordonne, interdit, punit, récompense, permet. Sa transgression expose à une sanction qui peut être pénale, civile (condamnations à des dômmages et intérêts en réparation d’un

quand on le veut. Dans une pleine opposition, on peut affirmer que le fait de respecter des règles ou juste le terme obéissance est l’opposé de cette définition de liberté. Mais on pourrait donc proposer l’ hypothèse que toute personne vivant dans une ville, une cité ou un État n’est pas libre puisqu’il doit respecter ses droits et devoirs et plus simplement doit respecter des lois. Et le simple fait de ne pas respecter ses lois entraîne une correction de l’ État. Mais cette vision des choses est elle

sont entretués, Créon le Roi de Thèbes refuse d’offrir une sépulture correcte à Polynice et le condamne ainsi à errer à jamais sans trouver le repos. Antigone refuse de l’accepter et demande à sa sœur Ismène si elle serait prête à désobéir aux lois et à l’aider à enterrer leur frère. Ismène refuse malgrés qu’elle soit d’accord avec l’idée. Après un discours de Créon devant les vieillards de Thèbes, un garde vient l’avertir qu’une fine couche de Terre avait été déposée sur le corps de Polynice

chose, c'est ne pas se plier aux lois morales ou juridiques que l'on nous a imposées. La loi, c'est en effet d'abord la loi juridique, celle qui est produite par un pouvoir législatif et exécutée par un pouvoir exécutif, légitimes ou pas, et auxquelles les membres d'un Etat doivent se soumettre. Or, la désobéissance, pacifique ou violente, peut d'abord être entendue comme une action de contestation dont la finalité est d'aboutir à la remise en question des lois ou du régime qui les a produites,

des règles. L’ensemble de ces règles sont désignées par le mot « Police ». C’est un ensemble des règles établies dans un Etat pour faire régner l’ordre et assurer la sécurité des citoyens. On dira par exemple : « Une police juste assure le respect des citoyens ». Police : organisation de l’ordre. Le mot « Police » sous entend également une organisation de l’ordre au sein d’une collectivité ou d’un groupe. On dira par exemple : « la police de l’audience est assurée par le juge président »

capacité de certains groupes ou individus qu’on appelle les gouvernants de diriger la vie en société. La capacité d’orienter les comportements de l’ensemble de cette société mais surtout de promulguer des règles qui s’appliquent à tous et de les faire respecter par tous. Cette définition de la politique englobe à la fois la politique comme espace, comme activité, comme action publiques. L’activité de gouvernement est fondée sur une relation de pouvoir entre celui qui exerce le pouvoir politique et l’ensemble