Obéissance Et Transgression

l’impression contradictoire que le Parti communiste français laisse. Ainsi, elle oppose la perception positive que les non-membres ont du Parti à sa décevante expérience de membre lorsqu’elle dit : « Du dehors, toute cette institution, cet ordre, cette obéissance, cet endroit mort où plus aucun vent de révolte ne souffle, ça reste impressionnant. Quand on y est allé, on voit le toc que ça représente, l’exploitation. » (Duras, 1977, p. 119.) Aussi, elle confie que son expérience au sein du Parti communiste

dérogation A/ Dérogation par habilitation B/ Dérogation par confusion 1. Confusion transitoire 2. Confusion exceptionnelle CHAPITRE 3 : LE RAYONNEMENT DE LA LOI PÉNALE CHAPITRE 4 : LA RESTITUTION DE LA LOI PÉNALE TITRE 2 - LA TRANSGRESSION DE LA LOI : L’INFRACTION. TITRE 3 - L’IMPUTATION DE L’INFRACTION : LES RESPONSABLES. TITRE 4 - LA PUNITION DES RESPONSABLES : LES PEINES. TITRE 1 LE SUPPORT DU DROIT PÉNAL : LA LOI. CHAPITRE 1 : LE RECOURS

de bon père de famille. C’est le fait de ne pas se conduire en homme déraisonnable et de ne pas se conformer à la prescription visée. Il suffisait de constater la violation d’une disposition législative ou réglementaire impérative ou la transgression d’une règle dégagée par les usages d’une faute. 2- L’exercice abusif d’un droit En principe, la personne qui exerce le droit dont elle est titulaire joui d’une pleine et entière liberté. Toutefois, l’acte exercé ne doit être ni excessif

de la loi qu’ils consentent à obéir. Ceux qui rédigent les lois doivent particulièrement soigner les préambules (= exposer les motifs aujourd’hui). Ces préambules, s’ils sont bien rédigés permettront l’adhésion de tous  à la loi et du coup une obéissance rationnelle à la loi. Il faut aussi aller chercher l’irrationnel chez les citoyens. L’idéal même du roi philosophe n’est qu’un idéal, il est rare de trouver un philosophe à  la hauteur dans une cité.  * Aristote.  Né en Macédoine, vers

norme A la légitimité du commandement de l’autorité, le citoyen préfère celle de la norme. La norme objectivise les relations des individus entre eux. Ce n’est plus au supérieur hiérarchique, à l’employeur, au policier, au professeur que l’on doit obéissance mais à un ordre émanant de lui, et ce à condition qu’il soit conforme à un ordonnancement juridique préexistant. Cette distance, qui - et cela peut passer pour un paradoxe réduit l’affrontement direct, permet d’en référer à une autorité tierce -

livre tende en aucune sorte à troubler le culte établi ni l’ordre public puisque au contraire j’y insiste sur le respect qu’on doit aux formes établies, sur l’obéissance aux lois en toute chose, même en matière de religion, et puisque c’est de cette obéissance prescrite qu’un prêtre de Genève m’a le plus aigrement repris. Ce délit si terrible et dont on fait tant de bruit se réduit donc, en l’admettant pour réel, à quelque erreur sur la foi qui, si elle n’est avantageuse à la société, lui est du moins

la réglementation et aux exigences sociales ; si non c’est l’anarchie, le désastre, l’insécurité, l’instabilité. Tous cela pour dire qu’être membre d’une communauté ; c’est se soumettre aux conditions sociales ou obligatoires en évitant la transgression c'est-à-dire la désobéissance sociale. Mais, le paradoxe c’est que selon KANT : « l’homme est à la fois un être sociable et insociable », ce qu’il appelle l’insociable sociabilité des hommes. Il est sociable parce qu’il a un penchant à entrer

doit néanmoins la maintenir sous son contrôle rationnel : toute croyance n’est admissible que si elle est compatible avec la morale, avec la recherche du « souverain bien ». La foi aveugle d’Abraham, par exemple, qui sacrifie son fils Isaac par obéissance à Dieu, est condamnable comme contraire à la loi morale. Ainsi une croyance non rationnelle (la foi en une Révélation) peut être dangereuse pour la moralité : la religion doit demeurer « dans les limites de la simple Raison12 ». Emmanuel Kant

différentes classes sociales, apporter l'apaisement. Toutefois le but implicite était, suivant certains auteurs, d'"utiliser l'aide matérielle pour forcer la porte des travailleurs et introduire, par des prêches moralisateurs, les saines conceptions d'une obéissance résignée"[19]. Il est évident que ces "accusations" doivent être comprises en référence à des contextes socio-économiques et historico-politiques. Pour exemple nous pouvons rappeler que les lois et réglementations en faveur de l'Enfance de la

sociologues, travailleurs sociaux et parents utilisent ce terme car il s’intègre bien à la tendance du modèle social actuel. Pour autant, ils ne s'accordent pas sur un sens commun. Anciennement, le mari devait protection à sa femme et celle-ci, obéissance à son mari. Cette vision du couple semblait intolérable pour certains. La femme était sous l’hégémonie maritale et les enfants étaient soumis à la puissance paternelle. Sur le plan juridique, le père représentait ses enfants mineurs. Quant à la