Obéissance Et Transgression

continuité de la loi : pas nécessairement d’application continue Ex : élection présidentielle : tous les 5 ans III- Caractère obligatoire de la règle de Droit Donne sa force à la règle de Droit Le destinataire doit lui obéir ; il doit obéissance à la règle. C’est justifié par la finalité de la règle qui est d’organiser la vie sociale. Comportement humain : régulation autoritaire Caractères autoritaire nuance : 2 types de règles de Droit : Règles impératives : s’impose nécessairement

morale qui lui sert de fondement, en ce sens que le droit, s’identifiant avec l’ordre juridique établi, se suffit à lui-même; il édicte la règle et porte la sanction ; il se contente de l’obéissance à la loi sans demander compte des motifs de cette obéissance. Cette distinction du droit et de la morale est la condition même de la liberté politique. Elle permet de dépouiller l’autorité de son caractère sacré sans autoriser les sujets à la méconnaître. Elle permet à tous l’obéissance à la règle de droit

prêches de ne pas dérober, tu dérobes! 2:22 Toi qui dis de ne pas commettre d'adultère, tu commets l'adultère! Toi qui as en abomination les idoles, tu commets des sacrilèges! 2:23 Toi qui te fais une gloire de la loi, tu déshonores Dieu par la transgression de la loi! 2:24 Car le nom de Dieu est à cause de vous blasphémé parmi les païens, comme cela est écrit. 2:25 La circoncision est utile, si tu mets en pratique la loi; mais si tu transgresses la loi, ta circoncision devient incirconcision. 2:26

C'est en fait la dimension romanesque et galante de la tragédie française du XVIIme siècle qui a conduit Racine, à la suite de plusieurs de ses prédécesseurs, à transformer en amoureux le sauvage Hippolyte des modèles antiques. Il dissimule son obéissance aux codes de la tragédie française en la faisant passer pour un respect envers les critères aristotéliciens de la tragédie (le héros doit commettre une faute), suivant en cela Corneille, qui dans son Discours de la tragédie avait estimé que Rodrigue

celui qui y est soumis. ← « L’autorité requiert toujours de l’obéissance » o Obéissance = étymologiquement, fait d’écouter quelqu’un, de lui prêter oreille, et de se régler sur ce qu’il dit. o Dans l’autorité, il y a une parole posée, qui s’impose tant à celui qui la profère qu’à celui qui l’écoute, et institue l’obéissance. o L’autorité implique une obéissance dans laquelle le sujet conserve sa liberté. o L’autorité ne se justifie pas d’arguments

naturellement des antagonismes économiques et sociaux existant dans la société afin de les maîtriser. contrat politique ou social. -Théoriciens : -XVIeS : Monarchomaques (Hotman, Théodore de Bèze...) : contrat entre le futur Roi et ses futurs sujets (obéissance/garantie des libertés) -1651 : Hobbes : contrat : renonciation de la liberté au profit de la société : Le Léviathan. -1690 : Locke, Traité sur le Gouvernement civil. : concession de la liberté : l'individu conserve des droits qu'il peut opposer

grec et le monde romain qui ignorent la dimension du sujet. Elles possèdent cependant des moeurs et, à ce titre, une moralité objective, réglée de façon stricte par des prescriptions qui sont formulées sous formes de rituels ne souffrant aucune transgression. De tels impératifs prennent leur source dans les croyances religieuses du groupe, à partir d’une partition rigoureuse entre le permis et le défendu, sans que ces normes de vie collective, fortement coercitives et protégées par leur dimension sacrée

commis un péché car il a porte atteinte au caractère sacre de ce mois et parce qu’il a commis une désobéissance et doit faire certaines choses : ▪La première : Se repentir a Allah, Le Seigneur de l’univers, de ce péché qu’il a commis et de sa transgression du caractère sacre de ce mois. ▪La seconde : Rattraper ce jour de jeune qu’il a altère car il a rompu son jeune par l’acte sexuel. ▪La troisième : Il doit l’expiation sévère [Kaffârah Mughalladha] qui consiste a affranchir un esclave, s’il

une venue ou à une proximité accrue. Ph.Jaccottet n'est donc pas toujours ce poète uniquement désireux d'équilibre. Il appréhende un sacré qui, par définition, est à la fois attirant, et terrifiant, un sacré qui est aussi expérience de la transgression et de l'excès[204]. L'équilibre est maintenu pourtant, mais avec, dans la perspective, une lumière inflammable, une lumière de déflagration, ou d'apocalypse. Jaccottet reste aux aguets de cet illimité de feu et loue la lumière qui nous prépare

partenaires. Il y a une véritable convention qui s’établit entre les acteurs juridiques. La convention de la Constitution ne crée pas contrairement à la coutume du droit. Elle admet une contrainte, une limite politique que les partenaires acceptent. La transgression de la convention est envisageable mais suscitera un conflit politique. Dans la situation britannique, par convention, le monarque est obligé de promulguer les lois votées par le Parlement. Il faut comprendre que le refus pourrait avoir des conséquences