Oedipe Roi Sophocle Violence

tragédie d"Œdipe roi" (Sophocle) : Thèbes ravagée par peste, on recherche le coupable de ce châtiment divin. Multiplications de termes négatifs qui soulignent bien la perte de la vie. Il y une généralisation des morts avec la présence d’un chiasme dans la phrase : « Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés ». Ceci est accentué par la présence d’une anadyplose du terme « tous ». Dès le début on a une répétition du mot « mal » accompagné d’un déterminant indéfini. 2. La violence • Registre

les défauts des hommes de son siècle. La Fontaine se sert donc de la forme plaisante de l’apologue pour critiquer implicitement le pouvoir royal, à une époque où l’absolutisme est de plus en plus fort, et où les luttes pour s’attirer les faveurs du roi menacent l’ordre politique du royaume. Par ailleurs, cette Europe du XVIIe siècle souffre de plusieurs maux, la charge des taxes, la famine et subit un fléau dévastateur : la peste. La Fontaine s’empare alors de ce dernier sujet lui permettant de mettre

impardonnable et se sentira libérer par la mort. Elle provoque Hippolyte par l’aveu de son amour afin qu’il sois contraint de la tuer. 7. Montrez que cette tirade permet aussi à Phèdre de laisser parler son cœur, laissant ainsi s'exprimer toute la violence de sa passion (la "fureur"). Prenez appui sur des procédés précis. Elle utilise des hyperbole : « odieuse », « inhumaine », « haine », « tu me haïssait plus, je ne t’aimais pas moins », « j’ai langui, j’ai séché, dans les feux, dans les larmes »

toutefois, moins sophistiquées que celles des leurs contemporains. Comme nous allons le voir, à cette période, nous pouvons citer certaines représentations qui ont certainement marquées la Grèce antique. Telles que les épopées d’Homère, les tragédies de Sophocle, d’Euripide, d’Eschyle et la comédie d’Aristophane qui avant Aristote ont fait de la Grèce un patrimoine culturel. Aristote ayant bien remarqué cela, considère celles-ci, de ces prédécesseurs comme un art qui faisait l’éloge des divinités et des

L’exemple d’Antigone, de Sophocle. C’est une tragédie qui est la mise scène d’un mythe, mythe qui préexiste à la pièce mais c’est la pièce qui nous donne accès à ce mythe. Tout remonte au dénommé Laïos qui est l’arrière grand père d’Antigone qui était marié a Jocaste il subit la malédiction divine sur lais suite à sa passion homosexuelle, il ferra un fils avec Jocaste qui le tuera. Leur fils Œdipe est abandonné mais il a réussit a échapper à l’abandon de se parents. Ensuite Oedipe tue Laïos suite a

l'humanité), les hommes finissent par se conduire très mal, en particulier l'un d'entre eux, Lycaon, réputé pour son mépris des dieux. Celui-ci en effet avait voulu offrir à manger à Zeus de la chair humaine. Pour punir tous les hommes et les exterminer, le roi des dieux provoque alors un déluge. Mais le prévoyant Prométhée avait auparavant conseillé à son fils de construire un coffre dans lequel il se réfugie avec Pyrrha. Ovide raconte également le mythe de Deucalion et de Pyrrha dans les Métamorphoses. Le

1674. Tout d'abord, la règle de la bienséance qui consiste à interdire touts actes violent sur scène. Les passages de violence ou de mort sont alors racontés par un personnage ou d'autre manière pour ne pas choquer les spectateurs du XVIIème siècle, époque où ont été fixé les règles du théâtre. Ainsi dans Œdipe Roi, on apprend le terrible et sanguinaire châtiment que s'est infligé Œdipe par un personnage secondaire. Cette mutilation est dû à ce qu'il compris : sa femme était en réalité sa mère, et que

fondamentales de la tragédie est de «ne mettre en scène que des personnages relevant de quelque grand intérêt d'État». En effet, des héros tel que Rodrigue dans Le Cid provient d'une famille d'aristocrate de haut rang, il est également un des cavaliers du roi. De même nous retrouvons Phèdre, reine d'Athènes et femme de Thésée, ou encore les héros des tragédie grecques qui sont pour la plupart des descendants des dieux, tel que Héraklès, le fils de Zeus. Ces héros de tragédie se distinguent également par

lui-même: «  Sa poitrine se mit…  », «  La langue lui sortit de la bouche«  , «  Ses yeux, en roulant, pâlissaient...  ». L’évocation de «  ses côtes secouées par un souffle furieux  »  va dans le même sens, et l’allitération en f et s appuie cette violence. De ce fait, les réactions du corps suscitent une certaine horreur, qui vient s’opposer à la beauté qui était celle d’Emma autrefois: les détails de la langue «  toute entière sortie de la bouche«  , ainsi que des yeux qui roulent font naître une

un seul personnage reconnaît l'autre / les deux personnages se reconnaissent mutuellement · La péripétie : retournement de l'action en sens contraire. Par exemple dans Œdipe Roi , le messager croit faire plaisir à Oedipe et le délivrer de sa crainte, mais la nouvelle qu'il apporte produit l'effet contraire. · la péripétie idéale selon Aristote est celle qui découle d’une reconnaissance · les tragédies grecques ne