Offre De Monnaie Exogene

Exemple d’un sujet microéconomique: Théorie des jeux Dilemme du prisonnier: Deux suspects sont arrêtés par la police. Mais les agents n'ont pas assez de preuves pour les inculper, donc ils les interrogent séparément en leur faisant la même offre. « Si tu dénonces ton complice et qu'il ne te dénonce pas, tu seras remis en liberté et l'autre écopera de 10 ans de prison. Si tu le dénonces et lui aussi, vous écoperez tous les deux de 5 ans de prison. Si personne ne se dénonce, vous aurez tous

Chapitre I : La monnaie définition et mesure La monnaie joue un rôle fondamental dans les relations économiques : elle est un intermédiaire obligé des échanges. La monnaie est devenu une notion très vaste (elle regroupe différent types de moyens de paiement) et très complexe (difficile a définir et a quantifier). I- Définition de la monnaie: Selon François Perroux : « La monnaie est un moyen de paiement indéterminé, général et immédiat ». - Indéterminé : Puisqu’il nous permet

------------------------------------------------- L’épargne est elle favorable à la croissance ? Introduction Dans la « Théorie générale de l’emploi et de l’intérêt de la monnaie » publiée en 1936, Keynes donnait cette définition de l’épargne : « L’épargne constitue tout ce qui, dans le revenu, échappe à la consommation ». Mais si sa définition est universellement acceptée au sein des économistes, l’épargne est loin de réaliser le consensus quant à ses effets sur la croissance. Les déterminants

Micro-économie : Comportement individuel des agents économiques (consommateurs et producteurs). * * Politique monétaire : défini de façon autonome par la banque centrale européenne. Elle va réguler la quantité de monnaie en circulation pour financer l’activité économique. (création de monnaie). * * Politique budgétaire : choix des dépenses et augmentation des recettes * * Chômage volontaire : on ne met pas en place des contributions pour la flexibilité du marché de l’emploi. Le fondateur :

système d’étalon or Jusqu’en 1914 – 1918 les monnaies étaient métalliques, en or et argent avec quelques rares exceptions (dollars papier pendant la guerre d’indépendance américaine, assignats). Quand elle a été généralisée au XIX ème siècle la monnaie papier n'a été que la reconnaissance d'une monnaie métallique détenue par une banque centrale et payable à vue. L’avantage de la monnaie métallique est que tous les agents ont confiance dans la monnaie. L’inconvénient vient de ce que le stock d'or

[pic]= 1000 (P étant le niveau général des prix). Les ménages n'investissent pas et ne reçoivent pas de transferts de l'État. En valeurs réelles, ils consomment C = 3800 et payent 800 d'impôts et taxes T. Les ménages détiennent la totalité de la monnaie en circulation et achètent les titres émis par les entreprises et par l'État. L'État, qui perçoit les impôts et les taxes, a engagé des dépenses publiques G dont le montant est égal à 1 200. En valeurs réelles, le financement des dépenses de l'Etat

général de hausse cumulative du niveau général des prix. Les sources de l’inflation sont très diverses, cependant, trois d’entre elles apparaissent particulièrement importantes. La théorie quantitative de la monnaie (I. Fisher) insiste sur le fait que l’inflation résulterait d’une émission de monnaie trop importante. L’inflation peut être également associée à un déséquilibre du marché. Si Keynes insiste sur l’inflation par la demande (déséquilibre entre la demande globale et l’offre globale), les théoriciens

l'équilibre macro-économique 23 Section 1 : L'approche néoclassique 23 I- De l'héritage classique aux prémices de théorie néoclassique 23 A- La conception d'ensemble des grands classiques 23 B- La loi des débouchés 24 C- La théorie quantitative de la monnaie 24 II- L'équilibre macro-économique néoclassique 26 A- Les hypothèses 26 B- Le marché du travail 27 C- Le marché du capital ou marché des fonds traitables 28 Section 2 : L'approche keynésienne de l'équilibre macro-économique 28 I- Les prédécesseurs

atteindre cet objectif, la politique budgétaire jongle entre les dépenses de l’État (une des injections du circuit économique) et les impôts et les taxes (une des fuites). La politique monétaire s’exprime, quant à elle, par le choix de l’offre de monnaie ou du taux d’intérêt. Une diminution du taux d’intérêt encourage les investissements et augmente ainsi la demande globale. Les deux sections de ce chapitre examinent tour à tour la politique budgétaire et monétaire en détaillant leurs effets et leur

En quoi l’introduction de la monnaie modifie­t­elle le fonctionnement  du marché ?  La monnaie est elle neutre ?  On  raisonne  dans  une  économie  fermée.  On  rentre  dans  une  économie  monétaire  mais  pas  encore  intégrée  dans  la  mondialisation. La  monnaie  est‐elle  seulement  la  facilitation  des  échanges  ou  peut‐elle  être demandée pour elle‐même ?  Demande de monnaie :  §  Existe‐t‐elle ?  §  La monnaie est‐elle neutre ?  §  Elle n’intervient pas vraiment dans l’économie réelle