Oléoduc

Le repérage est de couleur rouge. A cela s’ajoute les mesures de sécurité concernant les eaux usées, l’imperméabilité du sol et les équipements de secours fixes. (voir annexe 2) 8 IV.1.5. Les infrastructures de transport par canalisation Oléoduc du Trans-Alaska Le transport par canalisation est un mode de transport de matières gazeuses, liquides, solides ou polyphasiques, réalisé au moyen de conduites constituant généralement un réseau ou système de transport. Ce mode est utilisé pour

multinationales pétrolières. Celle-ci possède des réserves énormes en pétrole, gaz naturel et uranium . Les pays d’Asie centrale n’ayant aucun débouché vers la mer pour l’exportation de leurs productions, n’ont d’autre choix que de les faire transiter par des oléoducs ou des gazoducs vers des ports étrangers et à travers des pays tiers. Il faut toutefois remarquer, qu’il existe à proximité un grand pays importateur d’énergie, la Chine ; la Russie, pays exportateur vers l’Europe de sa propre production et aussi

finir des conséquences écologiques comme la détérioration des canalisations d'eau des principales villes irakiennes et la pollution des terres agricoles et des nappes phréatiques par le sabotage des puits de pétrole et l'ouverture volontaire des oléoducs. Donc les conséquences pour l’Irak ont été aussi nombreuses que variées. Maintenant nous allons aborder les conséquences pour les États-Unis, qui sont tout aussi nombreuses quoi que moins variées. Il y a eu des conséquences pour l’armée

certains aménagements permettent à Rotterdam d'être le plus important trafic portuaire d'Europe, avec un trafic portuaire de 385 millions de tonnes en 2009. Ce port possède en effet de nombreuses raffineries de pétrole, d'industries chimiques, des oléoducs et des gazoducs qui font de lui un grand pôle portuaire complet. De plus, comme Anvers, il est situé dans la Delta d'or, qui est la principale région portuaire de la Northern Range. D'autre part, Anvers est le deuxième port le plus important de

mobilisé son armée pour éviter l’indépendance de l’Ossétie du nord et pour tenter de s’approprier l’Ossétie du sud. Tous ces pays, anciennement membres de la grande puissance soviétique avaient en commun des infrastructures telles que des gazoducs, oléoducs... qui traversaient leurs territoires. Après 1991 et la dislocation de l’URSS, la Russie décide de démanteler ces installations afin d’éviter que ses richesses soient exploitées par les autres pays (par exemple, par le peuple tchétchène). Toutefois

dans la terre et rentrer dans les nappes phréatiques que vont boire les villages alentours. De plus, des milliers de litres de pétrole et de gaz sont brûlés et provoquent des maladies de peau et de respiration chez les habitants voisins. Enfin, les oléoducs sont mal entretenus et traversent des régions dangereuses : 94 failles sismiques et 6 volcans actifs. Les fuites estimées par le gouvernement sont de 63.5 millions de litres soit moins de la marée noire du Exxon Valdez (40.8 millions de litres). Voir

naturel, en Europe et aux États-Unis. Les pays occidentaux se sont montrés intéressés et ont cherché à signer des accords de production avec ces pays. Néanmoins un obstacle majeur est apparu : le transport de ses ressources doit transiter par des oléoducs et des gazoducs puisque la mer Caspienne est une mer fermée. Ceux-ci étant contrôlés par la Russie, il a fallu contourner ce monopole. De ce fait les États-Unis ont participé au financement de la construction d’un pipeline entre l’Azerbaïdjan et

sont les grands perdants du projet pétrole. La production pétrolière La production de pétrole dans le bassin de Doba (Sud du Tchad) a commencé en 2003. Le pétrole est transporté du bassin de Doba au port de Kibri (Cameroun) sur l’Atlantique par un oléoduc de 1.070 km (dont 205 km au Tchad). Les trois principaux gisements de Doba-Komé, Miandoum et Bolobo, totalisant 900 milliers de barils, sont exploités dans plus de 1000 puits dont le nombre augmente encore (le contrat en prévoyait 300). Les réserves

nucléaire, diminution de la dépendance au pétrole (construction d’infrastructures ferroviaire) ; tous ces projets sont abandonnés. Médiocrité du programme qui doit être nuancée : manque d’argent pour financer. Projet Keystone XL : construction d’un oléoduc de 3000km transportant du pétrole issu des sables bitumeux du Canada vers le Texas. Création de 20.000 emplois. CONCLUSION : Les menaces économiques : une menace pour la production agricole mondiale (prix dépend du coût du pétrole), et l’alimentation

nearshore : pôle de décentralisation de services des entreprises européennes (ex : centres d'appel, traitement de services informatiques ...) station balnéaire Les flux financiers provenant des émigrés en 2008 (en milliards de dollars) 8,5 oléoducs et gazoducs exportations d'hydrocarbures 3,5 1,5 0,3 Document 2 : Le littoral tunisien dans la région de Nabeul - Hammamet Golfe de Tunis Hammam Lif Soliman Menzel Bou Zelfa Ben Khalled Grombalia Dar Tazerka Chaabane ZT de Maamoura-Est (7