Oléoduc

ils doivent aussi disposer d’une ressource financière suffisante, qui servira à couvrir les couts potentiels associés à un incident. Le montant minimum exigé des entreprises a été augmenté à un (1) Milliard de dollar pour les entreprises de grands Oléoducs, et d’un montant moindre pour les autres catégories de pipelines.12 Ce qui est nouveau, on ne trouve nulle part ailleurs l’exigence d’une capacité financière minimale d’un (1) milliard de dollars. Quand on regard les grands pays comme les États-Unis

marchandises, de capitaux et d’informations : Les échanges de biens manufacturés, de matières premières se sont intensifiés dans ce contexte de libéralisation croissante et de mondialisation. Ces échanges se font par conduites pour les hydrocarbures (oléoducs et gazoducs, reliés aux centres de stockage, aux raffineries et aux grands ports d’importations). L’électricité est acheminée par environ 100 000 km de lignes électriques à haute ou très haute tension. Pour les pondéreux, on utilise les voies d’eau

d’énergies sur l’environnement La production énergétique se manifeste par la multiplication des aménagements d’extraction qui transforment en profondeur les paysages (mines, stations de pompage…). A cela s’ajoutent les équipements pour transporter (oléoducs, gazoducs, pétroliers…), charger ou décharger, stocker et transporter (raffineries…) les énergies. Ces multiples aménagements qui consomment de l’énergie ont un impact important sur l’environnement. Les accidents liés à la production des énergies

l’Europe ou, au contraire, celui de l’Extrême-Orient. Certains tentent de s’affranchir de ce contrôle : par exemple, pour contourner le réseau russe, BP et ses associés ont construit un oléoduc reliant Bakou en Azerbaïdjan au port turc de Ceyhan. Une partie du pétrole kazakh devrait aussi emprunter cet oléoduc, échappant ainsi au contrôle russe. On trouve du pétrole et du gaz ailleurs que dans ces deux grandes zones, mais ces régions possèdent moins de réserves. L’Amérique du Sud, et en particulier

guère plus de conséquences vu la faiblesse des trafics générés, pas plus que les progrès de l’exploitation du pétrole qui contribua certes à étendre le réseau des pistes ouvertes à des fins de prospection mais vit aussi se développer ici les premiers oléoducs reliant pour l’essentiel les sites d’extraction aux points de chargement portuaires. 13En résulte la faiblesse du réseau routier hérité de la période coloniale et des premières années d’Indépendance (Les transports au Gabon : 20 ans de progrès,

Afrique, les principaux pays d’accueil sont situés en Europe, Amérique du Nord, Japon mais aussi Australie et pays du Golfe. Ces flux sont canalisés par des réseaux c’est à dire des routes spécifiques, tracées matériellement (routes, rails, canaux, oléoducs) ou non (routes maritimes, Internet…) Les réseaux reflètent l’inégalité des flux : 80% du trafic aérien situé dans l’hémisphère nord, les principales routes du réseau maritime convergent vers les façades portuaires de l’Europe N-Ouest, des E-Unis

plastiques. Au début du XXIème siècle, le pétrole représentait environ 40% de la consommation mondiale d'énergie. Avantages Énergie disponible un peu sur tous les continents. Transport facile et peu onéreux par bateau (pétroliers) et surtout par oléoducs (grosses canalisations) La chimie du pétrole est d'une richesse extrême. À partir du pétrole, on tire des gaz (méthane, propane, butane, etc.), des carburants (essence, kérosène, gazole, fioul), des composés aromatiques, des lubrifiants, du goudron

français. Ceci s’explique par les présences des entreprises chinoises qui n’hésitent pas à importer de la main d’œuvre. La China National Petroleum Corporation détenue par l’Etat chinois à importer près de 2000 ouvriers chinois pour construire un oléoduc de plus de 1600 au Soudan. La main d’œuvre africaine se retrouve délaissée ainsi que les entreprises africaines qui sont mécontentent de leur perte de marché. Ces entreprises chinoises exploitent le peuple africain, en effet s’il trouve du travail

nombreuses. Les 6 modes de transport de fret divisé en 2 groupes avec les modes de transports intérieurs terrestres, (route, chemin de fer, fluvial, oléoducs) et les modes non-terrestres (aérien et maritime). En ce qui concerne les activités dites intérieures et terrestres, c’est ce secteur qui détient la plus grosse partie du marché avec en un total hors oléoducs de 343,4 milliards de tonnes-km transportées en 2010. En 2010, le mode de transport le plus utilisé en France toutes natures confondues (National

raffineries. C’est essentiellement au moyen des pipelines (se sont des tubes d’aciers soudés entre eux), que cet acheminement du pétrole se fait d’un bout à l’autre d’une région.  Par exemple, Maurice Durousset (1999) fait remarquer que l’on retrouve des oléoducs en Algérie entre le gisement saharien d’Hassi Messaoud et les ports d’Oran et d’Annaba qui relient ainsi le gisement à un port d’exportation (Durousset, 1999). Les pipelines très coûteux, déterminent aussi le prix du pétrole. De plus, l’insécurité