On Dit Souvent Que Le Roman Est Le Reflet De La Société

FIGURE D’EURYDICE DANS MERCURE D’AMÉLIE NOTHOMB LAURENCE MAROIS UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI la_pommette@hotmail.com Article received on 01.02.2011 Accepted on 26.05.2011 RÉSUMÉ Le roman Mercure d’Amélie Nothomb présente une multitude de références intertextuelles qui sont le plus souvent tirées des « grands récits » mythiques, religieux et littéraires. Au-delà de simples références ponctuelles, ce récit reprend plusieurs mythes fondateurs de la féminité. Le présent article s’intéresse

Le thème de la responsabilité se rattache souvent aux actes. Que ce soit d’un point de vu moral ou juridique un individu devra toujours répondre de ces actes. Cela signifie qu’il devra assumer être l’auteur de ses faits et gestes. Pourtant on ne juge pas tout les êtres humains responsables de leurs actes. Une certaine part de nous est visible par nos actes mais à qui dois-je la responsabilité de ses actes ? Au court de sa vie l’homme ne sera pas toujours responsable de lui-même par conséquent

Pierre Louÿs Personnalité énigmatique, Pierre Louÿs a vécu dans un monde plein de symbolisme. Il a été un écrivain aux tendances subversives qui se traduisent dans ses oeuvres, c’est le reflet d’un univers, d’un thème : celui de la femme fatale sous le regard de la décadence. Pierre Louÿs publie en 1898, ce « Roman Espagnol » et rejoint par là, la veine des artistes fascinés par l’Espagne à la fin du siècle. L’histoire s’ouvre à Séville pendant un carnaval. C’est dans ce décor de couleurs et de confettis

La Cousine Bette Le roman La Cousine Bette, fait partie d’un ensemble d’ouvrages appelé La Comédie Humaine, décomposé en plusieurs catégories. Le roman, appartenant à la catégorie Etudes de mœurs, et faisant partie des Scènes de la vie parisienne, forme avec son double, Le Cousin Pons, la section des Parents Pauvres. Dans cette œuvre, Balzac met en scène une société de la Monarchie de Juillet, où les valeurs bourgeoises prennent le dessus sur les valeurs traditionnelles, et où l’argent règne

pacte avec le lecteur, comme souhaiterait la meilleure tradition[4]. Il y a seulement ces deux voix, l’instance narrative première, qui veut écrire sur son enfance, et l’autre, dont on ne comprend pas l’identité, qui la critique souvent dans une manière dérisoire. Le roman est tout là, dans la forme, dans le style, dans le contenu. Comme on peut lire dans la quatrième de couverture de l’édition Folio d’Enfance « Ce livre est écrit sous la forme d’un dialogue entre Nathalie Sarraute et son double qui

un plan détaillé que vous pouvez vous exercer à rédiger en y ajoutant des exemples tirés de vos connaissances personnelles. Introduction « Sans personnage, point de roman » (A. Burgess). Différence entre personnage et personne : l’un renvoie à la création littéraire, l’autre au réel. Mais quand le lecteur est plongé dans un roman, il arrive que pour lui les personnages deviennent personnes. Le romancier doit-il, dans la création de ses personnages, imiter le réel ? Peut-il ou doit-il le dépasser

Le regard critique dans L’immoraliste En 1902, André Gide publie L’immoraliste. C’est son premier roman depuis cinq ans et reçoit une meilleure critique que son précédant, Les Nourritures terrestres. Pourtant, très vite, on fait le rapprochement entre l’auteur et son personnage principal, qui ne formeraient qu’une seule et même personne. Même ceux qui le connaissent bien se laissent leurrer. Gide se sent incompris. Il écrivait à Paul Valéry en 1902 qu’il n’était pas l’immoraliste. L’auteur lui

Le sujet a été donné il y a quatre mois avec pour consigne des lectures de roman ( seconde, première, littérature classique, littérature contemporaine) et recherches de plans divers et variés sur des annales de bac sans cependant faire de copié – coller mais en reformulant des idées que vous jugez pertinentes. Chaque exemple illustrant vos arguments doit être analysé en un paragraphe ( qui fait quoi où quand comment pourquoi ?) ou une demi page ( siècle indiqué, thème principal, caractéristique

en anglais lui permet un plus large public et une plus grande liberté créative. Ses trois premiers roman sont une trilogie : L'arbre à pain, Frangipanier et Tiare. Ces romans décrivent la vie à Tahiti contemporaine à travers des anecdotes et souvent avec beaucoup d'humour. Elle apporte ainsi l'attention sur une région du monde que la littérature occidentale a relégué aux guides de voyage ou souvent décrite en termes exotiques. En résumé, Frangipanier, qui est issue du deuxième tome d'une trilogie

apte à dénoncer les problèmes de société ? Prix Goncourt, Interallié, Renaudot, prix du meilleur roman étranger…autant de noms célèbres qui ponctuent chaque année la rentrée littéraire. Le salon du livre 2009 a pour sa part observé une fulgurante hausse de fréquentation. Comment expliquer ce constant engouement pour la littérature ? Inévitablement, elle permet l’évasion. Mais au-delà de ce pouvoir incontestable, elle délivre également une vison critique de la société dans laquelle évolue le lecteur