Opposition Classiques Keynes

des années 70 correspondant à la chute du consensus keynésien qui dominait la macroéconomie depuis la fin de WWII b. Rappel sur les spécificités des analyses des classiques et de Keynes. a. Fonctionnement des marchés | |Classiques |Keynes | |Marchés des produits | |

Smith (1723/1790) Présentation : philosophe et économiste écossais qui enseigna la philosophie morale. Il voyage à travers toute l’Europe où il s’initie à l’économie politique auprès des physiocrates. Il est à la fois le fondateur de l’école classique anglaise et du courant libéral. Résumé Cours : I) Division du travail et extension des marchés selon Smith A : La division du travail crée de la richesse dans une économie de marché En augmentant l’efficacité, la division du travail est

(avec M la masse monétaire, V la vitesse de circulation de la monnaie, P le niveau des prix et T le nombre de transactions pendant une période donnée). [pic] La fonction principale de la monnaie est de permettre des transactions monétaires (par opposition au troc). Trois paramètres fixent la quantité de monnaie nécessaire : • le nombre de transactions, lié aux biens de consommation échangés d'une part et aux actifs d'autre part. - Si la population échange deux fois plus de biens de consommation

de l’économie. Ce point de vue nécessite cependant de concevoir l’économie comme marquée par la coexistence de théories. Cette approche est celle d’une partie de la profession des économistes, qui parle alors volontiers d’économie politique, en opposition à celle qui prétend à la possibilité de constituer la science économique comme corps de connaissances fondé sur une méthodologie unique, incontestable et déterminant exclusivement le caractère scientifique du travail de recherche effectué. Cette

prix est un rapport d’échange entre deux biens. 1 Professeur : M. Silem Chapitre 0 : Introduction Générale Par économie, on entend : • Soit économie théorique au sens où il n’y a de science que si les propositions sont générales par opposition aux observations particulières ou spécifiques • Soit un survol superficiel de toutes les notions abordées en économie Nous nous inscrivons dans la 1e conception en la corrigeant par la présentation d’un outil d’information sur l’activité globale

On voit se mettre en place les penseurs fascinés par le marché, les classiques, les néo-classique (fin 18°) et ceux qui vont s’opposer au capitalisme et/ou au libéralisme (dont les marxistes). Cette affrontement structure la « société ». Problème : la pensée éco. n’existe pas depuis la fin du 18°. Il y eu des prémices et l’éco. politique est née au 16° avec les mercantilistes qui précèdent les physiocrates (les pré-classiques). 1/ LES PRECURSEURS. A/ DE L’ANTIQUITE AU MOYEN AGE. LES GRECS

de loi de Gresham que l’on a résumé par la formule : « La mauvaise monnaie chasse la bonne ». Et donc le monométallisme sera instauré en France en 1876. La fonction de réserve de la monnaie n’est implicitement pas mis en avant par les économistes classiques, puisque selon la loi des débouchés, l’épargne n’a pas vocation à être thésauriser mais seulement à être investis. L’instrument politique et l’instrument de cohésion sociale : La politique monétaire, se transmet à la politique économique

........................................... 9 1.2.2. L’école classique ou l’avènement du capitalisme libéral ............................................. 10 1.2.3. Karl Marx et la pensée socialiste ................................................................................ 16 1.2.4. Les néoclassiques...................................................................................................... 18 1.2.5. John Maynard Keynes.............................................................

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 11 11 11 11 12 14 14 14 16 16 16 17 18 19 21 22 22 23 23 24 25 26 27 27 27 28 29 30 30 31 3 L’´ conomie politique classique e 3.1 Les th´ ories de la valeur . . . . . . . . . . . . . . . . e 3.1.1 Th´ orie objective de la valeur . . . . . . . . . e A. Valeur d’´ change et valeur d’usage . . . . . e B. D´ limitation du champs d’analyse . . . . . e ´ C. Smith : le travail

Les doctrines économiques traditionnelles relatives aux finances publiques ont commencé avec les pensées pré-classiques (1), ensuite bien développées dans la pensée libérale classique (2) et puis ajustées avec la pensée socialiste (3), avant qu’elles soient infléchies par le libéralisme interventionniste (4). 1 - LA PENSEE FINANCIERE PRE-CLASSIQUE La pensée financière pré-classique remonte au xvi siècle. Elle a été conçue à ses origines par les mercantilistes (a) et reconsidérée ultérieurement