Opposition Classiques Keynes

intéressés à certaines questions économiques, en particulier : la puissance des Etats, l’enrichissement des marchands et le commerce international. A. Smith ne verra dans la doctrine mercantiliste qu’un tissu d’erreurs, d’autres auteurs comme J. M. Keynes estiment qu’il s’agit là de conceptions fondées sur le bon sens. Nous étudierons le mercantilisme à partir de quatre thèmes : l’époque, la doctrine, les variantes nationales et les critiques des mercantilistes tardifs. La période mercantiliste se

keynésiennes. Tout au plus peut-on parler d'une concomitance, non d'une influence. Car si Roosevelt eut l'occasion de rencontrer John Maynard Keynes, il déclara ne rien comprendre à ses théories, et le grand ouvrage de l'économiste anglais parut en 1935, trop tard pour influencer le cours des choses. Plusieurs des collaborateurs de Roosevelt connaissaient bien mieux Keynes, mais ils conseillèrent fort mal le président en 1937, en le laissant présenter un budget en équilibre grâce à des suppressions massives

 Nous nous arrêterons donc principalement sur les théories de Marx, ainsi que de Smith et Ricardo que l'on regroupe dans l'école classique. Adam Smith (1723,1790) influencé par le courant de la physiocratie de François Quesnay(1694, 1794), qui analysait l'économie du royaume agricole qu'était la France, dont il retint la croyance en un ordre naturel, fonda l'école classique (certains économistes y classent aussi Quesnay), dont l'apogée fut atteinte au début du XIXème siècle avec David Ricardo (1772

des séquences précédentes Séquence 1 Le marché joue un rôle central dans les économies contemporaines. Les économistes classiques et surtout néoclassiques lui ont donné une place particulière dans leurs travaux et analyses. On caractérise par le terme d’ « économie de marché » les systèmes économiques qui accordent une telle place aux mécanismes de marché, par opposition au rôle joué par la centralisation et la planification dans les systèmes collectivistes (systèmes des pays européens affiliés

offerts sur le marché intérieur ? Comment sont-ils employés ? 3 emplois possibles : - consommation par les agents économiques - investir - exporter. - Les ressources = offre globale - Emploi = demande globale (approche keynésienne : demande effective) KEYNES : PIB + importation = consommation + investissement + exportation. PIB = consommation + investissement + exportation – importation. PIB = demande intérieure + demande étrangère. Déficit = flux de revenus baisse pour le reste du monde. B – Le circuit

possibles : - consommation par les agents économiques - investir - exporter. - Les ressources = offre globale - Emploi = demande globale (approche keynésienne : demande effective) KEYNES : PIB + importation = consommation + investissement + exportation. PIB = consommation + investissement + exportation – importation. PIB = demande intérieure + demande étrangère. Déficit = flux de revenus baisse pour le reste du monde. B

John Maynard KEYNES (1936) Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie Traduit de l’Anglais par Jean- de Largentaye (1942) Livres IV, V et VI Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

la pensée économique s’affirme comme discipline indépendante dotée d’institutions autonomes formalisées par Adam Smith, le paradigme libéral ou classique contribue à la détacher définitivement de l’analyse politique. Au 19e siècle, la révolution financière et la révolution industrielle contribuent à une remise en cause partielle du paradigme classique. Des théories alternatives plaident en faveur d’une action étendue de l’Etat pour réguler les activités économiques. De la fin du 19e siècle à nos

être supérieur au dirigisme et au planisme alors en vogue. Dans cette lignée (depuis les années 1950, jusque vers la fin des années 1970), le mot a une signification proche de social-libéralisme. Dans ce sens Donald Moggridge présente John Maynard Keynes comme l'un des premiers néolibéraux à défaut de meilleur terme pour le qualifier. Quoi qu'il en soit cette forme de libéralisme émerge à la même époque que l'ordolibéralisme allemand avec lequel il est intéressant de le comparer. À partir des années

la pensée économique s’affirme comme discipline indépendante, dotée d’institutions autonomes. Formalisée par Adam Smith, le paradigme libéral ou classique contribue à la détachée définitivement de l’analyse politique. 4) Au 19ième siècle, la Révolution financière et la Révolution Industrielle contribue à une remise en cause partielle du paradigme classique. Les théories alternatives plaident en faveur d’une action étendue de l’Etat pour réguler les activités économiques. 5) De la fin du 19ième siècle