Opposition Classiques Keynes

9 IV. Le système fiscal français 10 Chapitre 1.3 : L’arbitrage entre la consommation et l’épargne 14 I. Introduction 14 II. L’analyse keynésienne de la consommation 16 III. Les reformulations keynésiennes 17 IV. L’offensive néo-classique 19 Chapitre 1.4 : Les déterminants de l’investissement 24 I. Introduction 24 II. L’influence de la demande globale 26 III. Investissement et rentabilité : le rôle du taux d’intérêt 28 IV. L’investissement : un pari sur l’avenir 33

du pouvoir n’est pas propre à l’Etat car face au pouvoir politique se dressent d’autres centres de pouvoir : Le pouvoir économique Le pouvoir syndical Le pouvoir idéologique (églises, élites intellectuels, les médias, les partis politiques en opposition au pouvoir central) Les politologues parlent de polyarchie (≠ oligarchie) pour désigner cette pluralité de source de pouvoir au sommet. Le phénomène du pouvoir se retrouve également dans toute organisation sociale : une entreprise, un parti politique

La comptabilité nationale c’est l’héritage des travaux de Quesnay. Chez Marx aussi on trouve une analyse en termes de flux : sauf que ceci est compris entre deux « secteurs » (classes) (Bourgeoisie-Prolétaire). Keynes est le dernier observateur macroéconomique. Dans le circuit de Keynes, il y a six acteurs. - Ménages (Consomment, épargnent) - Entreprises (Produisent, Investissent) - Société financières - RDM - ISBLM - ? Sociétés non financières ? Il existe donc des flux qui relient les agents.

La comptabilité nationale c’est l’héritage des travaux de Quesnay. Chez Marx aussi on trouve une analyse en termes de flux : sauf que ceci est compris entre deux « secteurs » (classes) (Bourgeoisie-Prolétaire). Keynes est le dernier observateur macroéconomique. Dans le circuit de Keynes, il y a six acteurs. - Ménages (Consomment, épargnent) - Entreprises (Produisent, Investissent) - Société financières - RDM - ISBLM - ? Sociétés non financières ? Il existe donc des flux qui relient les agents.

réserve de valeur, la monnaie doit conserver son pouvoir d'achat par rapport à l'économie réelle. La valeur de la monnaie doit donc rester stable et ne pas subir de dépréciation de nature inflationniste. La monnaie est ainsi, selon l'expression de Keynes "un lien entre le présent et l'avenir". Cette dernière fonction participe donc au développement économique car l'épargne est indispensable à l'investissement, et donc à la production. Cette fonction de réserve de valeur explique que pendant longtemps

dans un chapitre 4, les données fondamentales systémiques (la mondialisation s’inscrivant ici dans un cadre logique appelé système, système qui est en mutation), nous développerons ce chapitre en trois points, on aura, les données fondamentales classiques (A), l’approche socio-anthropologique (qui renvoi a la culture, a l’altérité, qui permet de comprendre qu’il y a une pluralité de visions) (B), les consensus mondialisés (C). Première partie : les données fondamentales théoriques et pratiques

distribué. • Leur rendement est la somme du dividende et de la plus ou moins-value sur la valeur de l’action. • Elles ne sont pas remboursables. Dans cette classification de la richesse, il apparaît que la monnaie est un actif sans risque, par opposition à l’obligation dont la valeur varie avec le taux d’intérêt et à l’action dont la valeur varie avec l’estimation par le marché de la valeur de l’entreprise qu’elle représente. La monnaie est toujours cédée à sa valeur faciale, contrairement à

l’Etat car face au pouvoir politique se dressent d’autres centres de pouvoir : - Le pouvoir économique - Le pouvoir syndical - Le pouvoir idéologique (églises, élites intellectuels, les médias, les partis politiques en opposition au pouvoir central) Les politologues parlent de polyarchie (≠ oligarchie) pour désigner cette pluralité de source de pouvoir au sommet. Le phénomène du pouvoir se retrouve également dans toute organisation sociale : une entreprise, un parti

consommation des ménages sont déterminés en premier lieu par la décision de partage entre la consommation présente et consommation future (l'épargne). Keynes suppose que la consommation a une importance première dans l'affectation du revenu : elle est fonction du revenu disponible, soit :  * Propension à consommer, Propension à épargner Keynes note que, lorsque le revenu augmente, les possibilités d'épargne s'accroissent. En raison de la saturation relative des besoins, la propension à consommer

Deuxième partie: les approches théoriques. Les théories économiques constituent des points de vue différents sur la réalité économique et ces points de vue sont souvent opposés. Après avoir présenté les raisons de cette diversité et de cette opposition, nous exposerons brièvement le surgissement historique de ces divers points de vue. 1- Les grandes questions de la Science économique, de la théorie économique. 11- La définition de l'économie. 111- Les définitions générales. Il existe une multitude