Optimates Et Populares

inédites inaugurèrent un affrontement nouveau au sein de la classe dirigeante entre les optimates et les populares. Les populares se voulaient ''proches du peuple'' dont ils se proposaient de défendre les intérêts : ils reprenaient à leur compte la politique gracquienne et étaient soutenus par le petit peuple, mais aussi par de nombreux italiens dont ils relayaient la prétention à la citoyenneté romaine. Les optimates, c'est-à-dire ''les meilleurs'', tels qu'ils se définissaient eux mêmes, avaient

succèdent République en -509 A- le passage de la République à l’empiRe Fonctionnement institutions républicaines romaines : SPQR : « le sénat et le peuple romain » ( Senatus PopulusQue Romanus ) Optimates : représenté au Sénat Populares : représenté par le peuple Pro-optimates Pro-populares Sylla Marius Pompée César Marc-Antoine Octave Octave ressort vainqueur de son combat contre Marc-Antoine, et met fin à un siècle de déchirements internes. Il s’appelle désormais Auguste et

rapport au parti conservateur des optimates, qui sont opposés à ce projet. Dès cette époque, il songe à incarner une troisième voie en politique, celle des viri boni (« hommes de bien »), entre le conservatisme des optimates et le « réformisme » de plus en plus radical des populares  A partir de 66 av.J.-C, .l’émergence de personnalités comme César ou Catilina dans le camp des populares, qui prônent des réformes radicales, conduit Cicéron à se rapprocher des optimates. Le consulat Désormais proche

politiquement. Son opulence a beau être avérée, il préféra les populares aux optimates. En effet, César grandit dans un contexte politique plutôt houleux dans la mesure où de violentes luttes opposent les optimates et les populares, les premiers souhaitant garder une ligne conservatrice aristocratique et les seconds voulant satisfaire les revendications du peuple. A la mort de Marius ; c’est Cinna (son gendre) qui s’érige en leader des populares. L’attaque en justice de Dolabella pour « concussion »

parti conservateur des optimates, qui sont opposés à ce projet. Dès cette époque, Cicéron songe à incarner une troisième voie en politique, celle des «hommes de bien» (viri boni), entre le conservatisme des optimates et le «réformisme» de plus en plus radical des populares ; pourtant, de 66 av. J.-C. à 63 av. J.-C., l’émergence de personnalités comme César ou Catilina dans le camp des populares, qui prônent des réformes radicales, conduit Cicéron à se rapprocher des optimates. La glorieuse année

l’état à vendre des rations mensuelles de blé aux plus pauvres. - Mesures pour les chevaliers Echec des réformes, même si ces tentatives ont révélées de nouvelles oppositions au sein de la classe politique romaine, et de l’oligarchie (popularès, plèbe // optimatès, sénat). II- les guerres civiles (91-27 avant JC) A) la réforme de Marius A partir de 91 > climat de violence et guerre civile à Rome. - les généraux pillent les provinces conquises (Verrès en Sicile) - les colonisés élisent

politiques qui opposent les optimates aux populares. Les premiers maintiennent une ligne conservatrice et aristocratique qui place le sénat romain au cœur de la République. Les seconds veulent satisfaire les revendications sociales et accorder plus de place politique aux Italiens et aux provinciaux. Jules César grandit ainsi au milieu de troubles sanglants (première guerre civile) : combats de rue à Rome en 88 av. J.-C. entre les partisans de Caius Marius, chef des populares, et ceux de Sylla, puis

Aurelii Cottae. 2. Le contexte politique * Le sénat était divisé entre les populares qui désiraient une loi agraire, prendre aux riches pour donner aux pauvres; et les optimates, contre cette loi et pour la conservation de la tradition. *Apparition de personnages experts dans l'art de la guerre après avoir acquis popularité et clientèle. On vit ainsi Marius à la tête des populares et Sylla puis Pompée à la tête des optimates. MAIS pas de réels partis politiques, de plus rôles importants des grandes

droit vu l’expansion de Rome, elle demandait une répartition des richesses. Les Patriciens se divisaient en 2 catégories : Les populares : le peuple et Les optimates : Les aristocrates. César en -50 décide de prendre le parti du populares, il a cherché à acquérir son pouvoir par sa grandeur militaire et par son soutient du peuple. Pompée était dans le camp des optimates. César a eu le titre de dictateur (commandant militaire) à vie et le pouvoir d’impérium : pouvoir sur les questions militaires

ce que fut sa vie) ne doit pas nous faire dédaigner une œuvre majeure qui n'a cessé d'être lue. Questeur en -55, tribun de la plèbe en -52, il soutient le parti des populares, soutenus par Jules César et Pompée, contre les optimates, de Titus Annius Milon et Cicéron. Lors du procès des meurtriers de Clodius Pulcher, chef des populares, Salluste est chassé du Sénat romain pour immoralité en -50. Ami de Jules César, il est chargé de mener la flotte romaine en Illyrie. Il est battu par les Pompéiens