Optimisme

Dieu et gouter à la Nature. » * Amour des plaisirs terrestres David, Le Serment des Horaces Ce mouvement cherche à dégager un idéal de vie basé sur l’éducation. D’ailleurs, l’humanisme peut se caractériser en trois mots : Universalisme | Optimisme | Elitisme | L’Homme est au centre de toute connaissance, et non plus Dieu.Le monde terrestre est au centre de tout intérêt. * Libre arbitre≠ Jugement divin | Tous les hommes sont capables d’accomplir de choses et ont tous un potentiel.

très divers - deux naturalistes du XIXe siècle (Maupassant et Zola) et deux auteurs du XXe siècle : un romancier poète (Giono) et un intellectuel engagé (Camus) - ces textes transmettent une conception de la vie assez proche, mêlant pessimisme et optimisme. 1. La peinture lucide des malheurs de l'existence Ces dernières pages de romans peignent les malheurs de la vie. Dans Regain, le village est abandonné, comme mort. Panturle a dû « combattre » contre cette mort lente. Dans La Peste, Rieux pense

de s'identifier à autrui, de ressentir les sensations d'un autre) pour exercer, de plus il doit avoir un très bon équilibre personnel et une adaptabilité et une créativité exceptionnelles. Bon communicant, il sait transmettre son dynamisme et son optimisme à ses patients. Il est disponible et à l’écoute. Une bonne condition physique et psychologique peut parfois s’avérer nécessaire. Lieux de travail possibles: Ils sont intégrés à des équipes où interviennent différents métiers comme par exemple

équilibre des instincts et des passions. La morale illustrée par Diderot dans ses drames (Les fils naturel, Le Père de famille) nous peignent un monde idéal où la vie est bonne, les gens vertueux sont heureux, les méchants malheureux. Mais cet optimisme facile ne peut pas le satisfaire; dans des moments de dépression, il trouve les hommes méchants et la vie mauvaise. A la question si l’homme aime vraiment la vertu et s’il est perfectible, Diderot ne donne pas de réponse. Il a beau utiliser le mythe

pays : c’est en fin de compte un rêve. L’Eldorado est peut-être le meilleur des mondes possibles mais il n’existe pas car un pays où le Mal n’existe pas n’existe pas lui-même et surtout les héros vont le quitter. Conclusion : En fin de compte, OPTIMISME et UTOPIE sont la même illusion. Candide et Cacambo décident de quitter ce lieu d’utopie : «  les deux heureux résolurent de ne plus l’être » car Candide court après l’amour –autre illusion- et aussi il a le désir d’être puissant et riche en Europe

l'oEuvre : Candide vit au château du Baron de Thunder-ten-tronckh. Il est amoureux de la fille de ce dernier, Cunégonde, qui est sa cousine , et entretient de bons termes avec le précepteur, Pangloss, philosophe à la langue trop pendue, défenseur d’un optimisme, Le Baron, en apercevant que Candide embrasse sa fille, le chasse de son château . Ainsi va commencer une suite interminable de malheurs qui au fil de l'oeuvre remplacera également la philosophie de pangloss (« tout est pour le mieux dans le

critique, force (Jankélévitch). - Seule l’action menée avec lucidité aboutit à un résultat - Mise en place d’instruments pour concevoir la fin : cheminement nécessaire pour aspirer à une existence plus digne - Pessimisme sur la nature humaine, optimisme sur le devenir humain. II) Aucun remède pour illuminer le monde= déception infinie : à quoi bon voir clair pour voir noir ? Autant ne rien voir…aveuglement, divertissement(Pascal)  Peut-on voir clair dans le noir ? a) Des critiques, railleries

fétiches Hollandais=> l’hypocrisie de la religion -Les propriétaires=> on III) Une critique de la société de cette époque 1) Une critique philosophique => l’optimisme -Rencontré édifiante -Critique avec virulence l’optimisme de son maître -Optimisme=> rage de soutenir Dévalorisation totale de la philosophie -Candide renonce a l’optimisme=> nègre devient Cacambo -Tournure hyperbolique -Le nègre devient son nègre=> il s’approprie les problèmes de Cacambo 2) L’ironie -Décalages entre celui

faire reconnaître sans avoir à dire son nom et qui est tué par sa mère et sa soeur, à la suite d'un malentendu, tel est le sujet de cette pièce. Sans doute, c'est une vue très pessimiste de la condition humaine. Mais cela peut se concilier avec un optimisme relatif en ce qui concerne l'homme. Car enfin, cela revient à dire que tout aurait été autrement si le fils avait dit : C'est moi, voici mon nom. Cela revient à dire que dans un monde injuste ou indifférent, l'homme peut se sauver lui-même, et sauver

roman de romanciers très divers-deux naturalistes du 19° siècle, Maupassant et Zola, et un auteur du 20° siècle, Giono, une sorte de romancier-poète, ces textes transemettent une conception de la vie assez proche, qui oscille entre pessimisme et optimisme. Ces dernières pages de romans peignent les malheurs et ce que l'existence a de pas "si bon" (Maupassant). Ce peut etre la mort d'un etre cher: la mere de "l'enfant" est morte. Dans Regain, c'est le village qui est abandonné, comme mort, et