Oradour Sentiments

un espace merveilleux qui permet à Tristan de survivre à sa terrible blessure où un barrage qui empêche Iseult de rejoindre Tristan à temps. Prenons par exemple le début du premier paragraphe. Les deux amants se plaignent. On peut remarquer des sentiments d’angoisse, de douleur et de désespoir. La situation est extrême. L’auteur décrit tout cela avec des mots comme : « il se plaint », « il soupire », « ses yeux pleurent, son corps se tord ». Voici que le code de conduite de Tristan n'est pas celui

défendre pour un homme de cour, et qui doit être accoutumé à ces sortes de choses! J'ai pitié de vous voir la confusion que vous avez. Que ne vous armez-vous le front d'une noble effronterie? Que ne me jurez-vous que vous êtes toujours dans les mêmes sentiments pour moi, que vous m'aimez toujours avec une ardeur sans égale, et que rien n'est capable de vous détacher de moi que la mort! que ne me dites-vous que des affaires de la dernière conséquence vous ont obligé à partir sans m'en donner avis, qu'il

analyse / présentation, si peu poussée soit elle, de parler de "claque" mais c'est le mot qui me vient le premier pour parler de ce livre, et c'est donc naturellement qu'il me prête ses talents sémantiques pour décrire le plus précisément possible les sentiments qui poussent le lecteur à fermer le livre en disant "hé bien dis donc...". A vrai dire, le combat était gagné d'avance. Je ne connaissais que trop peu les écrivains Anne et Gérar Guéro, alias Ange, avant de lire leur premier livre, tout simplement

I] les définitions a)Poésie → art d'utiliser les sons, les rythmes d'une langue pour exprimer une émotion, une sensation ; état, sentiment d'émotion → rime ou en prose, permet d'exprimer ses secrets, un ressenti, une idée sous forme d'image avec une musicalité. Cette version imagée des sentiments montre la sensibilité du poète. b)-Romantisme: --mouvement du 19ème siècle, en réaction avec le rationalisme du 18ème, Le romantisme s'esquisse par

c’est ici la pensée et les sentiments d’une âme contradictoire et désabusée que vous allez découvrir. Cet ouvrage dont le « vague des passions » fera l’emblème du XIX siècle et dans lequel toute une génération va se reconnaitre et qui est considéré comme l’assise du Romantisme ne vous laissera pas insensible. 2. Présentation d’une vision de l’homme b) Les personnages et la morale (analyse interne) Durant tout le récit, René nous révèle ses sentiments et ses pensée. René est un personnage

c’est la base de réflexions, métaphores ou symboles B) Les pensées 1- sous forme antithétique aussi : René se pose, se construit (ou se détruit) en contraste avec le reste du monde. 2- un manque crucial et omniprésent et le sentiment de solitude C) Les sentiments (négatifs) : le spleen et le vague des passions 1- un être perdu (labyrinthe) 2- la peur qui s’ensuit (non dite mais présente) 3- le spleen bien romantique qui donne à René : un air de Calimero avec son « je » plaintif omniprésent

Manducation : l’acte le plus dédifférenciant qui soit, le plus altérant, le plus réducteur de l’altérité L’interdit => un inter-dit = une parole à échanger * En face de l’autre, la parole est la meilleure médiation Respect : rencontre de deux sentiments : l’admiration et la crainte Admiration -> une forme d’émerveillement devant celui qui porte en lui « la loi morale qui oriente son action» (K) K : le fondement de la morale Impératifs categ -> passages obligés sur le chemin de notre

De Volanges essaye de faire comprendre à Mme. de Tourvel que Valmont est un homme cruel sans cœur, qui ne voit les femmes que comme des aventures de chasse. Mais Tourvel aveuglée se laisse emporter par le sentiment d'amitié qu'elle éprouve pour Valmont. Mais très vite, à l'aveu de ses sentiments, la Marquise comprendra que Valmont n'a voulu être ami avec elle que par stratégie. Les premières fois, Tourvel refuse d'entendre les avances de Valmont, mais au fil du temps, elle se laisse aller par l'insistance

l’acceptation de certaines conduites culturelles étrangères et le fondement purement républicain de notre projet national amènent à des ambiguïtés entre intégration et ségrégation de l’immigrant. Cette crise identitaire s’exprime par l’expression de sentiments xénophobes de citoyens français de souche et d’autre part avec la multiplication des actes discriminatoires dont sont victimes les immigrés, qu’ils soient Français ou étrangers. La doctrine républicaine universaliste, qui absorbe l’individu dans

conduire, il n’avait pas d’amour du tout ». La présence dans cette phrase de verbes sans force sémantique (« Julien était », « il ne savait », « il n’avait »), renforcés par la présence de négations, fait ressortir comme une évidence l’absence de sentiments amoureux, d’où l’absence de spontanéité amoureuse : « il pense qu’il fallait oser ». Par Stendhal, Le Rouge et le Noir, « Il fit une reconnaissance militaire […] circonstance difficile à expliquer », livre II, chapitre 16 cette absence de