Oradour Sentiments

Monologue intérieur, miné par le soupçon de l’adultère que sa mère aurait pu commettre. Point de vue interne. * Ponctuation : beaucoup de phrases interrogatives : le personnage se pose des questions, beaucoup d’exclamations : traduction d’un sentiment, d’une émotion, points de suspensions : traduit le doute et la complexité. Ce sont des indices qui montrent que le personnage est en plein désordre intérieur. Pierre envisage des hypothèses qui bouleversent cette première vision de la mère dans

tenu aucun compte de la source réelle de la religiosité. Celle-ci résiderait, à ses yeux, dans un sentiment particulier dont lui-même était constamment animé, dont beaucoup d'autres lui avaient confirmé la réalité, dont enfin il était en droit de supposer l'existence chez des millions d'êtres humains. Ce sentiment, il l'appellerait volontiers la sensation de l'éternité, il y verrait le sentiment de quelque chose d'illimité, d'infini, en un mot : d'« océanique ». Il en ferait ainsi une donnée

cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique, ses valeurs esthétiques

raconte à Oenone d’où vient sa peine. Elle nous donne une explication physique de la maladie qui l’emporte pas à pas, et qui n’a pas de remède d’après ses dires n’a pas de remède. Phèdre se mets alors dans tous ses états. Elle ressent différents sentiments très contradictoires les uns des autres, « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. ». En le voyant elle rougit puis d’un coup palis, sans se contrôler, elle est victime de cet amour qui la ronge. Elle fait en quelque sorte « schizophrène », pas

Hilliard, Aouicha Au cours d'une conversation t�l�phonique entre Faina et SoIh, ce dernier, math�maticien dont les recherches portent sur le langage math�matique, exprime le sentiment de frustration qui lui fait interrompre momentan�ment ses travaux: "La question [. . .] est que le diable n'habite ni la pens�e, ni les sentiments, ni . . . les calculs; mais le langage!".1 Cette phrase-cl� du Sommeil d'Eve refl�te une pr�occupation constante dans l'oeuvre de Mohammed Dib: comment faire pour que le langage

odieuse qu'elle n'est dans les tragédies des Anciens, où elle se résout d'elle−même à accuser Hippolyte. J'ai cru que la calomnie avait quelque chose de trop bas et de trop noir pour la mettre dans la bouche d'une princesse qui a d'ailleurs des sentiments si nobles et si vertueux. Cette bassesse m'a paru plus convenable à une nourrice, qui pouvait avoir des inclinations plus serviles, et qui néanmoins n'entreprend cette fausse accusation que pour sauver la vie et l'honneur de sa maîtresse. Phèdre

sincérité et la transparence ce qui n’a pas d’équivalent dans le roman. - expressions qui insistent sur la volonté de sincérité : L.1 : « Je veux vous parler encore avec la même sincérité que j’ai déjà commencé », L.4 : « Ne vous cacher aucun de mes sentiments », L.5 : « Vous les laisser voir », L.6 : « Faire paraître », L.4-5-6 : champ lexical de la vue, L.6 et 22 : « avouer » Ces expressions assez nombreuses soulignent sa détermination à être sincère et elle insiste sur le caractère exceptionnel de

peur. La haine est l’aversion profonde, la répulsion éprouvée par quelqu'un à l'égard de quelque chose ou de quelqu’un (Larousse). La peur est un sentiment d'angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d'un danger, réel ou supposé, d'une menace (Larousse). Ces sentiments ne doivent pas se confondre car l’une est naturelle et innée et l’autre est un sentiment qui est créé par notre société haïssant. On pourrait bien se demander les raisons pour lesquelles nous, humains, les êtres avec la plus

entretiennent avec l’amour, en un non- accomplissement systématique qui se fait le reflet des craintes de l’auteur. A. Les femmes et le sentiment amoureux. 1. La « condition d’échec » héritée du Romantisme : un amour rendu impossible par son objet même. * Bien que propice à des envolées lyriques et à des réflexions sublimées comme l’oeuvre de Rilke en contient, le sentiment amoureux demeure un échec et une non- réalisation ; il devient par là même une métaphore de la difficulté à s’ancrer dans le réel

intérieur : « la peur luttait en lui » , « en lui combattue » . Ce combat évoque la lutte entre fraternité et solitude, la rébellion d’un homme contre la fatalité de cette solitude. C’est donc un combat intérieur intense qui anime Katow. Les sentiments et réflexions sont aussi représentatifs de cette solitude. Il y a énumération de termes négatifs : « angoisse, catastrophe, impossible, colère, combattue, idiot ». Cette gradation dans le désespoir, liée à la perte du cyanure, décrivent l’immersion