Oradour Sentiments

l’épisode du rire, Clamence s’est rendu compte de la duplicité de sa nature. Son bonheur n’était que superficiel et illusoire, sa générosité qu’un moyen de domination et la marque d’une vanité personnelle. Toutes ses tentatives pour échapper à ce sentiment de culpabilité ont échoué et l’épisode du transatlantique est à cet égard décisif. « Je compris qu’il (le cri ou le rire) continuerait de m’attendre sur les mers et les fleuves, partout enfin où se trouverait l’eau amère de mon baptême. » Le malconfort

Jours I-LES SENTIMENTS A] Le Bonheur - lexique du rire: "riait; "rit"; 'rit de nouveau" + gradation (p85): "Elle rit encore, et le regarda, et rit de nouveau, encore mieux." --> transmission de la joie de vivre, du bien être. - Isis organise une fête pour l'anniversaire de son chien Dupont. Pour cette occasion, Colin apprend à danser le "biglemoi" (une danse rythmée de boogie-woogie) --> la danse nous permet de nous divertir, c'est une manière de s'amuser. B] L'amour - sentiment amoureux: répétition

Rousseau dit que la seule religion est la religion naturelle soit un ensemble de croyance et de sentiment amoureux qui naitrait de l’esprit sans qu’il y soit d’éducation religieuse. Il appelle cette croyance le théisme. Les pratiques religieuses sont jugées inutiles. Elle se rapproche de la religion dynamique de Bergson. On peut donc dire que la thèse de Kant à des point faibles, car elle oublie les sentiments qui animent la croyance et qui sont la base de toute religion. Feuerbach critique quant

donc se méfier des noms qui ne renvoient pas aux choses réelles mais à la conscience perceptible, psychologique, affective de celui qui les utilise. Le texte, de la l.1 à 5, commence par souligner le caractère subjectif des mots qui désignent des sentiments puis, de la l.5 à 112, Hobbes analyse la cause de cette subjectivité. Enfin, de la l. 13 à hh, Hobbes nous invite à raisonner. Néanmoins, on pourrait faire remarquer que le lien que l’on reproche souvent aux mots c’est d’être trop particuliers,

qu’elles provoquent. D’après la définition, une émotion est un vif sentiment provocant un trouble, et cela peu importe l’époque, le contexte politique, ou la situation géographique, les émotions éprouvés par les hommes sont les mêmes. En effet qu’il s’agisse de rires, de pleurs ou de quelque émotion que se soit, ces sensations ressenties sont toujours les mêmes. Dans les Fourberies de Scapin de Molière (1671), le rire est le sentiment prédominant dans cette œuvre et ce notamment à cause des multiples

détachement : « [j]e fus tenté de le feuilleter, à la manière d’un flirt sans conséquence, d’autant plus qu’il était traduit par Monsieur Fu Lei, le traducteur de Balzac ». (136) 2.2.2 Mais il se rend bientôt compte qu’il s’agit d’un sentiment profond : « [j]e laissai de côté les Balzac...et tombai tout à tour amoureux... de Flaubert, de Gogol, de Melville, et même de Romain Rolland ». (136) 2.2.3 Il conclut finalement que « le flirt se transforma en grand amour ». (136)

heurte à une décision qui sera irrévocable « Oui, irrévocablement. » l.50 Il y a un secret, Camille l'avoue quand elle rompt assez brusquement en jouant les cœurs secs devant un Perdican qui s'incline devant sa dérision, sans cacher ses véritables sentiments : « Ton amour m'eût donné la vie, mais ton amitié m'en consolera. ». On découvre que son secret est le projet de renoncer au monde et de retourner au couvent lorsque qu’elle commande à Dame Pluche de tout préparer pour son départ « Dame Pluche

Ô tourments », le thème de la fatalité, mais de façon différente. Tout d’abord, il est juste d’affirmer que les deux auteurs, soit Garneau et Granbois, expriment un sentiment d’enfermement qui les tend inévitablement à la fatalité, c’est-à-dire la mort. D’une part, dans « Cage d’oiseau », l’auteur illustre bien le sentiment de claustration et d’impuissance qu’il ressent à l’égard de son cœur, qui semble être prisonnier de sa cage thoracique. En ce sens, Garneau affirme aux vers 5 et 6 :

malade. » (p.72, lignes 22), « - Écoute David, tu parleras de ca à ta mère, veux-tu? » dit Simon (p.73, lignes 24). Mais encore, regardons du coté d’un autre personnage, Catherine. Le mensonge pour elle est nécessaire si elle veut préserver ses sentiments envers Simon secrète ou même pour le bonheur et l’amour qu’elle a pour son fils. En effet, elle ment et en arrive à un futur conséquentiel de ses actes. On peu voir la trahison faite envers David par ces extraits : « David a quelquefois sa voix

voulu peindre la déchéance fatale d'une famille ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. Au bout de l'ivrognerie et de la fainéantise, il y a le relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l'oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénoûment, la honte et la mort. C'est de la morale en action, simplement.L'Assommoir est à coup sûr le plus chaste de mes livres. Souvent j'ai dû toucher à des plaies autrement épouvantables. La forme seule a effaré. On s'est