Oradour Sur Glane

raconte, révèle la folie humaine qui les a pris. En effet, en 1944, une division du reich veut gagner les villes du centre et du nord de la France. Sur leur route, à cause de la folie, d’une envie meurtrière, elle décida de décimer un village : Oradour sur Glane (dans le Limousin). Hommes fusillés, femmes et enfants brûlés vifs dans les églises : personne ne survivra, 642 civils tués. Ce fut un massacre : cruauté humaine, horreur humaine, barbarie humaine, sauvagerie humaine. Son poème n’a pas de vie

la juge nécessaire ou non. L’armée est faite pour combattre, seuls les soldats (qui ne sont pas toujours volontaires, mais c’est un autre débat) se battent. Or comment peut-on expliquer que des innocents, des villages entiers soient détruits (Oradour-sur-Glane) : 2600 morts Dommages collatéraux : dommages « inévitable » : expression seulement employée dans un combat Guerres sur internet, vie privée, armes chimiques : autres moyens de faire la guerre III. A chercher * La guerre, en tant

c’est un échec. Face à la résistance les nazis sont obligés de mobilisés de nombreuses troupes pour pacifier les pays. Ils organisent des actions de représailles (exécution d’otages...) comme à Ascq dans le Nord en avril 1944 (86 morts) ou à Oradour-sur-Glane dans le Limousin en juin 1944 (642 morts). La Gestapo utilise systématiquement la torture pour faire parler les résistants avant soit de les exécuter soit de les faire disparaître dans " la nuit et le brouillard " (camps de concentration).

victimes et des témoins est illusoire, il n’est plus protecteur mais coupable. Le silence est mortifiant, on dit un silence mortel. Il est parfois figé, rigidifié, solidifié incrusté dans la pierre, c’est le souvenir que j’ai gardé de visites à Oradour sur Glane ou à Verdun. On pourrait aussi parler du silence des déserts ou de celui des profondeurs de l’océan mais je n’ai pas connu cette expérience, encore que je pense qu’il s’agit plus de solitude que de silence. On peut avoir de la peine à

répondre aux actions menées par la Résistance est établi. Vers la fin de la guerre, cet aspect répressif s’accentue du fait des difficultés éprouvées par les Allemands et se traduit par des représailles collectives particulièrement barbares (Ouradour-sur-Glane en juillet 1944). 2.3. Une politique antisémite Il existe une collaboration d’ordre politique et idéologique : certains en France, antidémocrates et anticommunistes approuvent les idées nazies et voit dans la victoire allemande l’occasion de

siècle, les drames des guerres successives et notamment les horreurs démasquées après la seconde guerre mondiale provoquent également l’indignation de nombreux auteurs comme Jean Tardieu qui déplore le massacre de la ville d’Oradour-sur-Glane dans son poème « Oradour ». De même, George Orwell s’inscrit au rang des auteurs qui ont voulu dénoncer dans des romans comme La Ferme des animaux et surtout 1984, dans lequel il crée le concept de « Big Brother » pour désigner la surveillance permanente… L'adjectif

en février 1945 ; bombe atomique sur Hiroshima et Nagasaki) - massacres de civils : présentés souvent comme des représailles aux actes de résistance : ex des massacres commis par la 2e Division Das Reich à Tulle (99 morts le 9 juin 1944) et Oradour-sur-Glane (642 morts, le 10 juin 1944). Ces pratiques rares à l’Ouest étaient beaucoup plus courantes sur le front de l’est. D/ Le Génocide des juifs et des tziganes d’Europe Support : une carte du système de concentration et d’extermination

Sein). Jean Moulin, ses cendres sont transférées au Panthéon en 1964. • des lieux: Symboliquement, des stations de métro. Le Mont Valérien où plus d'un millier d'otages et de résistants furent exécutés de 1941 à 1944. Des villages martyrs comme Oradour sur Glane, Maillé et Tulle. ￫ des mémoires en concurrence, mémoire communiste et gaulliste. 2.2 la déportation • Déportés politiques: Plus de 89000 déportés dont 40% sont morts dans les camps. La mémoire est à la fois constituée de témoignages et d’une

est mort en raison de ses activités politiques et non pour des faits de résistance. Et pour finir, le 4 septembre 2013, François Hollande rencontre le président allemand Joachim Gauck pour commémorer le massacre ayant eu lieu le 10 juin 1944 à Oradour-Sur-Glane. Le président français en a profité pour comparer les massacres et attaques chimiques de la Seconde Guerre mondiale avec les récents massacres en Syrie. Il fait appel à la mémoire de cet événement douloureux en s’appuyant sur les sentiments,

prisonnier ou encore afin de payer l'impot ( c'est a dire verser une part de leur récoltes) De plus les paysans sont parfois confrontés a une agressivité ou des abus de l'occupant se qui peuvent se traduire par des pillages ou des massacre ( oradour sur glane). Enfin pour finir la paysannerie française doit subir souvent une progagande allemandes ou vichystes(affiche) ainsi que vivre dans la crainte de d'être appelé au sercices du travail obligatoire en Allemangne (affiche). Les Réactions