Oradour Sur Glane

puissances de l'Axe. Une guerre d'anéantissement Cette guerre a frappé autant ou plus les civils que les militaires : mitraillage des routes de l'exode, bombardements massifs des villes (Londres, Dresde), représailles et massacres d'otages (Oradour-sur-Glane), extermination des juifs, slaves, tziganes dans les ghettos et les camps, bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. 2) Le régime nazi Un régime totalitaire A la tête d'un gouvernement de coalition, Hitler rassure l'opinion publique

pacifique dans les 2 camps : pratiques barbares : mutilation prélevement d’organes. Lors de l’avancés soviétique en Allemagne le viol des femmes est ordonné….La résistance qui s’organise est fortement réprimée Massacres dans des villes comme Oradour sur Glane. C/ Mobilisation de moyens exceptionnels La mobilisation économique est considérable chez les Alliés. Les Britanniques sont les premiers à mettre sur pied une économie de guerre. Entre juin 1940 et décembre 1941, les usines d’armement mobilisent

les premiers vers de «  Hymne à la liberté »] 2/ esthétique de répétition : Le lecteur mémorise ce qui est répété et s’approprie le message [«  La chanson des canuts » refrain ; anaphore de «  Oradour n’a plus «  Ouradour » de Tardieu.] C] Des images qui s’impriment dans l’imagination du lecteur : Au lieu de long discours ennuyant la poésie procède par image qui marquent le lecteur [ Hugo «  Mélancholia » évoque des files d’ »enfants dont

c’est un échec. Face à la résistance les nazis sont obligés de mobilisés de nombreuses troupes pour pacifier les pays. Ils organisent des actions de représailles (exécution d’otages...) comme à Ascq dans le Nord en avril 1944 (86 morts) ou à Oradour-sur-Glane dans le Limousin en juin 1944 (642 morts). La Gestapo utilise systématiquement la torture pour faire parler les résistants avant soit de les exécuter soit de les faire disparaître dans " la nuit et le brouillard " (camps de concentration).

est mort en raison de ses activités politiques et non pour des faits de résistance. Et pour finir, le 4 septembre 2013, François Hollande rencontre le président allemand Joachim Gauck pour commémorer le massacre ayant eu lieu le 10 juin 1944 à Oradour-Sur-Glane. Le président français en a profité pour comparer les massacres et attaques chimiques de la Seconde Guerre mondiale avec les récents massacres en Syrie. Il fait appel à la mémoire de cet événement douloureux en s’appuyant sur les sentiments,

d'amnistie qui suscitent le débat entre la droite et la gauche - des lois d'amnistie qui déclenchent parfois des polémiques publiques : la condamnation et l'amnistie des 13 "malgré nous" de la division SS "Das Reich" responsable du massacre d'Oradour-sur-Glane B - La naissance d'une mémoire officielle tronquée : le "mythe résistancialiste" - un souci de réconciliation nationale partagé par les dirigeants de la IVème République mais surtout par le général de Gaulle - une mémoire de la Seconde Guerre mondiale

Reichprotektor Heydrich. Elle a aussi été très efficace en Russie en Chine. La plupart du temps, les résistants qui se font prendre torturés, exécutés ou déportés. Des villages entiers sont massacrés en représailles (Lidice en Tchécoslovaquie, Oradour-sur-Glane en France). III L'expression de traumatisme désigne le cas des soldats ou des civils qui ne pouvaient supporter la tension de la guerre. Le rythme et l'intensité de la guerre industrialisée avaient des conséquences sur l'esprit et

les pertes civiles françaises sont pratiquement deux fois plus élevées. La France est victime de l’offensive allemande en 1940. Occupée, elle est soumise aux privations( surmortalité), exécutions d’otages, de résistants, massacres de civils ( Oradour/ Glane), déportations politiques et raciales qui touchent 75 000 Juifs vivant en France. Les Alliés bombardent les villes françaises pour détruire les défenses allemandes ( bombardement de Marseille en mai 1944). A partir de juin 1944, la France

route menant de Sidon à Beyrout. De l’autre côté de la route, la mer. C’est, aujourd’hui, un nom oublié des consciences occidentales. Le ministère du tourisme du sud Liban cherche vainement à chanter la gloire de son paysage. Personne ne visite Oradour-sur-Glane pour son paysage. Damour non plus. Mais vous aurez du mal à trouver des images de ces événements : la plupart des photographies d’époque ont été prises par les « combattants » palestiniens eux-mêmes qui étaient fiers de leurs actes et qui les

c’est un échec. Face à la résistance les nazis sont obligés de mobilisés de nombreuses troupes pour pacifier les pays. Ils organisent des actions de représailles (exécution d’otages...) comme à Ascq dans le Nord en avril 1944 (86 morts) ou à Oradour-sur-Glane dans le Limousin en juin 1944 (642 morts). La Gestapo utilise systématiquement la torture pour faire parler les résistants avant soit de les exécuter soit de les faire disparaître dans " la nuit et le brouillard " (camps de concentration).