Oradour Sur Glane

d’anéantissement. C'est une guerre qui frappe autant les civils que les militaires. Elle frappe car on mitraille les routes des population en plein exode, bombardement massive des villes (ex : Londres, Dresde). Représailles et massacre d'otage (en France : Oradour Sur Glane). Les bombes atomiques que Hiroshima et Nagasaki. Ainsi que l'extermination des juifs des tziganes et slaves dans les camps d'extermination. C'est donc une guerre qui ne peut s'achever que par la destruction totale d'un des deux camps. II-

soldats mais nouveau attaque majeure des civils, ce qui n'était pas le cas lors de la première guerre mondiale, les civils sont cette fois une cible systématique = Stratégie de la Terreur = Faire peur aux civils par des bombardements, massacres (Oradour Sur Glane dans l'ouest de la France en 1944, les troupes allemandes remontant vers la Normandie, ils vont réunir tout les habitants du village dans l'Église et mettre le feu = Village martyr.). En Europe de l'Est les allemands ont massacré des villages

des lignes téléphoniques ou placés des mines antichars sur les routes pour ralentir les allemands et créer un sentiment d’insécurité tout cela au risque et péril des français car de nombreuses représailles sanglantes vont avoir lieu comme à Oradour-sur-Glane prés de Limoges où les allemands irrités par les attaques des francs-tireurs (des attaques embusquées) vont investir le village un matin pour tuer tout les hommes et brûler l’église avec les femmes et enfants, au final 642 victimes de représailles

commandée par « l’Ange » (le sous-lieutenant « Pays ») est attaquée et massacrée par une colonne allemande aux abords d’un lieu-dit appelé La Pezade. En tout, 23 résistants sont morts. Malgré la répression et le massacre de civils, comme à Oradour-sur- Glane, les FFI sont très actives sur l’ensemble du territoire. Par exemple, la libération de Paris (19-25 août 1944) est le fait d’un soulèvement des Parisiens menés par les FFI et leur jonction avec la 2ème DB de Leclerc. L’armée française de

|IV-La victoire | | | |l’Etat, brève allusion à |collaborateurs, Pétain | | | | | |Oradour-Sur-Glane. |(3) | | | | | |- L’écrasante charge du |- Le problème de la | |

remplacée par l'urgence de la reconstruction. Des lois d'amnistie sont votées dès 1947. En 1953, l'une d'entre elles vise les Alsaciens enrôlés de force dans l'armée allemande (les « malgré-nous ») qui ont participé au massacre de 642 civils à Oradour-sur-Glane en 1944. • Une lecture officielle Le général de Gaulle, qui est au pouvoir jusqu'en 1946 puis à nouveau à partir de 1958, et dont l'influence reste prépondérante, donne une lecture de la guerre qui est admise par la plupart des partis de la

morts), ils ont animé une presse clandestine, ils ont organisé des sabotages, des attentats contre les Allemands ou contre les collaborateurs, ce qui a souvent déclenché des représailles allemandes et des massacres de populations civiles comme à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) où le 10 juin 1944, 642 civils ont été massacrés. Le document 2 est moins simplificateur et plus objectif quant à sa présentation de la période, mais il présente également des lacunes. J. Chirac qui fait l'apologie de l'engagement

meurtrier de l'Histoire, civils compris (bombardements, génocide, la Pologne perd 15% de sa population en 1945 par rapport à 1939) ; brutalisation et mépris de la vie humaine (torture, camps de concentration, massacres dans des petits villages comme Oradour-sur-Glane, travail forcé) ; honte de la collaboration en France, du passé nazi en Allemagne économique : déjà entamée par la 1°GM l'Europe sort du conflit encore plus affaiblie ; destructions matérielles considérables sur le continent (chemins de fer,

l'enthousiasme du premier débarquement, des régions entières sont libérées par les résistants des maquis du Vercors par exemple. Ces débordements provoquent une répression sans précédent envers les civils, des villages entiers sont exterminés comme Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944. Les déportations étant rendues impossibles par la présence d'alliés sur le territoire, les soldats allemands massacrent eux-mêmes des juifs et des résistants, faisant ainsi 15 000 morts durant cette période de représsion. Après

(destruction de Dresde en février 1945 ; bombe atomique sur Hiroshima et Nagasaki) diaporama- massacres de civils : présentés souvent comme des représailles aux actes de résistance : ex des massacres commis à Tulle (99 morts le 9 juin 1944) et Oradour-sur-Glane (642 morts, le 10 juin 1944). Ces pratiques rares à l’Ouest étaient beaucoup plus courantes sur le front de l’est. D/ Le Génocide des juifs et des tziganes d’Europe génocide . La spécificité du crime nazi est liée à l’ampleur du massacre