Organisation De La Chretiente Medievale

divines qui commentent la Bible et qui sont le support de la religion chrétienne révélée par les facultés de théologie. Les lettres humaines représenteront au XVIème siècle un enseignement constitué des principales disciplines issues de la tradition médiévale, complété des études sur les textes antiques. Rabelais parlera dans Pantagruel de humanitas. Et ceux qui s'intéressent à ces lettres humaines seront appelés humanistes. Pour les humanistes, l'homme est placé au centre de toute question. S'appuyant

vers l'universel du cosmos est fausse car il n'y a pas d'évolution linéaire du temps. Nos universités sont en danger et ont tendance à devenir des écoles professionnelles, des écoles technique où on ne réflechit pas/peu. Le modèle universitaire mediéval pourrait servir de réference auprès de notre ministère. On disait à l'époque : "L'université de Paris pour boire, Lyon pour avoir, Bordeaux pour dispendre (dépenser), et Toulouse pour apprendre." => renommée de notre université L'exemple

majeurs des Romain. Et malgré la dépression de cette première grande civilisation européenne annoncée par les invasions barbares et la chute de la Romanité après l'époque de Charlemagne et de ses successeurs ( Ve - IX.e s. ) puis l'avènement de 1' âge médiéval au sens précis ( Xe - XIIIe s. ) . les acquis de 1'Antiquité orientale et gréco-romaine ont été conservés grâce notamment à 1'érudition des clercs de 1' Eglise et aux penseurs du « siècle de saint Louis » qui ont renoué avec la tradition des auteurs

BARDET, et autres : « Histoire des Institutions de l'époque Franque à la Révolution ». (Il constitue le programme de l'année : centaine d'heures de cours, disponible au PUF : Presse Universitaire Française) Jean-François LEMARIGNIER : « La France médiévale, institutions et société ». Réédité sous un autre titre. En deux volumes : Philippe SUEUR : « Histoire du Droit public français ». Disponible dans la collection « Tennis » de chez PUF. Références précises utiles pour préparer un TD. Pierre-Clément

(imperium), le peuple [romain] a conféré [à l’empereur] tout son pouvoir (imperium) et toute sa puissance (potestas). » Ce fragment (repris par Justinien dans le Digeste : D. 1, 4, 1, pr.) sera l’un des textes fondateurs de la pensée politique médiévale. 4. Apogée de la jurisprudence classique L’art des juristes atteint son apogée sous le Principat, du début du ier siècle au milieu du iiie. Labéon, contemporain d’Auguste, perfectionne la méthode en dégageant la notion de « règle de droit » (regula)

qui se font à différents niveaux. L’Eglise a intérêt à un ordre juridique qu’elle oriente elle-même. Elle est parvenue à maintenir ses structures et à accumuler de très grandes propriétés (foncières et liturgiques) et est devenue une force. Cette organisation de l’Eglise avait de grands intérêts patrimoniaux, elle va développer son propre droit ! (= droit canonique/ canons : lois, règles de droit qui représentent la législation de l’Eglise). Ce droit canonique n’ayant pas un droit comme les autres,

renaître l'empire romain. Cet appuie se manifeste à Rome, en 800, le Pape Léon III dépose la couronne impériale sur la tête de Charlemagne. A partir de 800, Charlemagne va régner sans partage sur un territoire vaste. Il est le chef politique de tout la chrétienté occidentale. Ensuite, on va connaître une période de décadence comme pour les mérovingiens. Charlemagne n'arrive pas à pérenniser son œuvre, Louis le pieu ( fils de Charlemagne ) ne va pas réussir à s'émanciper de la puissance germanique. Il

compagnons, il s’orienta vers une sécularisation de biens de l’Eglise afin de prélever sur celle-ci les terres dont il avait besoin. L’Eglise protesta, mais ne put s’opposer à une initiative qui était la conséquence de la défense victorieuse de la chrétienté, d’autant qu’une solution conciliante put être pratiquée : l’Eglise recouvrait la propriété des terres qui lui avaient été ôtées, mais elle acceptait, à la prière et sous la garantie du roi, de laisser la jouissance viagère à ses occupants, à titre

compagnons, il s’orienta vers une sécularisation de biens de l’Eglise afin de prélever sur celle-ci les terres dont il avait besoin. L’Eglise protesta, mais ne put s’opposer à une initiative qui était la conséquence de la défense victorieuse de la chrétienté, d’autant qu’une solution conciliante put être pratiquée : l’Eglise recouvrait la propriété des terres qui lui avaient été ôtées, mais elle acceptait, à la prière et sous la garantie du roi, de laisser la jouissance viagère à ses occupants, à titre

1MED 1-301 Niveau de description Sous-fonds Importance matérielle 20,22 ml Instrument de recherche Répertoire numérique CONTEXTE Nom du producteur Faculté de Médecine de Montpellier Historique administratif Héritière de l'université médiévale, l’Université de Montpellier est fondée par le Pape Nicolas IV le 26 octobre 1289. Elle réunit au sein d’une même institution l'Ecole de Médecine (1220), l'Ecole de Droit (1249) et l’Ecole des Arts (1242). Sa renommée n’a eu de cesse de s’accroître