Orphée Influence

Histoire des Arts : Orphée de Chagall [pic] Ce tableau date de 1977, Chagall a choisi de représenter l’entré d’Orphée aux enfers. I Narration du mythe Orphée est le fils de la muse Calliope. Il a reçu en cadeau une lyre magique d’Apollon, qui sert à charmer les gens ; cette lyre à 9 cordes Il a épousé la nymphe Eurydice mais celle-ci marche sur un serpent et meurt aussi Orphée va la chercher aux Enfers II Le tableau D’ordinaire Chagall s’inspire su judaïsme et de la Russie. Il est

(vers 12). « *Orphée est surtout connu pour son mariage malheureux avec la jolie nymphe Eurydice. Peu après le mariage, son épouse, mordue par une vipère, mourut. Accablé de chagrin, Orphée décida de descendre aux enfers et de la ramener, ce qu'aucun mortel n'avait jamais fait. Hadès, le maître des enfers, fut si ému par sa musique qu'il accepta de rendre Eurydice à Orphée à la condition qu'il ne se retourna pas pour la regarder, jusqu'à ce qu'il soit remonté sur la terre. Mais Orphée, voyant la lumière

étant aède qu’il a le plus de pouvoir, et non en tant que roi. Que ferait une société sans aède, poète ? La statut d’aède lui offre une stature tellement extraordinaire, qu’il obtient la catabase è obtient l’accès au monde des morts, ce que seul Orphée à pu faire, qui est lui-même un poète lui aussi. è Statut d’intermédiaire entre les hommes. è Seuls les aèdes peuvent savoir ce qu’il se passe au moment de la mort. C’est l’homme qui sait l’essence même de la vie. Ulysse est l’homme qui SAIT è

celui-ci est représenté de différentes formes. Les « Géorgiques IV » [485-503] de Virgile, est un poème antique, relatant la descente aux Enfers d'Orphée, afin d'y chercher son aimée Eurydice, morte. En effet, après la mort a de celle-ci, le poète Orphée avait obtenu la permission d'aller la chercher de la reine du royaume des morts, Perséphone, à la seule condition qu'il ne se retourne et ne regarde jamais en arrière. « Une beauté de quinze ans enfantine », de Ronsard, est un poème de la Pléiade

comme des êtres pleins de bravoure et de courage. Dans la mythologie grecque par exemple, « Orphée », l’homme à la lyre, tente de récupérer sa femme Eurydice tuée par une morsure de serpent. Il va alors, héroïquement, réussir à convaincre le Dieu Hadès, de la laisser quitter le royaume des Enfers, à la condition de ne pas se retourner pour la regarder avant d’être retourné dans le monde des vivants. Orphée n’y parviendra pas mais aura malgré tout un statut de héros exceptionnel. Dans le

éléments : le manque avec lequel il vit, mais qu'il assume et qualifie de « savoir ». Ce manque, il en a conscience, mais, plus encore, il l'outrepasse en entrant dans l'intimité des morts. En effet, par la musique, il rejoint le monde des morts, tel Orphée, c'est du moins ce que lui assure sa femme, Madame de Sainte Colombe en clamant que « quelquefois, la lumière porte jusqu'à vos regards des morceaux de nos apparences » (p. 91). Par son consentement au néant et à la culpabilité, il se place hors

métaphores et de comparaison *Mythe d' Orphée et le mythe de la caverne Le mythe est une forme d'apologue, une histoire totalement inventée qui sert à expliquer des réalités qui seraient difficiles à expliquer comme la création de l'homme ou de l'univers. Il appartient à un inconscient collectif : on retrouve dans toutes les mythologies les mêmes histoires. Orphée :Tous les anciens grecs le connaissait avec son double féminin Eurydice. Légende : Orphée fut le premier poète grec, avec une

suscité l’enthousiasme du public. Leur nouveau et dernier spectacle à quatre mains, Orphée, est consacré à l’homme et au mythe, rendant compte de cette richesse foisonnante où l’on retrouve les empreintes de Rubens, Monteverdi, Gluck, Philip Glass ou Cocteau. Mais où l’on retrouve surtout l’empreinte du duo Montalvo-Hervieu, haute en couleur, ludique, étonnante. Un monde peuplé de figures hors normes comme cet Orphée mi-homme, mi-dieu, doté de pouvoirs surnaturels, en l’occurrence celui de voler au-dessus

Le regard d’Orphée (2) septembre 9, 2010 par krotchka 2. Dans l’impatience et l’imprudence du désir, l’inspiration. « Si le monde juge Orphée, l’œuvre ne le juge pas, n’éclaire pas ses fautes. L’œuvre ne dit rien. Et tout se passe comme si, en désobéissant à la loi, en regardant Eurydice, Orphée n’avait fait qu’obéir à l’exigence profonde de l’œuvre, comme si, par ce mouvement inspiré, il avait bien ravi aux Enfers l’ombre obscure, l’avait, à son insu, ramené dans le grand jour de l’œuvre

: sa femme est enfer, il va la rechercher en endormant Cerbère avec sa lyre en forçant Hadès à le laisser partir avec sa femme en jouant de la lyre, il ne doit pas se retourner avant d’être sorti, se retourne, la perd une 2ème fois). Dans ce mythe Orphée parvient à charmer les morts avec sa voix mélodieuse (cf. lyrique) et à ramener sa femme à la vie. Il symbolise donc la capacité de la poésie à triompher de la mort.