Orson Welles

1953 se passe aussi après-guerre dans une autre grande capitale touchée par le conflit. Réalisateur, producteur, scénariste. Le casting : Joseph Cotten : Johnny Martins - Alida Valli : Anna Schmidt - Trévor Howard : Major Calloway Orson Welles : Harry Lime Le scenario : L’histoire La Vienne de l’après-guerre ravagée par le conflit est partagée en 4 zones (russe, américaine, anglaise et française). Johnny Martins, écrivain américain à succès et sans le sou y débarque, invité par

gare fut alors utilisée successivement comme centre d'expédition de colis aux prisonniers pendant la guerre, puis comme centre d'accueil des prisonniers à la Libération. Elle servit de décor à plusieurs films (dont le Procès de Kafka adapté par Orson Welles), de havre momentané pour la compagnie de théâtre Renaud Barrault puis pour les commissaires-priseurs, pendant la reconstruction de l'Hôtel Drouot. L'hôtel ferma ses portes le ler janvier 1973, non sans avoir joué un rôle historique puisque

dernière. Elle n’a d’autre choix que le suicide pour échapper à l’échec de sa carrière ainsi qu’au remord culpabilisant. Le thème de la culpabilité est un sujet qui fut admirablement bien traité par Kafka dans le Procès et La Métamorphose. Orson Welles a d’ailleurs repris le Procès et en a fait un film où la forme épouse parfaitement le fond. Le désir refoulé de K pour sa voisine de palier le plonge dans un univers de rêve illogique tout comme Lynch l’a dépeint dans Mulholland Drive. Dans les

la logique du marché. Dès le début des années 1970, le réalisme est devenu démonstratif. Dans ce cinéma moderne, le spectateur n’interprète plus, il rencontre une nouvelle pensée, et doit oublier les siennes pour voir celle du film. Par exemple, Orson Welles, Roberto Rossellini, et plus généralement la Nouvelle Vague ne donnent plus d’importance au héros. Parallèlement à ce cinéma moderne, durant les années 1960, un autre courant apparaît, le « cinéma underground », qui est largement lié aux mouvements

leur formation à l'université : elle est aussi à aborder dans le cadre de l'interdisciplinarité. En classe de terminale littéraire, était au programme de l'épreuve de lettres en 2004-2005 Le Procès de Kafka et son adaptation cinématographique par Orson Welles. Voici ce qu'en dit un « document d'accompagnement » : Qui dit adapter dit transposer, traduire (trahir ?), dire autrement, ce que le livre dit en mots et chapitres, notamment par les images, les enchaînements d'images et de séquences filmiques

je-ne-rentrerais-pas-dans-ce-système-pourri-je-suis-intelligent-pas-besoin-d'un-bac-pour-le-savoir », engagés dans la vie associative et dépensant temps et énergie sur leurs guitares, restant en groupes restreints d'originaux aux habillements étranges à discuter de ce mec trop cool «  Orson Welles, tu sais ». Les « wesh » avec leur salut le « tchek » pour les garçons, qui varie en fonction de la personne à qui ont s'adresse, se compliquant si elle est proche, les filles avec leur sac Longchamp, leur cheveux surlaqués et surbouclés … Et il

pour vrai quelque chose qu'il sait pertinemment être faut. Mais c'est le cas également de la fiction. Dans la fiction, est présentée quelque chose qui n'a pas eu lieu. De plus il appartient à la fiction de faire passer pour vrai ce qu'elle évoque. Orson Welles dans un programme radiophonique a annoncé le débarquement des extra-terrestres sur la terre. Il s'agissait d'une émission programmée régulièrement qui abordait des thèmes de science-fiction. La population américaine, ce jour-là, a cru qu'il s'agissait

totalitaires comme celle de Staline. Les médias sont d’autant plus nocifs qu’ils peuvent aussi induire en erreur. Un épisode fameux illustre parfaitement ce fait : en 1938, à la radio CBS, lors d’une émission intitulée « L’invasion martienne », Orson Welles, le célèbre réalisateur de cinéma, déclenche un vent de panique chez certains auditeurs, persuadés de l’imminence de la venue des Martiens sur Terre. Le but de la propagande est donc bien de répandre des informations de telle manière que le récepteur

Quant aux comédiennes les lauréates, la France sera représentée par la grande diva d’origine Russe, Marina VLADY, qui après tout un demi-siècle d’histoire de cinéma et de théâtre, a travaillée et a rencontrée , les plus grands maîtres…Jean Renoir,Orson Welles, Marlon Brando, Jean-Luc Godard, Jean Marais, Robert Hossein, Jean Villar, ….Elle a su gardée sa passion intacte, son professionnalisme et son engagement pour les nobles causes….l’Inde est également à l’honneur avec celle qui représente l’avenir

pères de l’école documentaire crée des courts métrages financés par le ministère de l’infor- mation. 
 page10image19568.png ¬ page10image19728.jpg ¬ page10image19896.png ¬ page10image20056.png ¬ page10image20216.png ¬ page10image20376.png ¬ 8 Orson WELLES : (1915-1985) Acteur, producteur, réalisateur et auteur américain, monstre sacré du cinéma et du théâtre du XXè siècle. Né à Kenoska dans l'État du Wisconsin, il parcourut le monde aux côtés de son père plutôt que d'étudier à l'université. Il