Oser Ne Pas Penser Comme Les Autres

fait si proche de l'espace. Oser se laisser toucher du regard Être là pour accueillir Une ouverture dans la marée humaine Perle d'infini entre deux êtres. 02/06/09 {text:soft-page-break} Le pouvoir de l'autre Le tourbillon incessant De la pensée de l'autre sur vous. Vous voudriez fuir Et vous restez là A lui ouvrir votre porte Avec le droit de vous diminuer Par son mode de pensée Vous vous sentez rattrapée et maudite Comme par le passé Une vieille blessure

Dossier Esprit, es-tu là ? Alain DAWANCE linguiste Athéisme et transcendance ? Penser sa vie et vivre sa pensée. Tel peut être le désir philosophique, désir qui peut impliquer celui de changer nos conditions de vie et donc, aussi, celui de transformer le monde, car “le monde, dans sa forme actuelle, n’est pas le seul monde possible” (Paul Klee). Pas plus que la philosophie n’est pure, l’art n’est gratuit. Matérialiste, je vois dans l’art un travail qui est une tentative de maîtriser et de

« mineur » est à prendre au sens métaphorique et désigne celui qui ne veut pas penser par soi-même, de manière autonome, mais préfère laisser d’autres gens penser pour lui ! Autrement dit, minorité => synonyme de dépendance et d’hétéronomie, dépendre de quelqu’un d’autre, recevoir sa loi de quelqu’un d’autre… Idée implicite : penser par soi-même serait une activité pénible et difficile… Pourquoi ? Il ne m’est pas nécessaire de penser, pourvu que je puisse payer ; d’autres se chargeront bien pour moi de

création à l'Odéon-Théâtre à Paris. Cette pièce, appartenant au théâtre de l'absurde, retrace l'histoire d'une épidémie frappant une ville et transformant progressivement tous ses habitants en rhinocéros. Cette « Rhinocérite » invasive est interprétée comme figurant la montée du totalitarisme en France avant la deuxième guerre mondiale. Au dénouement de la pièce, on retrouve l'unique personnage à avoir conserver sa forme humaine, Bérenger, qui incarne donc symboliquement la résistance. Cependant, durant

transformée pour que l’homme change. Les évènements ont démontrés qu’il était dans l’erreur. Beaucoup de gens estiment que certains individus, certains gouvernements et certains peuples doivent changer, parce que tout le monde pense que se sont les autres qui doivent changer, c’est-à-dire ceux qui, à leurs yeux, ne sont pas parfaits. Et en partant toujours de cette idée, rien ne change ou c’est la guerre. Voici un poème millénaire qui nous vient d’Orient : Si tu veux rétablir l’ordre dans le

positive du sujet. Quand nous sommes adolescents, notre corps est au sommet de sa force avec plein d’énergie et nous sommes prêts à changer le monde. Notre esprit rêveur projette sur le monde nos désirs, nos fantasmes, nos espoirs. Nous voyons la vie comme une opportunité de réaliser nos rêves. Le monde est rempli de promesses pour notre regard de jeune. Le monde est une source inépuisable de plaisirs toujours nouveaux. C’est l’enthousiasme et l’utopisme de la jeunesse. Les jeunes sont la relève de notre

OEUVRES PRINCIPALES Romans : Une vie Bel-Ami Mont-Oriol Fort comme la mort Notre cœur Nouvelles : Le Horla Boule de Suif Une partie de campagne et autres nouvelles La maison Tellier La petite Roque Le docteur Héraclius Gloss Miss Harriet Soirées de Médan Mademoiselle Fifi Contes de la bécasse Clair de lune Les sœurs Rondoli Toine Monsieur Parent Le rosier de madame Husson La main gauche L'inutile beauté Souvenirs : Au soleil Sur l'eau La vie errante Guy de Maupassant Pierre et Jean Chapitre

verrons que le progrès de la société a tué des formes d’art. On peut, comme Bergson, dire qu’une société c’est « la mise en commun des énergies individuelles », une organisation qui permet de « bénéficier des efforts de tous » et de « rendre à tous leur effort plus facile ». Dans ce cas, une société est fondée sur le besoin et des savoir-faire. C’est aussi ce que soutenait Platon avec la division naturelle du travail et la société comme synchronisation de talents pour une production de meilleure qualité

intensifie notre vulnérabilité à la peur. De plus, malheureusement, notre entourage interprète souvent mal notre souffrance, et nous encourage à réprimer notre chagrin, ce qui renforce encore notre crainte. « Maintenant, tu ne devrais plus penser à ça. » Comme ils ne connaissent pas le travail du deuil, nos proches peuvent maladroitement nous proposer de nous distraire. C'est alors que, nous sentant incompris, nous risquons de nous sentir encore plus isolés, donc d'être encore plus en proie à la

CORRIGÉ [1] SUJET : « A CHACUN SON OPINION » : PEUT-ON SE CONTENTER DE CETTE AFFIRMATION ? Introduction : (entrée en matière : opinion commune, exemple ou mise en situation).  «A chacun son opinion » (ou son point de vue) ; « chacun est libre de penser ce qu'il veut » : cette formule de concorde est souvent invoquée pour « calmer le jeu » ou apaiser les esprits lors d'une discussion sur un sujet qui fâche. Elle invite chacun au respect de l'autre et de la diversité des convictions (en matière politique