Ouïe

BEL-AMIMaupassantSuzanne reçois un télégramme de Madelaine l’invitant a un rendez-vous au parc de Sceaux. Celle-ci se demande pourquoi une invitation de la sorte.Elle se prépare alors, enfile une robe en soie dessinant parfaitement sa taille, et met une parure, offerte par Bel-Ami.Suzanne arrive au parc et s’assoit sagement sur le banc indiqué par Madelaine en face du lac ou deux cygnes amoureux flottent paisiblement.Madelaine la rejoint dix minutes plus tard et vient s’assoir à côté d’elle :« - Comment

long du site : En savoir plus : http://tpe-les-illusions-d-optique.webnode.fr/ Créer votre propre site web gratuitement: http://www.webnode.fr Introduction Si la plupart des mammifères, pour survivre et se protéger des prédateurs, ont une ouïe et un odorat très développés, ce n'est pas le cas de l'Homme. Cependant celui-ci est doté d'une très grande acuité visuelle, lui permettant d'analyser son environnement simplement en le balayant du regard, de détecter un mouvement ou un relief, et

état se trouvaient les fonctions sensorielles du petit sauvage. 1 Jean Itard, Mémoire (1801) et Rapport sur Victor de l’Aveyron, Paris, p.30. Le petit sauvage présenta des fonctions sensorielles très réduites, ressemblant à celles d’un animal. Son ouïe est insensible, son odorat était très faible, il ne parlait pas et avait les capacités du toucher très réduites et limitées.Question 2 : Après avoir examiné l’enfant, le docteur Pinel statuera qu’il « n’était susceptible d’aucune espèce de sociabilité

(hyperesthésie : augmentation anormale de la réaction à plusieurs ou à l’un des modes de l’exploration sensible)       « Je les voyais comme je n’ai jamais vu personne et pas un détail de leurs visages ou de leurs habits ne m’échappait. » (1131)       > Ouïe : « Deux frelons bourdonnaient contre la verrière. » (1130)       > Toucher, odorat : « Il faisait doux, le café m’avait réchauffé et par la porte ouverte entrait une forte odeur de nuit et de fleurs. » (1131)       • Dans le chap. 2 :    

Comique de répétition de l’échec. Part d’humour macabre. La vie est une comédie jouée tous les jours sur la scène du monde. Le monde est une scène sur laquelle les hommes endossent des rôles. Mise en abyme du théâtre. Comique de mots p28 « Oui » « Notre ouïe n’a pas baissé » jeu de mots basé sur l’homophonie. Comique de l’absurde p30 rupture de la continuité du dialogue. Décalage p28 « élégiaque » «Ah hier! » Rupture avec l’événement anodin de la perte d’une dent. Beckett exploite un humour décalé sur

vérité est ce qui fonde la réalité [pic] -Tendance à juger comme vrai ou fausse les choses -Opinion= connaissance par ouï-dire (s’est ce que Descartes critique dans le discours de la méthode) -Il faut s’approprier les connaissances par ouie-dire : croyance en quelques choses sans en avoir les expériences ou la raison L’opinion peut prendre une apparence de vérité car il y a des opinions qui sont vrai. Coté important de l’opinion ( préjugé, le « moi je » s’impose, il devient sa propre

amoureuse et le voyage sensuel Le dernier § présente une atmosphère érotique allusion sensuelle « éternelle chaleur », « langueurs » 4. L’importance des sensations L’odorat = point de départ des autres sens Présence des 5 sens = vue « entrevois » / ouïe « musique » / odorat « odeur » / toucher « caresses » / gout « mordille » B. voyage grâce au parfum = un monde exotique surgit de ce moment sensuel III/ Un voyage immobile 1. Les souvenirs et le songe Odeur des cheveux et parfums qui s’en dégagent

perfection, des lieux Refrain : énumération de termes 2ème str. : énumération d’objets associés à des adj. valorisants Couleurs chaudes : v.38, 40, 35 décrivant la perfection de ce lieu L’évocation des sens, la synesthésie Toucher Vue Odorat Ouïe Répétition de « volupté » Idée d’harmonie : tous les sens se rejoignent pour évoquer les mêmes impressions ; voyage par les sens : on réussit à imaginer l’espace sensualité Une femme mystérieuse V.1 apostrophes V.6 : pas de description

elle emploie comme Lesage une narration à la 1ère personne « c’est ce que je sais » l.9 celle-ci a pour effet de diluer les rares informations données. En effet, le narrateur révèle sa méconnaissance « je ne l’ai jamais vu » l.2, et se base sur des ouïe dire « on dit qu’il vit à Paris » l.2, « Tatiana dit que » l.22 ce qui ne permet pas au lecteur de se faire une idée claire du personnage et de l’intrigue. Le Ravissement de Lol V. Stein semble entrer dans la catégorie du récit de vie mais le « biographe

processus d'ouverture de l'huître B- On part de l'apparence →1er p : plus descriptif avec sa forme (allit. en « g »), de la couleur, du touché = énumération → « brillamment blanchâtre » : allit. En « b », ne s'accorde pas = description solicite notre ouïe → 3 fois le suffixe -âtre en désignant l'huître = éloge nuancé/éloge MAIS … C- Le processus d'ouverture nécessite des efforts → « les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles » = chiasme qui souligne les efforts pour l'ouvrir → allit