Ouïe

riluzole, ralentirait légèrement l'évolution de la maladie, cette évolution étant très variable d'une personne à l'autre et même, chez un même patient, d'une période à l'autre. Chez certains, la maladie, qui n'affecte pas les sens (vision, toucher, ouïe, odorat, goût),  peut parfois se stabiliser. La SLA nécessite une surveillance très rapprochée. La prise en charge consiste principalement à soulager les symptômes de la maladie.

») - Evoque l’envol car il y a une gradation (matériel, terrestre, astral) Presque tous les sens sont sollicités pour ressentir la beauté de la femme noire : vue, goût « sombres extases du vin noir », toucher « caresses ferventes du Vent d'Est », ouïe « tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur / Ta voix grave de contralto est le chant spirituel de l'Aimée ». II- Sensualité et mysticisme a) Nudité et mystère Même nue, la femme est chargée de mystères. « femme obscure » :

d'avis on fera les modifications que tu veux sur l'attitude de ton personnage, au contraire si elle te fait changer d'avis, tu devras accepter toutes mes modifications. NAZZARENO : Je suis tout ouïe. GIORDANO (se levant marchant autour de Nazzareno) : Cette scène est une scène comique qui est très attendu par le lecteur, spectateur, c'est ici que vont se retrouver le roi et Aïrolo quand ils

: L'analogie de ce pays avec "l'âme-soeur". Explication du poème :  "Il est un pays suberbe" : ne précise pas "Un pays de Cocagne... un pays ": anaphore ; dit-on : 3ème personne du singulier, pronom indéfini ; Baudelaire ne connaît ce pays que par ouïe dire, accentuation du mystère, nostalgie paradoxale d'un pays qu'on ignore, "que je rêve de visiter avec une vieille amie" : le thème du rêve, dimension onirique, cf. le poème en vers : "Mon enfant, ma soeur, songe à la douceur d'aller là-bas vivre

SWOT Analyse interne Forces Faiblesses Engagement envers la préservation de l’environnement : image positive (gamme Klorofil) Eléments de fabrication naturels et inoffensifs Un jouet indispensable : aide au développement de l’enfant (vue, ouïe,…) Texture souple et adaptée aux poussées dentaires Adaptation du produit pour les bébés : odeur et touché spécifique, petite taille pour mieux le saisir Savoir faire depuis plus de 50 ans Application Ipad/Iphone disponible : répond à la demande

notables, toutefois, qui apparaîtront au cours de la deuxième partie de l'explication. II) La dénonciation morale a) thème de la méchanceté termes violents et abondants : atroce, féroce, grincer des dents, meurtre, rapines, égorger, carnage... Vue et ouïe sollicitées. Allitérations et assonances, pour mieux montrer la terreur qu'il répand : exemple : "r" et "i" au vers 15. Conséquence : imparfaits itératifs du vers 17. b) thème du masque opposition entre la méchanceté naturelle (celle du tigre) et

montagne, de la forêt rappelle les Romantiques. La musique également est omniprésente : « concerts seigneuriaux » (B8), la « chanterelle de mon luth » d’Aloysius Bertrand vers 7, « clochers » dans « Les ponts » vers 10. Les sens semblent aiguisés (vue, ouïe, goût). Tous ces faits forment le jeu de langage de la poésie. Chacun de ces textes crée un univers mentaux qui ont pour but de dérouté le lecteur, le faire imaginer, ouvrir sur l’imaginaire et oublier le réel. Le poème « le pain » nous montre

lumière : les lianes s’entrechoquent et emmètrent des sonorités variables. C’est un environnement dans lequel on peut déambuler, courir à son gré et apprécier l’expérience sensorielle du volume. Le spectateur utilise dès lors son corps, son touché, son ouïe, mais également les déplacements pour contempler l’œuvre. Vocabulaire (notion : Le pénétrable) : espace, forme, entrer/sortir, dedans/dehors, cacher/montrer, ... Repères : Rafael Jesus SOTO, Robert MORRIS, Olafur ELIASSON, Antony GORMLEY

Aragon utilise les termes « notre » et « nos », qui peut montrer que son amour pour la femme est réciproque, ainsi que les sens : le toucher « dans mes bras » (vers 2), la vue « ces yeux » (vers 13), l’odorat « les parfums et l’essence » (vers 8) et ouïe « ton silence chantant comme le coquillage de la mer » (vers 15, 16) Ainsi nous constatons que les trois textes Grâce aux titres des poèmes, nous savons de quoi vont parler ceux-ci. Le fait de lire les poèmes sans les titres peut nuire à leur

récit est organisé de façon thématique (cf titres de chapitres), mais les souvenirs du camp reviennent régulièrement, sont présents tout au long du texte • Adresse directe : le lecteur se sent concerné (emploi du « je ») • Références sensorielles : ouïe (Armstrong), odorat (fumée du crématoire), vue (regards) • Répétitions, insistance, développement de ses idées • Figures de style : métaphores, paraphrases, analepses, ellipses • Citations de beaucoup d'écrivains et de poètes : Aragon, Primo Levi