Ours des cavernes

jardin, mais très vite, ils perdent du courage et « ces explorations, le couteau à la main, et l’oreille aux aguets [se terminent] souvent par une fuite éperdue vers la maison, à cause de la rencontre inopinée d’un serpent boa, d’un lion, ou d’un ours des cavernes »(GP, p. 103). Cette attitude prouve la faiblesse de l’enfant qui n’est pas encore tout à fait initié à la vie en nature. Il n’est pas prêt à sortir de sous la protection rassurante de la maison, car il n’a pas encore subit une épreuve initiatique

de faim, dont le riche boit en paix le sang et les larmes, et partout le fort armé contre le faible du redoutable pouvoir des lois. Tout cela se fait paisiblement et sans résistance ; c’est la tranquillité des compagnons d’Ulysse enfermés dans la caverne du Cyclope, en attendant qu’ils soient dévorés. Il faut gémir et se taire. » Fragment sur l’état de guerre. D’où provient cette oppression ? Il est vrai que « les hommes sont méchants : une triste et continuelle expérience dispense de la

sa saga Le Seigneur des Anneaux) 1 5 10 15 20 25 30 Le monde est plein d’étranges créatures : Des trolls, des ours, les dangers nous entourent. Les mille feux des Elfes nous fascinent. Mystérieux, des chants lointains résonnent. Il faut lutter contre les gobelins, Les araignées, les géants et les loups, Et le Gollum, tapi dans la caverne*, Me proposant ses énigmes nocturnes. On croit choisir la vie et la jeunesse, Mais c’est toujours la mort qui nous menace. A la

songe ». Moi : « chargé de ses fers »  le prisonnier. Absence de liberté. Les fers réels de Sigismond ne sont pas pires que les fers symboliques auxquels n’importe qu’elle homme est attaché Condition humaine, absence de liberté (cf Homme de la caverne de Platon) C. Le sens tragique de la vie Le songe allégorique est un récit qui a pour but la connaissance, une interrogation tragique sur le sens de la vie et de la mort Héro tragique car : Marqué par un présage funeste Mauvais destin « O cruelle

avaler par un héron qui guettait. une rafale se fait entendre au lointain et le coup de vent fouette la cime des arbres. Le vent retomba aussi vite qu'il s'était levé. (p165-166). Soudain Lennie sortit des fourrés ; il avançait furtif comme un ours qui rampe. Il s'approche tranquillement de l'eau, s'agenouille et se met à boire. Il entend des feuilles sèches craquaient derrière lui, il relève la tête brusquement et reste les yeux fixes jusqu'à ce qu'il voit l'oiseau ; puis se remet à boire

de la séquence pédagogique avec les différents contes de randonnée connus des élèves. La structure du conte est cumulative : un jour de vacances, une cruche tombe d’une voiture, des animaux de taille croissante s’y réfugient jusqu'à la chute : un ours casse la cruche et tous les animaux s’éparpillent dans la nature (Cf. Annexe 5). Une ritournelle vient rythmer la succession des événements. Ce genre de récit sollicite une activité mémorielle intense, reposant sur la représentation des différents

plafonds de cette caverne. Le mammouth fut relativement peu représenté par les artistes préhistoriques qui leur préféraient généralement les chevaux et les bisons. C’est ainsi que, parmi les 300 cavités décorées d’Europe occidentale, environ la moitié des représentations de mammouths, est à Rouffignac. Ce choix des artistes est d’autant plus surprenant 9 que les ossements de mammouths demeurent rares dans le sud-ouest, ce qui ajoute du mystère à l'ornementation de la caverne. Autour du thème central

Mais enfin son cœur se transforma, – et un matin, se levant avec l’aurore, il s’avança devant le soleil et lui parla ainsi : « Ô grand astre ! Quel serait ton bonheur, si tu n’avais pas ceux que tu éclaires ? Depuis dix ans que tu viens vers ma caverne : tu te serais lassé de ta lumière et de ce chemin, sans moi, mon aigle et mon serpent. Mais nous t’attendions chaque matin, nous te prenions ton superflu et nous t’en bénissions. –9– Voici ! Je suis dégoûté de ma sagesse, comme l’abeille qui

Mais enfin son cœur se transforma, – et un matin, se levant avec l’aurore, il s’avança devant le soleil et lui parla ainsi : « Ô grand astre ! Quel serait ton bonheur, si tu n’avais pas ceux que tu éclaires ? Depuis dix ans que tu viens vers ma caverne : tu te serais lassé de ta lumière et de ce chemin, sans moi, mon aigle et mon serpent. Mais nous t’attendions chaque matin, nous te prenions ton superflu et nous t’en bénissions. Voici ! Je suis dégoûté de ma sagesse, comme l’abeille qui a amassé

cœur se transforma, – et un matin, se levant avec l’aurore, il s’avança devant le soleil et lui parla ainsi : « Ô grand astre ! Quel serait ton bonheur, si tu n’avais pas ceux que tu éclaires ? Depuis dix ans que tu viens vers ma caverne : tu te serais lassé de ta lumière et de ce chemin, sans moi, mon aigle et mon serpent. Mais nous t’attendions chaque matin, nous te prenions ton superflu et nous t’en bénissions. Voici ! Je suis dégoûté de ma sagesse, comme l’abeille