Ox

esp`eces chimiques sont conjugu´ees ; ox est l’oxydant conjugu´ e de red et red est le r´ educteur conjugu´ e de ox. III. Demi-´equation d’oxydo-r´eduction et ´equation d’une r´eaction d’oxydor´eduction Soit un couple oxydant/r´educteur ÔOxßRedÕ, on passe de l’un `a l’autre par perte ou gain d’un ou plusieurs ´electron(s). ­ Si l’oxydant est le r´eactif alors l’´equation sera : Ox   ne¡ Red ­ Si le r´educteur est le r´eactif alors l’´equation sera : Red Ox   ne¡ o` u n est le nombre d’´electron(s)

⌡a x 0 1) LES RESULTATS b Intégrale de a à b de la fonction f = ⌡ b f(x) dx = [ F(x) ] a = ⌠a F(b) – F(a) où F est une primitive quelconque de f sur [ a ; b ] ; 0 1 2 3 4 5 6 7 (si le repère a comme unité 2 cm sur (Ox) et 3 cm sur (Oy) alors 1 u.a. = 6 cm².) 2) LES METHODES 1 1 ) dx et ⌡ 4 ( x – )dx ⌠1 x² x …………………………………………………………………… …………………………………………………………………….. Calculer ⌡ 2 (3x² + 2x – ⌠ 1 ⌠aa ⌡ ⌠ab ⌡ ⌠ba f(x) dx = – ⌠ab f(x) dx ⌡ ⌡ c f(x) dx = c f(x)

H>OXHQ OX H OXHYWZ OXYZ OXK OXYK 68%-817,92 OXYHWH OXRYQWZQ OXYZPHQ OXYKWH OXYZVLQ OXYRLPL OXYRL OXYRL 237$7,92 ,1),1,7,92 OXYRLPHQ OXYRLWH OXYRLHQ OXYHLQ 0OXYZQ OXYRQWR )OXYRXVD OXRXYVK 1OX RQ OXYRQWR 3$57,&,3,2 HMOXYRPHQ HMOXYHWH H>OXRQ OXYVZ ) OXYVHL 8 OXYVHL 7 8 5 2 OXYVRPHQ OXYVHWH OXYVRXVLQ $ H>OXVD 2 H>OXVD 5 H>OXVHQ , 6 7 2 3 ( 5 ) ( & 7 2 OXYVRLPL OXYVRL OXYVRL HMOXYVDPHQ HMOXYVDWH H>OXVDQ OX VRQ OXVDYWZ

''0½m§——x ; W f ; i x ¯ ìx¤—— x”@\? _â ; ;ח }C  xŽ@\P}C \c½———  '(0½—— W” \j â™}±_§——H®—— x”;f旗´;¤‡}¿‡,Ý_§}º ; ; _ \ ; ìhW} \Px?½ ; ʗ]£ >Á;½—\»— — _¬— ½—\• \jY_P}E\jGy \æ™\»—i ”EF iP W _ ]¼;¦ \} x € x ­— j \__歗— IÃx•½—— @;Ox?}C]♭€WE]c旗 \ \j )(0½m§—— ‡l]ä}” ]à}º_³;~_ߗ—;– \ }” \• \ € ¶}º ;…½H€}C]♭—— WE ]̅~C < \ €€ } _ ; \c _æ \„ _à]¼H€ \Ì°ª«\ x i ” \ € B ¦ ìx½\• \jGy \æ™\»­”Eìx½\•l]ä}” (0n \æ;¤‡EU_Ì\³€”Eì}º ;]â™\» _„ i̔E x i _ x \H Wc _æ;¶€”ÁW}

chimique susceptible de céder un ou plusieurs électrons. Moyen mnémotechnique : Oxydant gagne ; réducteur perd. → un coule d’oxydoréduction (ou rédox ou oxydant/réducteur) Ox/Red est constitué par un oxydant et son réducteur conjugué, c’est-à-dire reliés par une écriture formelle appelée demi-équation d’oxydoréduction : Ox + ne- = Red → la réaction d’oxydoréduction met en jeu un transfert d’électrons du réducteur Red1 d’un couple oxydant / réducteur vers l’oxydant Ox2 ‘un autre couple : aRed1

les ordonnées en bout de flèches Tableau de variations de f Extremum de f M maximum sur I de f en a   x  I, f(x) ≤ f(a) = M m minimum sur I de f en b   x  I, f(x) ≥ f(b) = m f positive sur I  Cf est au-dessus de (Ox) f négative sur I  Cf est en-dessous de (Ox) f positive sur [a ; b]  pour tout x, f(x) ≥ 0 f négative sur [a ; b]  pour tout x, f(x) ≤ 0 • 1er degré : ax + b > 0  x > -b/a (si a > 0) ou x < -b/a (si a < 0) • 2nd degré : ◦comparer à 0 ◦factoriser en facteurs de degré 1

Manipulations: Si F(x) devient... Alors le graph subit ... Ex : F(x) = x* F(x+k) T.H de k unité vers la gauche F(x+3) = (x+3)* F(x)+k T.V de k unité vers le haut F(x)+3 = x*+3 F(-x) Symétrie axiale d axe Oy F(-x) = (-x)* -F(x) Symétrie axiale d axe Ox -F(x) = -(x*) F(k.x) - Compression Hori. si k > 1 - Etirement Hori. si -1 < k < 1 F(k.x) = (3.x)* F(k.x) = ((1/2).x)* k.F(x) - Etirement Vert. si k > 1 -Compression Vert. si -1 < k < 1 k.F(x) = 3.x* k.F(x) = (1/2)x* Identité: CE :... Etape(s) : Ex :

a obtenu le tableau de variations suivant : x −∞ −2 +∞ g(x) d d ‚ d        −9 2. a) On a Df = R − {−2} puisque −2 est la seule valeur interdite annulant le dénominateur de f (x). b) Les abscisses des points d’intersection de Cf avec l’axe (Ox) sont les solutions, sur Df , de l’équation f (x) = 0, donc les solutions de l’équation g(x) = 0. Donc, d’après la réponse à la question 1 ;b), ces points sont ceux de coordonnées − 7 ; 0 et − 1 ; 0 . 2 2 L’ordonnée du point d’intersection de Cf avec

horizontalement sur l’axe des ordonnées. • On ramène u1 sur l’axe (0x) en traçant le trait horizontal joignant le point (u0 , u1 ) et la droite (D ) c’est-à-dire le segment joignant les points(u0 , u1 ) et (u1 , u1 ). On peut maintenant lire u1 sur l’axe (Ox). • On trace un trait vertical du point (u1 , u1 ) à (Cf ) et on peut lire u2 horizontalement sur l’axe des ordonnées. . . Sens de variation d’une suite réelle Soit (un )n∈N une suite réelle. • La suite (un )n∈N est croissante si et

par rapport au point O 2) Méthode Exemple : Tracer le symétrique du point A par rapport au point O 1°) On trace la demi-droite [Ax) dont l’origine est le point A 2°) On trace un arc de cercle de centre O et de rayon [OA] . La demi-droite [Ox) et l’arc de cercle se coupent en A’. III) propriétés de la symétrie centrale : 1) Symétrique d’un segment : Propriété : Le symétrique d’un segment par rapport à un point O est un segment de même longueur 2) Symétrique d’une droite : a)