Palimpsestes

copie par ce dernier puisqu’il renouvelle le thème du carpe diem avec une écriture fantaisiste et comique. Il réussi donc, par le biais d’un ton léger, à faire passer un lourd message. C’est ainsi qu’il réalise une œuvre que l’on peut qualifier de palimpseste puisqu’il s’inspire d’une tradition en y ajoutant sa propre originalité. Nous avons donc à faire à une parodie du carpe diem. Jeunes femmes et vieux monsieur - Gainsbourg I) Fatigue physique Fatigue du vieux, corps épuisé. II) Vénalité

nettement, elle est à déchiffrer. La langue se détourne de la stricte fonction informative et s’écrit on est dans la littérature. C. Travail sur la langue et la forme Ce travail implique que tout texte littéraire d’une certaine façon est un palimpseste, c’est-à-dire qu’on se souvient de textes antérieurs, c’est une réécriture. Le texte littéraire se conquiert sur des formes déjà existantes, pour la transcription du réel, chaotique, diffus, il faut faire des choix qui repose sur des formes préexistantes

rase, se laisse brûler par le soleil, privilégiant son corps à son esprit ("je sentais extraordinairement"). Toujours spontanément, il comprend qu'il avait fait fausse route, et qu'il lui faut se débarrasser de son éducation : il se compare à un palimpseste qu'il doit gratter pour partir à la découverte d'"un texte très ancien infiniment plus précieux" ; retrouver l'état sauvage sous une épaisse couche d'instruction puritaine. Il ne veut penser qu'à son épanouissement personnel, en faisant fi de tous

écrivains, des textes et des personnages d’époques différentes. En les évoquant pêle-mêle, il crée une rupture au niveau chronologique, faisant coexister deux temps, le passé et le présent, ce qui fait de cette ville invisible bâtie de mots un palimpseste. III. Entre réel et fiction : la ville insolite Préambule : Que nous la considérions dans sa dimension de ville visible, ou dans celle de ville invisible, la Lisbonne que nous raconte le narrateur de ce texte se distingue par son caractère insolite

même qu’aujourd’hui. Le territoire est une espèce de surface sur laquelle s’écrivent, laissent des traces qui perdurent alors que nous changeons de mode de vie. Certains théoriciens du paysage font l’analogie entre le territoire et le palimpseste. Le palimpseste c’est ce qu’utilisaient les anciens quand ils n’avaient pas de support. Ils réutilisaient la même feuille pour récrire par-dessus. Les écritures s’accumulaient. Le territoire est une page en 3D dans laquelle les paysagistes écrivent non

verbal et de l’architectural. la Villette : un lieu innommable • Une œuvre chorale : un chant comme une chorégraphie, une composition rythmique (le chœur comme événement architectural, un signe (une pluralité, une rencontre aléatoire, un palimpseste et un labyrinthe, un espace qui se donne carrière, une mine de matériaux à déplacer, un filtrage de types, de forces, de semences) • Folie : une trame, un crible, une grille, un filtre sélectif, interprétatif, des sites, des couches de

3. Rapport direct. 4. Rapport indirect. 3. Quatrième chapitre : les rapports titre-diégèse. 1. Titre-espace. 2. Titre-personnage. Conclusion Table de matière Bibliographie Bibliographie Ouvrages : 1. Genette Gérard, Palimpsestes, La littérature au second degré, Paris, Seuil, 1982 2. Genette Gérard, Seuils, Paris, Seuil, 1987 3. Abdelhaq Regam, Les marges du texte ou les franges de la fiction romanesque, Afrique Orient, Casablanca, 1998 4. Maingueneau Dominique, Pragmatique

L’Univers entier parle le langage du feu, l’alphabet en est là visible tous les soirs sous l’apparente confusion des étoiles où passe parfois le point exclamatif d’une comète, mais nous n’avons pas encore appris à lire ce parchemin céleste, le palimpseste sidéral que chaque éternité surcharge. Mes chats et mon chien à mes pieds regardent avec moi s’apaiser l’orage, s’éloigner les averses d’eau et de feu, s’éteindre ces torches, ces lueurs ! Terre et ciel ont fini d’interférer leurs circuits

. La vocation première de ce livre ne semble pas être de délivrer un savoir , un avis sur l'adultère ; en revanche il recrée par l'art l'impression de l'ennui , et traduit esthétiquement ce ressenti . Gérard Genette restitue dans un article de Palimpsestes une analyse du style de Flaubert par Proust : celui-ci décèle l'emploi fréquent chez Flaubert des adverbes , et de la conjonction ''et'' , qui alourdissent la phrase et transmettent dans Madame de Bovary la lenteur , la lourdeur de la vie de province

Collection L'Oeuvre secrète, 0223-4688) -DOTTIN, Georges. Les littératures celtiques. Paris : Payot, 1924.-173p.-(Collection Payot). -ELIADE, Mircea. Forgerons et alchimistes. Paris : Flammarion, 1956.-209p.-(Homo Sapiens) -GENETTE, Gérard. Palimpsestes. La littérature au second degré. Paris : éditions du seuil, 1982.-573p.-(Points : Essais) -GUYONVARC’H, Christian-J ; LE ROUX, Françoise. La civilisation celtique. Paris : Payot et Rivages, 2001. - 1 vol. 285 p.- (Petite bibliothèque Payot ;