Panathenees

préfèrent les reprises. Il existait des spectacles d’un autre genre cependant : courses de cavaliers, jeux et concours sportifs ou musicaux, dans la pure tradition hellénistique. Elles étaient surtout présentes pour les diverses fêtes du calendrier : Panathénées, Dionysies, Thésia, Eleusinia, etc. La première impression laissée par l’auteur, d’une Athènes affaiblie et vieillissante laisse donc rapidement place à l’image d’une ville festive, cultivée et ouverte. Cette image renvoie complètement à la

militaire ou économique. • Ensuite, Athènes possède des spécificités vis-à-vis des autres cités, que ce soient culturelles, militaires ou économiques. Les athéniens « instaurent des concours et des fêtes religieuses » (l.16) (exemple: Les Panathénées) ces derniers, polythéistes, accordent une grande importance aux rites et peu à la dévotion personnelle. Les différents cultes sont les cultes publics, rassemblant la communauté des citoyens d'une cité, les cultes privés, appartenant à la sphère

Economique[2]) Jusqu'à leur mariage les jeunes filles ("parthénoi") grandissent à l'ombre du "gynécée", appartement réservé aux femmes (de "gunè", femme, et "oikia", maison). Elles ne peuvent en sortir que pour de rares occasions, la fête des Panathénées par exemple, puisqu'elles participent à la procession. Le reste du temps, elles doivent se tenir à l'écart de tous les regards masculins, même ceux de leur propre famille. Elles n'apprennent que les travaux ménagers et quelques rudiments de calcul

dictés dès leurs compositions par HomèreTexte actuel qui admet additions et altérations de la part des aèdes : des critiques considèrent que le chant 10 de l’Il ne faisait pas partie de la version originale.VIe siècle av. J.C, Athènes : Festival des Panathénées organisé par le tyran Pisistrate et ses fils. Concours de récitation homérique donc nécessité d’une version officielle du texte.IIIe-IIe siècle av J.C, bibliothèque d’Alexandrie : les savants comparaient les différentes versions des manuscrits pour

 Les métopes de la frise dorique (gigantomachie, prise  de Troie, amazonomachie, centauromachie) évoquent quatre scènes de bataille où l'on voit  l'ordre triompher de l'anarchie, l'esprit de la matière, l'organisation de la confusion. Enfin, sur  la frise ionique des ​ Panathénées​ , c'est le peuple entier d'Athènes qui, dans la joie d'une  réjouissance commune, porte ses offrandes aux dieux, réunis dans une grave assemblée, sur  le côté noble (à l'est). Dans le ​ naos​ , l'​ Athéna Parthénos ​ de Phidias montre la déesse en 

voir avec les jeux antiques. Le concept de flamme olympique n'existe pas en Grèce antique : la lampadédromie ou relais de flambeaux, qui s'en rapproche le plus, est un rituel religieux organisé dans le cadre de certaines festivités — d'abord les Panathénées, les Héphaisties et les Prometheia[95] —, mais qui ne fait pas partie du programme gymnique[96]. En outre, les courses sont strictement locales à une cité[96]. De même, les Jeux antiques ont toujours lieu à Olympie, contrairement aux jeux modernes

devenir qu'une petite ville de province. Théodose II, par ses édits de 426 et 439, ordonna la destruction de tous les temples païens. Il fit cependant une exception pour Athènes : ils seraient désaffectés et convertis en églises. Cependant, les Panathénées continuèrent à être célébrées. Justinien fit appliquer les décisions de Théodose II à partir de 529 : fermeture des écoles philosophiques (principalement néo-platoniciennes), transformées en écoles chrétiennes privées et conversion des temples en

possibilités d’expression, et vers 480 la figure noire disparaît totalement, sauf pour une catégorie de vases. Ce sont les amphores panathénaïques, ces vases contenant l’huile offerte aux vainqueurs des différentes épreuves athlétiques lors des Grandes Panathénées, jeux se déroulant tous les quatre ans à Athènes. Ces vases qui reproduisaient sur l’une des faces la déesse Athéna armée d’un bouclier et d’une lance demeurent, par conservatisme religieux, fidèles à la tradition de la figure noire, même aux V°

mentionné la 1ère fois par Herodote vers 440, l'oeuvre qui s'impose plus encore que l'auteur. Un anonymat relatif de l'oeuvre est révélateur: littérature orale, textes qui se transettrent à l'oral. Il n'est fixé à l'écrit à Athènes au 6ème s pour les Panathénées qui regroupaient l'ensemble des grecs et étrangers. Chaque grande cité a eu une édition de L'Odyssée et L'Iliade. Modifications, au fil des récitations. (voirs textes) La banquet est un lieu de réunion, d'identité qui est conclu par la récitation

Comme dans toute la Grèce, la religion à Athènes est intimement liée à la politique. Toutes les activités des habitants, qu’elles soient privées ou publiques, se font sous les auspices des dieux. Les grandes fêtes religieuses telles que les Panathénées permettent par ailleurs de célébrer la cohésion de la cité et d’intégrer tous les habitants de la cité. Dans une démocratie, le pouvoir est exercé par le peuple ; dans une oligarchie, le pouvoir est confisqué par un petit groupe d’individus