Pantoufle

ceci : « Le pauvre Monsieur du Pape meurt déjà de peur... » (L.25) C'est pour rappeler que Charles Quint inspire la terreur. De même, la réponse de Picrochole, juste après, renforce cette idée : « Par ma foi, […] je ne lui baisera pas la pantoufle. » (L.26) Le mot « pantoufle » est plutôt drôle et contraste avec leurs idées, ce qui valorise le comique. Les conseillers flattent le roi, ce qui caricature encore plus le pouvoir de Charles Quint : « Dieu garde Jérusalem ! Car le sultan ne peut rivaliser avec

manière péjorative, exprimée par l'ironie. Elle porte une perruque, qu'elle a «mal mis» (l.27) sous un «bonnet de tulle» (l.27), une dentelle peu couteuse qui met donc en évidence sa classe sociale. Elle porte des «pantoufles grimacées» (l.28), métaphore qui exprime la vieillesse de ses pantoufles. Elle est à deux reprises comparé a des animaux: dans l'expression «un nez à bec de perroquet» (l.29) que l'on pourrait interpréter de deux différentes manières. Nous pouvons comprendre cette allusion comme une

sédentaire. Après les traits physiques passons aux traits de caractères et leurs symbolismes. Mme Vauquer se laisse-aller, elle a une attitude passive, ce qui nous confirme cela est « marche en traînassant ses pantoufles » (l.3-4). L'allitération du son [s] dans le passage «  traînassant ses pantoufles grimacées » (l.3-4) relate la façon de marcher paresseuse et lambine du personnage.Balzac compare Mme Vauquer à des animaux avec « un nez de perroquet » (l.5-6) ce qui explique que la personne est bavarde

(Les Bleus se mettent au vert), billets à gratter, du massepain cuit, un resto avec toi, bon Ikea, des vacances, une entrée aux thermes, ... Bernadette Bon d’achat Cassis , et tout ce qui vous plaira me plaira Bonne-Maman une belle écharpe, des pantoufles fermées derrière (38), un peignoir, ou ce que vous voulez Bruno Camille Carine Un bonnet hiver sans pompon (hiver ? pour ne pas me retrouver avec un bonnet de piscine dans la rue . Quoi que cela me convient aussi) , une écharpe fermée, une serviette

"carcasse superbe" * comparaison avec une fleur * Comparaison à sa bien-aimée * "vous serez semblable à cette ordure", "vous, mon ange et ma passion !" Texte C: * "Et le printemps en fleurs sur ses pantoufles brillent" * Dernier vers: "Et le printemps en fleurs sur ses pantoufles brillent" Texte D: * "petits", "brigands", "infiniment petits", "monde lilliputien" * valorisation de la race humaine puis re dévalorisarion. Dans ce corpus portant sur la poésie, les poèmes étudiés

Costume : Pantalon porte des pantalons très étroits et rouges, ainsi qu’un gilet court de la même couleur. Il porte un bonnet en laine et il est vêtu d’un long manteau noir et chaussé de pantoufles. Il porte une barbe en pointe au menton. Masque : Son masque est de couleur rouge ou brune, il recouvre la moitié du visage, son nez est long et aquilin. En général, il peut y avoir de fines moustaches grises et une barbe pointue au menton, ce

filles, aussi méchantes l’une que l’autre. Elles s’acharnent sur Cendrillon, jusqu’au jour où, lors d’un bal, le fils du roi tombe amoureux d’elle. Parmi les centaines de versions, dont celle des frères Grimm, celle de Perrault, avec sa fameuse pantoufle de verre, est la plus répandue. Toute l’histoire est construite autour des angoisses et des espoirs qui forment l’essentiel de la rivalité fraternelle : avilie, Cendrillon est sacrifiée par sa belle-mère au profit de ses demi-sœurs. La rivalité

aussi porter une sorte de mule sans talon qui s’appelle la sandalium (chaussure réservée aux femmes). Les riches matrones portent en général des chaussures rouges ou dorées, ornées de pierres précieuses. À la maison, c’est le socus, semblable à une pantoufle et couvrant complètement le pied, qui est utilisé. La plupart des sandales sont en cuir sauf pour les gens à faible revenus qui ont des sandales à semelle de bois, ou même des sabots. Accessoires  La fibule sert à agrafer la tunique et le manteau

de tulle " : elle est accoutrée de manière ridicule - "un tour de faux cheveux mal mis" et les mots sont mis en valeur par leur place après le verbe "pend" - "pantoufles grimacées", qui font des plis, " jupe faire avec une vieille robe", "étoffe lézardée indiquent l'avarice . - La démarche : lourde, " elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées", avec une assonance en "a" et une allitération avec le son " s" qui mettent en valeur l'expression : cela indique le manque de volonté, la lourdeur

réalisé la toilette de ce résident à deux reprises, en présence d’un professionnel. J’avais pu observer : - les techniques de utilisées, - certaines de ses « petites habitudes », comme lui faire éteindre la lumière de sa chambre, disposer ses pantoufles à proximité, et ne pas trop abuser du rasoir électrique. Cependant, ce jour là, il n’y avait qu’un titulaire, une stagiaire éducatrice pour son premier jour, et moi-même. Le résident ne s’est pas réveillé tôt, et le titulaire avait déjà démarré