Paolo et Francesca

musées des arts décoratifs. Il choisit d'y représenter des épisodes de la partie consacrer à « l'Enfer » dans La Divine Comédie de Dante. Dans le cadre de ce projet, « Le Baiser » élément de cette vaste porte représente le moment où Paolo embrasse sa belle-soeur Francesca juste avant que les amants ne soient tués par le mari de la jeune femme. Le groupe sculpté est composé de 2 personneges, un homme et une femme, n'y figure pas le mari qui s'apprête à les tuer ( voir le chant 5 de la divine comédie)

morts nés) ou personnes ayant vécu avant la venue du Christ : ainsi dans la Comédie, l’âme de Virgile, (et de tous les antiques : païens) y repose. - 2e cercle : péché de luxure : ex/ Francesca di Rimini amante de son beau-frère Paolo Malatesta et assassinés tous les 2 par le mari (Gianciotto Malatesta) de Francesca. - 3e cercle : les jaloux - 4e : les avares - 5e : les colériques - 6e : les hérétiques : dont Cavalcante Cavalcanti, le père du poète et ami de Dante Guido Cavalcanti. Dante entend par

rôle politique et culturel de premier plan. Grand condottiere, mais également grand mécène, Sigismondo Pandolfo Malatesta (1417- 1468) s’entoura d’humanistes, de poètes, d’artistes comme Agostino di Duccio, Leon Battista Alberti et Piero della Francesca. Comme Montefeltre ou Sforza, il exprimait la même dualité : l’amour des arts pour un tempérament guerrier. Les œuvres possédées[11] par les Malatesta comprenaient aussi bien des faïences, des bibelots, des monnaies et des médailles de Pisanello

L'homme est désormais un sujet digne d'étude : les artistes ne s'interdisent plus la représentation de scènes profanes mettant en valeur les activités de leurs temps. Ce constat peut être fait chez les artistes italiens (une scène de bataille par Paolo Ucello), mais aussi chez les flamands (Les Epoux Arnolfini de Van Eyck, ou les activités de commerce chez Quentin Metsys dans Le Changeur et sa femme). C. L'art intègre les apports des scientifiques humanistes 1. L'apport des recherches mathématiques

L'homme est désormais un sujet digne d'étude : les artistes ne s'interdisent plus la représentation de scènes profanes mettant en valeur les activités de leurs temps. Ce constat peut être fait chez les artistes italiens (une scène de bataille par Paolo Ucello), mais aussi chez les flamands (Les Epoux Arnolfini de Van Eyck, ou les activités de commerce chez Quentin Metsys dans Le Changeur et sa femme). C. L'art intègre les apports des scientifiques humanistes 1. L'apport des recherches mathématiques

La représentation des nus devient indispensable à l’interpretation du dessin. Ambrozio Lorenzetti  « les effets du bon gouvernements » il reprensente les effets d’un bon gouvernement Paolo Luschello « La bataille de San Romano » 1450-1460 Fra Angelico « l’annonciation » 1430-1435 Piero Della Francesca « La Flagellation » vers 1460 conservé à Urbino, peinture sur bois exalter à Urbino aux « marches de l’Italie » Dendrochronologie (peinture sur bois donc on peu savoir la date du tableau)

Masaccio et de Fra Angelico. Si les influences gothiques sont encore présentes au début, la maîtrise mathématique du traité perspectif va donner au mouvement son identité propre. A Urbino, la peinture est dominée par la personne de Piero della Francesca. Mathématicien hors pair, il s’exprime à travers une peinture au traité scientifique où la perspective et l’étude la lumière vont faire l’admiration de ses contemporains. Successeur de Masaccio, Fra Filippo Lippi va donner une place privilégiée

Ils contribuent à une transformation de l’art européen. Les grands centres artistiques italiens sont Rome avec Michel-Ange (en particulier les fresques de la chapelle Sixtine), Florence avec Sandro Botticelli et Piero della Francesca, et Venise où les peintres comme Titien et Paolo Véronèse privilégient la couleur. Par une politique des princes La première Renaissance a lieu essentiellement en Italie mais, assez rapidement, le mouvement se diffuse dans toute l’Europe. Les rois de France, partis faire

peintres non seulement d’Italie mais du monde entier »  comme l’affirme Gian Paolo Lomazzo, d’autres peintres ont participé à la mise en couleur de Venise. Ainsi Véronèse… Bien que né à Vérone (d’où son surnom), Paolo Caliari fut, avec Le Titien et Tintoret, l’un des maîtres de l’école Vénitienne. Véronèse c’est l’alliance du dessin et de la couleur. Il est né à Vérone en 1528, son père est tailleur de pierre et Paolo est formé à l’atelier du peintre Antonio Badile, il subit également l’influence

demander quels sont les peintres qui ont dominé le XVe siècle ? La réponse est difficile à établir. Baxandall s’appuie sur un poème de Giovanni Santi qui évoque de nombreux noms tels que Van Eyck, Fra Filippo Lippi, Domenico, Masaccio, Paolo Uccello, Piero Della Francesca, Leonard De Vinci, Le Pérugin, Sandro Botticelli…(La liste est longue et on observe une prédominance de peintres florentins). C’est ainsi que Cristoforo Landino (« le meilleur critique amateur de son temps en matière de peinture »)