Par-delà bien et mal

la mauvaise pente. Et si l’on en croit les chiffres, il n’est pas le seul en France. Le stress des cadres, véritable phénomène de société, mal de cette fin de siècle, prend une ampleur croissante au fil des années. De la somatisation au dopage, les dérapages sont de moins en moins bien contrôlés dans les entreprises. Excès de « présentéisme », un mal bien français. Pression trop forte sur des individus, auxquels on demande de plus en plus, au nom de la sacro-sainte rentabilité. Et tout cela

métaphore d’un champ d’activité central dans la pratique infirmière. La “toilette” fait partie d’un réel vécu par le soignant ; sa nature causale peut être identifiée, la réalité non symbolique perçue : « Le réel est ce qui est au-delà des mots, au-delà des signes : au-delà en définitive de la limite qui fonde l’espace symbolique de la communication »1. Elle est donc à ce titre un terrain de recherche en tant que tel. À l’instar de ce que note Yves Winkin, professeur des universités en SIC, à propos

loin, de pousser ses réflexions au-delà de l’habituel. De plus, plusieurs buts peuvent lui être attribués : la recherche de la vérité, la différence de ce qui est bien ou mal, de ce qui est beau et ce qui est laid, le sens de la vie, etc. Mais tout premièrement, la philosophie est un exercice de la réflexion et de la pensée. En résumé, la philosophie est une manière de se questionner sur toutes choses, petites ou grandes, simples ou complexes, d’aller au-delà d’une simple réponse et surtout le plaisir

élogieuse de la guerre présentée par Voltaire. Puis, nous étudierons ce que dénonce l’auteur au-delà de cette critique acerbe de la guerre. I- Une fausse valorisation apparente de la guerre Voltaire nous présente d’abord la guerre sous son plus beau jour. Il s’agit d’une fanfare, d’un spectacle qui créé une harmonie visuelle et musicale : « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées » ; « Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours ». C’est

Dimanche 13 novembre 2011 Français : Commentaire de texte Texte : Le mort joyeux de Charles Baudelaire Le mort joyeux est un poème issu du recueil de poème de Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, œuvre lyrique publiée en 1857. Dans ce texte l'auteur met en avant un personnage qui s'exprime sur sa mort et ce qu'il en suivra. Pour commencer, nous analyserons comment est perçue la mort par le personnage, puis nous étudierons de quel manière la mort devient méliorative, et pour finir nous

Fleurs du Mal, sans cesse évoquée, tantôt souhaitée avec force, tantôt redoutée avec angoisse. Représentée par de nombreuses allégories*, toutes empruntées à la tradition médiévale, la mort revêt pour Baudelaire des visages changeants. Étudier le thème de la mort dans ce recueil, c'est donc plonger au coeur même de l'ambiguïté baudelairienne. La mort est d'abord présente, de manière grotesque, sous la forme du cadavre grouillant de vers et exhibant l'atrocité de sa décrépitude. Au-delà de ces images

d'Outre-tombe → il entend dans le parc le chant d'une grive qui lui rappelle un chant identique qu'il entendait dans son enfance en Bretagne. Dans l'idée de Chateaubriand il y a une continuité. Ce ne sont pas deux moments distincts mais deux moments qui par delà la durée sont réunis et par là même confère du sens à la vie → idée de la continuité historique sur plusieurs plans. Manière de penser la durée → implications importantes dans le Romantisme quant au rapport avec l'Histoire.

Problème : la morale relève de la question du Bien et du Mal et concerne l'individu et ses actions. La politique concerne, elle, la vie de Cité et l'espace publique, le permis et l'interdit au regard de la loi. On distingue en général moral et légal, la justice comme ordre social et comme ordre moral, et la morale est souvent présentée comme ce qui doit prendre le relais d'un légal insuffisant ou l'interroger. Donc morale et politique semblent être deux domaines distincts. Ce sujet difficile exige

suivre l’opinion de la multitude concernant les dieux (croire que le mal arrive sur les gens mauvais par ex) car celle-ci « est prisonnière des idées qu’elle se fait de la vertu, elle veut des dieux qui s’y conforment et rejette tout ce qui est différent ». § 6 : « il n’y a de bien et de mal que dans la sensation », et si on considère que « la mort est absence de sensation […alors] on pourra jouir de sa vie mortelle ». § 7 : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n’est rien pour nous, puisque

François Rabelais, écrivain du 15ème siècle prônait une éducation humaniste. C’est-à-dire une pédagogie qui vise à développer chez l’enfant ses tendances naturelles positives et sa formation intellectuelle et morale à travers l'acquisition de la culture. Bien que cette vision utopique de l’éducation nous met l’eau à la bouche, il reste néanmoins la question de qui peut tirer les rênes de tout ce système ? Au jour d’aujourd’hui, il existe deux types d’écoles, celles d’ordre privé, et celle d’ordre publique