Paradigme Néo Classique Et Institutionnaliste

exploitations agricoles, forêts...), les exemples sont nombreux. Tous ces thèmes deviennent des objets uniquement parce qu'ils sont pensés par des sujets (au sens physique et immatériel). Ils sont le socle de la géographie. Toutefois, étant des grands classiques de notre discipline, ils sont trop souvent utilisés sans aucune méfiance, comme si l'objectivation serait finie et donc s'alignerait sur de l'objectivité. Mais ces objets sont-ils réservés aux géographes ? En quoi sont-ils vraiment géographiques

implique un positionnement épistémologique spécifique. De plus, au regard de la littérature, la nécessité s’est imposée de construire un cadre théorique permettant de comprendre la situation observée. Ainsi, cette recherche s’inscrit dans un paradigme interprétativiste, permettant la compréhension d’un phénomène de l’intérieur, en accordant une place importante aux représentations des acteurs en situation. Les choix méthodologiques découlent de ce positionnement, de la problématique retenue

politique néo-libérale initiée par le gouvernement péroniste de Carlos Menem (1989-1999) – réforme de l’État, privatisation des entreprises publiques et ouverture du marché interne à la concurrence internationale – a accéléré le processus. Une véritable 9 révolution des conditions d’existence s’opère aggravant dramatiquement la condition des classes populaires. On passe ainsi d’une société où près de 80 % de la population active s’inscrivait dans des relations salariales classiques, où la protection

conomique-regionale_46 15 Libérale par le Volontariste par marché le Plan - Cadre de la concurrence pure et parfaite et de l’équilibre, ajustement par le marché Libéralisation et ouvertures extérieures Diplomatique par Territoriale par Institutionnaliste les transferts de les firmes par les règles souveraineté CONCEPTION - Vision volontariste d’un plan régional de développement ex-ante et de programmation par les États - Concurrence imparfaite Déconnexion Coordination non-marchande (réseaux

mabergeron@videotron.ca Dans le cadre de la collection†: "Les classiques des sciences sociales" dirigÈe et fondÈe par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au CÈgep de Chicoutimi Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une collection dÈveloppÈe en collaboration avec la BibliothËque Paul-…mile-Boulet de l'UniversitÈ du QuÈbec ‡ Chicoutimi Site web: http://classiques.uqac.ca  Politique d'utilisation de la bibliothËque des Classiques Toute reproduction et rediffusion de nos fichiers

depuis 1973 que nous avons retenus. Cet examen peut nous aider à délimiter des lacunes ou des manques de ce champ, à positionner les différents modèles retenus ainsi qu’à nous inscrire dans ce champ. Cette revue de littérature est ainsi relativement «classique» (au sens où elle implique une recension des écrits et qu’elle fonde notre problématique). Mais elle est également «originale» : elle consiste également en une présentation des résultats où nous décrivons les principaux modèles de pratiques de gestion

motivation dans un paradigme se rapportant aux besoins, mobiles, et valeurs de l’individu. (1) Ces théories visent à répondre à la question qu’est ce qui motive les gens à travailler ? En effet, ces théories se centrent sur l’individu. Les théories de motivation se rapportant à ce paradigme examinent les déterminants personnels (internes) et situationnels (externes) du comportement. La taxinomie repère trois grands courants théoriques : Les théories des besoins, les théories classiques de la motivation

cohérent avant de passer à la phase de collecte de données, car commencer à collecter des données sans savoir comment elles seront analysées revient à prendre le risque qu’elles se révèlent peu adaptées. Les auteurs présentent ensuite une démarche classique, que nous reprenons et adaptons dans la figure 3 (page suivante) en y intégrant une partie du schéma d’une démarche quantitative présentée dans Evrard et al. (1993, p. 235). 15 Question centrale de recherche Recherche exploratoire par des

ont pensé celle-ci comme une science historique, une science sociale, une science morale ou encore psychologique. Mais ce projet est aussi un projet contemporain qui constitue le dénominateur commun de bien des approches (post-keynésiens, institutionnalistes, régulation, socioéconomie, etc). et de nombreuses recherches (en économie du développement, de l’environnement, de la santé, des institutions ; en économie sociale, etc.) Nous nous proposons d’accueillir ici les essais, les travaux théoriques

De plus, comme le montre le tableau 3.2, il existe un bon nombre de façons de considérer la représentation d’une réalité par un modèle systémique selon la posture épistémologique ou le paradigme qui guide le chercheur. Selon Jackson (2003), il est possible de relier chacune des approches systémiques à un paradigme représentant une vision ou une métaphore de l’organisation. 9. 10. 11. Autopoièse : patron d’organisation d’un réseau dans lequel chaque composante a pour fonction de participer