Paradigme Scp

Edgar Morin – anthropologue, sociologue, philosophe, humanisme . (paradigme : modèle) n’a jamais voulu se ranger dans une catégorie, une discipline. Selon Pascal : « Je tiens impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus que de connaître particulièrement les parties » Sa mère contractait la grippe espagnole, elle ne devait pas tomber enceinte. Mais elle tombe enceinte d’Edgar Morin, l’un des deux devait mourir. * ca ne s’est pas passé comme ca, elle a

publication, en 1962, de l'ouvrage de Thomas Kuhn, The Structure of Scientific Revolutions (La Structure des révolutions scientifiques pour la traduction française) amena l'analyse théorique, via notamment les concepts de "révolution scientifique" et de "paradigme", à une conception nouvelle du développement des sciences. À la même époque, en France, des réflexions sur la pratique théorique et, plus particulièrement, sur la pratique scientifique transformaient les notions de "coupure épistémologique" et de

l’expression ont cédés leurs place à l’informationnel. A la ligne 72, l’auteur ajoute que « l’argumentation a vu sa proportion devenir plus congrue, après avoir été le noyau de la rhétorique » Le rail de la pensée dont parle l’auteur à travers les « paradigmes » nous indique qu’il faudrait que les recherches en communication soient plus vastes. L’auteur termine son texte par une phrase positive pour nous faire comprendre que la possibilité d’une co-existence est possible entre théories techniques

Au début du XIXe siècle, le mot paradigme était employé comme terme épistémologique pour désigner un modèle de pensée dans des disciplines scientifiques. Dans ce contexte, l'emploi le plus répandu se trouve chez le philosophe et sociologue des sciences Thomas Samuel Kuhn qui l'utilisait pour désigner un ensemble de pratiques en science. Le terme est cependant souvent inapproprié et Kuhn lui-même préférait utiliser les termes de science exemplaire et de science normale qui lui semblaient contenir

jusque la. Ds les sc. dures ces moments ne durent pas -> retour à un accord = paradigme : à l'issue une des théories s'est imposée face aux autres et au paradigme (ancienne théorie) précédent. En sc. dures, un seul paradigme à la fois. Dans les sc. sociales, il y a des paradigmes scientifiques qui cohabitent en permanence sans parvenir à éradiquer les autres. Paradigme = théorie. SC sociales = débat sur ces paradigmes. Impossible de savoir ce que l'on doit penser exactement. Rien ne permet de mettre

ÉVALUER ET MODÉLISER LES RISQUES : APPORTS ET LIMITES DE DIFFÉRENTS PARADIGMES DANS LE DIAGNOSTIC DE SÉCURITÉ Bernard Cadet et Dongo Rémi Kouabénan P.U.F. | Le travail humain 2005/1 - Vol. 68 pages 7 à 35 ISSN 0041-1868 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-le-travail-humain-2005-1-page-7.htm ----------------------------------------------

est liée à une communauté de chercheurs. B/ Le progrès scientifique s'effectue par un changement de paradigme. T.S. Kuhn (1962) → La structure des révolutions scientifiques Le paradigme = un modèle de représentation qui s'installe durablement en fonction de l'état des découvertes. Le vrai progrès n'est pas d'accumuler les découvertes mais de changer de paradigme. 2 exemples de Paradigme : A/ Du monde clos à l'univers infini = la révolution copernicienne ou galiléenne. La cosmologie

La notion de compétence apparaît en stratégie comme notion centrale de « la théorie de la ressource » laquelle se veut un renversement paradigmatique se substituant ainsi au paradigme de « l’analyse de l’environnement » dont le modèle des cinq forces de la concurrence proposé par Porter M. a constitué l’aboutissement méthodologique et conceptuel. L’origine de « la théorie de la ressource » remonte aux travaux de Penrose E. Wernerfelt B. développe cette théorie, mais ses idées n’ont pas eu un grand

constructivisme semblent confondre le constructivisme scientifique et la construction de l'objet scientifique et, partant, les niveaux ontologique, épistémologique et méthodologique en ce qui concerne la construction. Mots clés : ÉPISTÉMOLOGIE, PARADIGME, CONSTRUCTIVISME, POSITIVISME Introduction On nous a invités à nous saisir de la question Positivisme / constructivisme : où en sommes-nous avec cette opposition? D’entrée de jeu, nous avons été frappés par la pérennité de ce débat qui, après

sur un paradigme, celui-ci étant un accomplissement « vaste » qui réunit un « groupe cohérent d’adeptes » et engendre une tradition scientifique. Kuhn explicite page 30 l’importance du paradigme au sein de cette tradition scientifique : « Les hommes dont les recherches sont fondées sur le même paradigme adhèrent aux mêmes règles et aux mêmes normes dans la pratique scientifique ». Ceci est un préalable nécessaire à l’existence d’une science « normale ». Pour Kuhn, l’existence du paradigme témoigne