Paradoxe de Russell

ont été à nouveau actifs. Je me suis rapprochée d’eux, prête à recevoir la preuve que mon œil professionnel n’était plus ce qu’il était, à distinguer maintenant un nodule dissimulé dans un repli du cervelet. Là encore... rien. C’est un autre grand paradoxe de mon métier : son ambition essentielle est de ne rien découvrir. Sans doute s’agit-il là d’une des rares activités humaines où le mot « rien » est une source de satisfaction, de soulagement et de réaffirmation du statu quo. Un dernier examen des

sont donc capables de contaminer des cellules et de conduire à des épidémies accidentelles. DES PRÉCURSEURS JETTENT LES BASES DE LA BIOLOGIE DE SYNTHÈSE : ADN, GÈNES ET RÉGULATION Virus ou cellule ? Une question qui n’est pas sans rappeler le paradoxe de l’œuf et de la poule… En effet, les virus sont beaucoup plus simples que les cellules. Ils ontET L’HOMME CRÉA LA VIE… 66 donc dû apparaître avant elles. Mais comment expliquer qu’ils aient besoin des cellules pour se reproduire ? D’un autre

étant donné la stabilité de la fécondité depuis vingt-cinq ans. Et la Grande-Bretagne est dans une situation assez proche. - 41 - LES RECHERCHES SUR L’IMMIGRATION ET L’INSERTION Dès lors, l’hypothèse de Teitelbaum et Winter se heurte à un paradoxe. Pourquoi est-ce en France tout particulièrement que l’inquiétude se serait développée face à la « dénatalité », alors qu’il s’agit du principal pays d’Europe où la « conjonction explosive » n’est pas signalée ? Faut-il imputer ce trait à l’existence

compatibilité entre une démarche marketing orientée vers les consommateurs et une logique économique, organisationnelle et identitaire affirmant au contraire la nécessaire primauté de l’offre culturelle (encadré 2.1). La résolution de cet apparent paradoxe s’opère le plus souvent a 1. Esquenazi (2007, 74) cite Joseph Kessel, de retour d’Hollywood en 1937 : « Tout (y) est organisé, hiérarchisé, standardisé, jusqu’à la pensée, jusqu’à l’inspiration » ! 34 LE MARKETING STRATÉGIQUE DES ORGANISATIONS

discours de la méthode de Descartes, la théorie du cerveau gauche et du cerveau droit, au travers de la distinction que fait Pascal entre l’esprit de finesse et l’esprit de géométrie, le management situationnel et celui du changement au travers du paradoxe du comédien de Diderot. N’est-ce pas là allier l’agréable à l’utile, réconcilier la culture avec le management, rapprocher l’art et l’artisan ? Les exemples du passé touchent sans comparaison plus les hommes que ceux de leur siècle. Analyser les

vaut d’être coopté en tant qu’administrateur d’autres sociétés, ce qui peut accroître sa valeur en tant que dirigeant, mais réduire le temps consacré à la firme qu’il dirige »41. L’activité du dirigeant est caractérisée par la complexité, les paradoxes et les contradictions. On y découvre une activité dirigeante d’une nature tout à fait particulière, dans laquelle les dimensions du pouvoir et de la parole jouent un rôle considérable. Cela lui en fait un métier qui n’est pas tout à fait comme les

discours de la méthode de Descartes, la théorie du cerveau gauche et du cerveau droit, au travers de la distinction que fait Pascal entre l’esprit de finesse et l’esprit de géométrie, le management situationnel et celui du changement au travers du paradoxe du comédien de Diderot. N’est-ce pas là allier l’agréable à l’utile, réconcilier la culture avec le management, rapprocher l’art et l’artisan ? Les exemples du passé touchent sans comparaison plus les hommes que ceux de leur siècle. Paul DE GONDI

qu’il a dirigé, Pierre Javier Gomez, « Le déploiement des TIC va-t-il dans le sens d’une mobilité durable ? », Communication aux Doctoriales du GDR TIC & Société, 24-25 juin 2008, Université de Rennes 1. 171 Michel Savy, « TIC et Territoire : le paradoxe de localisation », in Les Cahiers Scientifiques du Transport, n° 33, 1998, p. 139. 172 Offner Jean-Marc, Pumain Denise, 1996, op. cit. 59 170 Musso173 insiste sur le fait que « le réseau de télécommunication ne se substitue ni aux territoires

(W.) RODEL (C.C.) RODNICK (D.) ROETHLISBERGER (F.J.) ROGOW (A.A.) ROKKAN (S.) ROPER (E.) RPKE (W.) ROSE (A.M.) ROSENBERG (M.) ROSENSTOCK-FRANCK (L.) ROSS (E.A.) ROSSI (P.H.) ROTVAND (G.) ROUCEK (J.S.) ROUSSEAU (C.) ROUSSEAU (J.-J.) RUSSELL (B.) RUSTOW (D.A.) SAINT-PIERRE (Abb de) SALOMON (y.) SANFORD (R.N.) SAPIN (B.) SARTORI (G.) SAULNIER (V.L.) SAUVY (A.) SCHAPERA (I.) SCHLESINGER (J.A.) SCHMID (C.F.) SCHNALENBACH (H.) SCHNEIDER (L.) SCHRAMM (W.) SCHUBERT (G.A. Jr) SCHUMPETER

discours de la méthode de Descartes, la théorie du cerveau gauche et du cerveau droit, au travers de la distinction que fait Pascal entre l’esprit de finesse et l’esprit de géométrie, le management situationnel et celui du changement au travers du paradoxe du comédien de Diderot. N’est-ce pas là allier l’agréable à l’utile, réconcilier la culture avec le management, rapprocher l’art et l’artisan ? Les exemples du passé touchent sans comparaison plus les hommes que ceux de leur siècle. Paul DE GONDI