Paradoxe Sur Le Comédien Diderot

modèles: l'un, Tchékhov, qu'on pourrait appeler son maître de vie (pour ne pas dire de morale), l'autre à qui il ressemble davantage par sa mobilité d'esprit, sa curiosité en tous domaines, son intelligence, son côté de brillant touche-à-tout : « Diderot est mon maître. Maître de la recherche du constant dans finconstance, du vrai dans la versatilité, du pur dans le mélange. Maître du zig-zag d'aigle, de la diagonale vertigineuse qui saisit le fil des choses dans la transver· sale du multiple... :

apparaît aussi certaine qu’une révélation divine. Dans l’Alcibiade, il assure au jeune ambitieux : « Mon tuteur à moi vaut mieux et est plus sage que ton tuteur à toi : Périclès.-Qui est-ce, Socrate ? –Un dieu, Alcibiade ».5 Démontrer la vérité de ce paradoxe, c’est là la tâche dont va se charger le dialogue. Un tournant décisif est pris ; Socrate fait observer que « juste » se dit non seulement des individus, mais des sociétés ; or, la société étant bien plus vaste que l’individu, elle est en quelque

au v. 14 de L'Horloge (poème LXXXV). 423. Titre de 1851: Le Spleen. Ce mot anglais, dérivé du nom grec de la rate, où les médecins antiques voyaient le siège de la mélancolie, est apparu en français dans la seconde moitié du XVIIIme siècle, chez Diderot, Voltaire, Delille. Il est d'emploi fréquent à l'époque de Chateaubriand. Littré le définissait ainsi: "une forme de l'hypochondrie, consistant en un ennui sans cause, en un dégoût de la vie", et Baudelaire lui-même semble entériner cette définition

Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir, § 79 Nietzsche critique d’ailleurs, à partir de cet idéal, la culture de son époque qu’il qualifie d’« hystérique », le public restant dans un rapport « féminin » et passif face à un artiste qui n’est plus qu’un comédien… II. Les fins de l’art Introduction : La diversité des sentiments esthétiques [Diaporama] - Beau (harmonie, équilib re) - beauté « pure » : sensations agréables : couleurs, formes, sons, goûts, parfums … ex : Yves Klein ; voix ; - harmonie :

être conséquente, la société n’est pas absurde, et que, quoique sévère, Dieu n’est pas injuste ; - Antony, curieux comme Faust, passionné comme don Juan, fidèle comme Werther ; moins pur que le Didier de M. Hugo, aussi fataliste que le Jacques de Diderot ; qui tue sa maîtresse pour l’arracher à son époux, et la sauve de l’infamie en se déclarant assassin : - Antony enfin, un des types les plus hardis du siècle au point de vue de la passion ; - le héros de l’adultère. Et qu’on ne vienne pas me dire

La Fayette, La Princesse de Clèves (p. 84 ES/S et Techno / p. 86 L/ES/S) Le XVIIIe siècle : le personnage est un « individu » SÉQUENCE 1 – La construction du personnage : l’entrée en scène du héros  du XVIIe siècle à nos jours • Denis Diderot, Jacques le Fataliste (p. 48 ES/S et Techno / p. 50 L/ES/S) • Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (p. 50 ES/S et Techno / p. 52 L/ES/S) SÉQUENCE 3 – De la rencontre amoureuse à la séparation dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle

| |Introduction | |Entre fantaisie et vérité : le paradoxe du souterrain | |L'imaginaire du souterrain | |Une

l’égalité des sexes. Si le texte ne peut être reformulé, il est recommandé d’utiliser conjointement les formes masculines et féminines (les instituteurs et les institutrices). 3.2.3.2. Le retour du neutre Une telle méthode n’est pas exempte de paradoxes. Elle repose avant tout sur l’idée que le droit doit se faire l’instrument d’un projet social : il s’agit de rendre désormais visible la présence des femmes en tant que sujets de droit dans les actes législatifs. Une telle finalité n’est pas sans

l’opéra d’Halévy, “La juive” (I, page 577), qu’il retrouva en la compagne passionnément aimée de Saint-Loup qui était alors une actrice qui joua alors dans une pièce, et qui ne réapparut qu’à la fin où, appréciée de la duchesse de Guermantes, une comédienne en vogue, elle donna une récitation. Au sommet de la hiérarchie établie par Proust se trouvait Swann dont la judéité (que son nom serait peut-être censer indiquer) fut à peine mentionnée quand on apprit que, pour le grand-père de Marcel (chez

Métaphysiques, II -le morceau de cire (1641) TEXTE 12 : Scarron, Le Roman comique, Première partie, Chapitre I. TEXTE 13 : Molière, Dom Juan, III, 1 TEXTE 14 : Molière, Dom Juan, V, 2 TEXTE 15 : Pascal, Pensées (posthume, 1670) TEXTE 16 : Diderot, Jacques le fataliste et son maître –le poète de Pondichéry TEXTE 17 : Robert Burns, "To A Mouse, On Turning Her Up In Her Nest With The Plough" (1785) TEXTE 18 : Hugo, Les Djinns, Les Orientales (1831) TEXTE 19 : Balzac, Le père Goriot