Paradoxe

répétition, pléonasme) confèrent d’avantage de force à un argument à une thèse. -Les figures d’opposition permettent de souligner des contradictions (antithèse, chiasme) de déprécier par l’ironie (antiphrase) ou de provoquer un effet de surprise (paradoxe, oxymore). -Les figures d’atténuation contribuent à suggérer plus qu’a convaincre directement. La rhétorique antique c’est l’art du discours hérité de l’antiquité grecque latine. La rhétorique définit 3 genres du discours : -Le genre judiciaire

raisonnement déductif, formé de deux propositions (appelées prémisses majeure et mineur) conduisant à une conclusion. Ex : « Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) ; or je suis un homme (prémisse mineure), donc je suis mortel ». (Conclusion) Le paradoxe : du grec para (contre)-doxa(opinion) ; pensée contraire à l’opinion communément partagée. La concession : faire une concession à son adversaire consiste à donner dans un premier temps raison à la thèse adverse pour mieux remettre en question

une accroche : phrase introductive ; phrase d’actualité ; élément historique ( on en trouve bcp dans le Gicquel ) ; citation ( art de la constitution étrangère ; citer un écrivain philosophe) + Définition des termes du sujet + problématique est un paradoxe qui émerge des termes du sujet. Le problème de droit est la question à laquelle il faudra répondre dans le développement c’est une question + plan du devoir qui va répondre à la question la moins lourde et la plus subtile possible ex : la décentralisation

absolument incontestable, on ne peut que la justifier par des exemples. On recourt alors à une opposition et à une interrogation combinées. La pensée est exagérée ou fausse. Il faudra alors chercher à expliquer pourquoi son auteur a eu recours au paradoxe et réfuter la thèse. Il est couramment admis que… Seul X. pense autrement On se demande ce qui lui a inspiré cette maxime et quelle part de vérité elle peut contenir. La pensée oppose le pour et le contre. Il est difficile de trancher. On penche

constitue pourtant, pour chacun d’entre, nous une expérience. Être libre, cela signifie tout d’abord ne pas être empêché de faire ce que l’on veut. La liberté est conçue habituellement comme absence de toute contrainte étrangère. On trouve donc ici un paradoxe, car les deux expressions « libre » et « forcer » sont opposés. Soit nous sommes libres de faire ce que l’on veut, donc nous ne sommes forcés à quoique ce soit, soit nous sommes forcés à faire quelque chose, donc nous ne sommes pas libres. Dans la

a l'expérience du rêve et sait de quoi il parle quand il s'agit de rêves. Par contre, si « le rêve est une expérience universelle, le contenu « du » rêve, lui est l'expérience d'une singularité incommunicable.  La réflexion s'appuie donc sur le paradoxe entre le rêve et le contenu du rêve c'est-à-dire entre l'activité onirique en elle-même et son produit.  1. Le problème de l'incommunicabilité du rêve (Héraclite)  2. Le doute de Pascal : il n'y a pas de critère propre à distinguer rêve et réalité

description que ce soit. Je est un autre. Tant pis pour le bois qui se trouve violon et Nargue aux inconscients, qui ergotent sur ce qu'ils ignorent tout à fait. I. Introduction :  A. Reformulation :  « Je est un autre » Proposition qui forme un paradoxe : le pronom qui désigne celui qui parle, celui que nous croyons le mieux connaître serait, à en croire Rimbaud, un autre. En quel sens l'entendre ? Est il un autre que celui qu'il croit être, un autre que celui que l'on croit connaître ? Ou alors

Syllogisme : Je suis un homme, les hommes ont un phallus donc j’ai un phallus. Sophisme: Inès a des poils, les guenons ont du poil donc Inès est une guenon. Les écarts logiques : Antithèse : Le plus grand des petits déjeuners (Kellogs) Paradoxe : Le jamais vu, vous le verrez dans GEO. Lapalissade : Il n’y a pas de bulles dans les fruits, il n’y a pas de bulles dans Banga. Humour (rhétorique) : Vous avez le permis de conduire, Avis vous offre le permis de rouler.

afin de construire une réelle problématique. C’est l’exigence essentielle pour ce type de sujet. La seconde exigence est de retrouver la pensée commune à propos des questions posées afin de mettre à jour ce qu’on appelle le paradoxe du sujet. (ainsi dans ce sujet le paradoxe serait de tenir ensemble la notion d’opinion et celle de vérité, du moins si on s’en tient à une certaine conception de l’opinion mais aussi de la vérité ; en effet ce sujet interroge beaucoup plus la notion de vérité que celle

« Le problème de Monty Hall » qui est un casse tête probabiliste librement inspiré du jeu télévisé américain Let's Make a Deal. Très simple dans son énoncé mais peu intuitif dans sa résolution. C'est pourquoi d'ailleurs que l'on parle parfois de paradoxe de Monty Hall. Monty Hall vient du nom du présentateur du jeu aux États-Unis pendant treize ans. Les données de base du problème de Monty Hall  Ce problème a été également médiatisé mondialement grâce au film: Las Vegas 21. Nous allons tout d'abord