Paradoxe

classant les arguments du moins évident au plus évident. Question ouverte. A) Au brouillon analyse du sujet et problématisation : 1) - Faire apparaître les mots essentiels, les reformuler. - Repérer les connecteurs logiques, paradoxes ou opposition ? - Problématiser, reformuler le sujet (explicite) - Déterminer le plan ( dialectique ou thématique ) 2) Puis organiser son devoir, comment y répondre

bas de l’échelle sociale, individu qui échoue, qui ne fait pas rêver. Héros de roman : individu exceptionnel, qui s’illustre par ses qualités et ses prouesses Peut-il : est-ce qu’il en est capable, est-ce qu’on en trouve vraiment, existe-il. Ce paradoxe est-il possible ? 2.Problématiser. Il s’agit de reformuler avec vos propres mots la question qui vous est posée. Il faut se demander constamment si vos propos sont en relation directe avec le sujet. La problématique est le fil conducteur de

interpréter comme une certaine liberté de penser) ne résulteraient que d’une soumission à une passion. L’homme raisonnable doit chercher une vérité même si celle-ci est uniforme, tandis que l’homme déraisonnable subit une fausse vérité particulière. Quels paradoxes !

sur les philosophes mise en valeur et identifié comme un être à part. -> échappe à la folie humaine « tout le reste, assemblage… » métaphore + caractère négatif, société assez obscure et noire : cause (« méchants ») à conséquence (« malheureux »). Paradoxe : l’être humain malgré son intelligence est capable de semer le trouble et le mal. Effet de gradation, discours hyperbolique à la fin du texte : « 100 mille fous » (à l’image du géant) ; « 100 mille animaux » : métaphore qui désigne l’homme qui fait

RABELAIS (1494-1553) Gargantua L’abbaye de Thélème Utopie inventée par Thomas More en 1516 par son livre UTOPIA « fais ce que voudras » Paradoxe: une règle qui n’en est pas une En quoi cette règle paradoxale est-elle un manifeste des idées humanistes? I/ En quoi l’absence de règle est-elle compatible avec la vie en collectivité ? 1) Une règle énigmatique Place du travail peu importante Absence totale de contraintes Anaphore des négations Verbes ’vitaux ’ : boire, manger, dormir

dernière/l'autre - l.19 : on a parlé des bêtes, il développe lesquelles - l.25 "donc" --> conclusion de la première partie du raisonnement ; restriction avec "ne que" * cependant, l.27 : OR la nature humaine est pervertie, irréel du passé - paradoxe : légimite # rompre la parole --> il est dans son droit d'être malhonnête 3) Des exemples bien choisis - l.33 --> exemples pour appuyer sa démonstration, exemples actuels ("mille exemples modernes" --> volonté de s'adresse à ses contemporains)

déclarant qu’il y de l’intolérable, est-ce que nous ne sommes pas intolérant ? Mais si nous laissons toutes les opinions s’exprimer, celles qui défendent la mise en œuvre d’une société intolérante ne risquent-elles pas de l’emporter ? Ceci est le paradoxe de la tolérance pointé par K. Popper. Mais on peut se demandant aussi si toute opinion parce qu’elle est avant tout une conviction, n’est pas porteuse d’intolérance pour ce qui la met en cause. Enfin, du point de vue de quelqu’un qui posséderait

questions de rhétorique) : le lecteur est accompagné et se laisse conduire par l’auteur. B- Vers un Dieu caché * L’homme est dans une situation inconfortable au centre de l’infini. * Le vertige est accentué par des hyperboles, énumérations et paradoxes : c’est une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part( paradoxale pour un mathématicien) * Texte présenté comme une dramatisation progressive : de l’admiration (« majesté », « délicate lumière ») à l’effroi (« néant », « trembler

à faire comme si cette réalité n'existait pas ou ne nous concernait pas. Pourtant, c'est une question qui nous touche tous directement. Du fait que nous sommes vivants, nous sommes voués à mourir tôt ou tard, d'une mort définitive. C'est un des paradoxes les plus troublants de notre existence et probablement la réalité la plus révoltante qui soit. Nous recevons une seule vie dont la durée est limitée mais inconnue et dont la fin est inéluctable, irrémédiable et définitive. Qu’est-ce que la mort?

Fiche CDI/TPE n°2 Comment passer du sujet à une Problématique ? 1/Préalable : le sujet aura été précisément cerné puis délimité selon une démarche heuristique. Vous devez approfondir votre questionnement et repérer un paradoxe ou une question : il ne s’agit pas d’une simple question, la réponse à cette question ne va pas de soi, elle soulève des problèmes qui exigent réflexion et recherche d’informations . 2/ Se poser une question de départ : Formuler le sujet sous la forme d’une question, elle