Paradoxe

Emma Bovary. Au moment de la victoire totale de la raison, c’est l’irrationnel pur qui s’emparera de la scène du monde puisqu’il n’y aura plus aucune système de valeurs communément admis qui pourra lui faire obstacle ce que M Kundera appelle un paradoxe terminal Après les monstres intérieurs auxquels s’intéressent Joyce et Proust, c’est ce monstre extérieur qu’est l’Histoire qui devient le leitmotiv d’auteurs comme Kafka, Hasek ou Musil et Broch. Le roman peut prendre fin à l’image de son statut

d’importance croissante : aimer, chérir, adorer hyperbole : expression exagérée : mourir de rire litote : dire moins que ce qu’on pense : je ne suis pas mécontent (=je suis content) oxymore : unit deux caractéristiques opposées : neige brûlante paradoxe : idée qui surprend par illogisme : un malheur peut être profitable périphrase : remplace un terme par une définition : la capitale de la France pléonasme : répéter une même chose ds une même expression : monter en haut prétérition : faire semblant

renvoie au mot "monstre" IIème partie : Correspondance entre le personnage et le lieu 1) Points communs entre le personnage et le lieu "harmonie" (l.7) entre son physique et sa maison. Glissement qui se perd entre le personnage et le lieu + paradoxe entre "harmonie" et l'impression qui s'en dégage => "harmonie" ironique "fraîche comme la première gelée d'automne" expression positive en soi mais négative dans le contexte car l'autome est péjoratif "suinte" fait penser à la transpiration, personnification

chaise ‘chaise’, c’est à la fois rassembler sous une même appellation tout ce qui s’apparente à l’objet en question et le différencier de la table, du bureau. Depuis lors, on voit mal comment les mots pourraient nous éloigner de la réalité. Étrange paradoxe de demander si le langage éloigne l’homme des choses, car que serait une réalité sans son nom ! Comment même savoir que cette chose existe indépendamment de l’acte de nomination ? Le langage est le seul outil indispensable pour les désigner à l’attention

la marque pour l'objet. ex: je porte des Nikes.    - la couleur pour l'objet. ex:Je suis supporter des Bleus.    -le lieu pour l'objet. ex:L'Elyssée a fait savoir que. . .    -la partie pour le tout(= synecdogue). ex:un village de 32 toits. Le paradoxe(= opinion à côté) opinion qui va à l'encontre de l'opinion attendue. ex: un parapluie pliant est très pratique quand il ne pleut pas. L'antiphrase: On dit le contraire de ce que l'on pense pour faire comprendre ce que l'on pense réellement. l'antithèse:

Estragon, devient un Gogo « léger » qui rêve de départ et Vladimir, un « Didi » lourd, négatif, qui ne supporte pas les rêves... Comme si, face à la solitude, leurs rôles s'inversaient pour mieux se compléter et dévoiler une véritable aliénation. Ce paradoxe dans leur réaction face à la solitude se retrouve dans le drame de la parole qui se joue sur scène. [II- Une communication impossible] La relation et la complicité des personnages passent par la parole dans la pièce. Mais dans cette scène,

problématique, construction d’un plan : Intro 2 o 3 parties équilibrées Conclusion Bibliographie Annexes (documents secondaires, trop volumineux, doivent être un plus) – elle ne sont pas comprises dans les pages. INTRODUCTION : Chiffres, paradoxes, évolution de l’environnement ; Objectif : montre problématique Accroche Sur la problématique : on fait une synthèse de ce que l’on connaît. « Ce dont je parle apporte-t-il vraiment qq chose à la problématique » ? Comprendre le contexte

reçu » de l'expérience, mais tiré d'elle. 1. Il n'y a d'enseignement de l'expérience que par une activité de l'esprit. 2. Premier aspect de cette activité : le langage. 3. Second aspect : la construction de l'expérience scientifique. · III. Le paradoxe de l'expérience : l'esprit s'instruit auprès d'une expérience qu'il construit lui-même. 1. L'esprit n'est pas produit par l'expérience : critique de Condillac. 2. L'esprit précède l'expérience : existence d'un enseignement qui n'est pas reçu de

son assurance - insère beaucoup d'illustrations d'exemples, citations, permettant de mettre en application et se les approprier. - subjonctif / "Il faut" -> obligation - interpelle vivement son lecteur : remet en cause les grands auteurs -> paradoxe ( ligne 2 et 3 "Aristote" - discours très imagé (comparaisons/métaphores) - structure claire (paragraphes et connecteurs) B_ Un discours truffé d'illustrations III. Une illustration de la pensée humaniste A_ Les références à l'Antiquité

certains indices (qu'il faudra préciser), ce n'est pas un vrai récit avec des péripéties et des changements dans la situation des personnages. Par ailleurs la thèse n'est pas clairement établie et conduit plutôt à se poser de nouvelles questions. Le paradoxe est que ce texte d'une des figures majeures du mouvement des lumières souligne un conflit entre deux des valeurs principales de ce mouvement. En effet le texte met en évidence une incompatibilité entre le Bonheur et d'une certaine manière la Raison